À Charles Spon, le 16 août 1650
Note [36]
« ce qui donne raison à ce vers de Martial [v. note [17], lettre 75] : “ Il n’y a pas de lieu sur terre où tu puisses échapper à ton destin ; quand la mort vient, la Sardaigne se trouve au beau milieu de Tibur. ” »
V. note [2], lettre 237, pour la mère de Catherine Janson, belle-mère de Guy Patin, morte en son logis de Cormeilles.