À Hugues II de Salins, les 25 et 31 janvier 1656
Note [26]
Tout ce développement est une reprise d’un paragraphe de la lettre du 25 novembre 1655, où Guy Patin parlait des conciliabules secrets qui se tenaient à la cour (v. sa note [22]).
Patin revenait ici sur un passage des Annales de Tacite (livre vi, chapitre viii), en y remplaçant abditos sensus [pensées secrètes] par arduos sensus [pensées difficiles] : « Il est illicite et dangereux de fouiller les secrètes pensées du prince et ce qu’il trame dans l’ombre ; d’ailleurs on n’y parviendrait pas. »
V. notes [21], lettre 417, pour Séjan, et [4], lettre 559, pour son fidèle ami, le chevalier romain Marcus Terentius.