[3], lettre 731, pour l’Arétée posthume de Pierre Petit (Londres, 1726) ;
[6], lettre 897, pour son traité « sur le mouvement spontané des animaux » (Paris, 1660) ;
[8], lettre 717, pour son traité « sur les Larmes » (Paris, 1661) ;
[6], lettre latine 184, pour ses « Problèmes médicaux » qui n’ont pas laissé de trace dans les bibliographies.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Vopiscus Fortunatus Plempius, le 21 mars 1662, note 5.