Note [16]
Guy Patin reprenait ici, au denier près, la conclusion des comptes rendus pour la première année de son décanat (v. note [30] des Comptes de la Faculté de médecine le 26 janvier 1652). Il exagérait toutefois de deux sols la gratification accordée à chacun des docteurs.
V. note [9] des Actes de la Faculté de médecine en 1650‑1651, pour les trois bacheliers reçus en mars 1650 (dont deux obtinrent ensuite leur licence à Paris) et les trois autres admis en octobre suivant (tous futurs licenciés de la Faculté). Ainsi renforcé par la session de rattrapage, cet effectif n’était pas extraordinairement maigre.