Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Patiniana I‑4 (1701)
Note [19]
« On pardonne à l’Antiquité d’avoir mêlé les dieux aux choses humaines, car cela donne plus de lustre à la naissance des villes. »
Cette finesse sceptique de Tite-Live (Ab Urbe Condita [Histoire de Rome], Préface, § 7) faisait ici l’admiration de Guy Patin, par comparaison avec les autres anciens historiens ou moralistes qu’il citait ; mais tout cela n’égalait pas sa vénération pour La Sagesse de Pierre Charron (qui s’était fait prêtre après avoir été avocat, v. note [7], lettre 73) : « Lisez la Sagesse de Charron tous les ans deux fois », écrivait-il à Hugues ii de Salins (fin de sa lettre du 6 mars 1655).