Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 10 manuscrit

Note [13]

« ma maladie a pris de profondes racines ».

V. note [27], lettre 146, pour la 63e année d’âge, tenue pour être la grande climatérique, en raison des événements critiques qui pouvaient frapper ceux qui la parcouraient. En disant être sorti de la sienne depuis trois semaines, Nicolas Bourbon datait précisément sa confidence du 15 mars 1639.

Une insomnie tenace est la seule maladie dont Bourbon se soit autrement plaint dans le Borboniana : v. la note [25] de sa 6e partie.

En outre, il confirme ici que son père était médecin en Champagne, mais je ne suis pas parvenu à connaître son prénom. Nicolas avait aussi vainement recueilli les doctes avis de Jean Duret (v. note [3], lettre 149) et Simon ii Piètre (v. note [5], lettre 15).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 10 manuscrit, note 13.

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(Consulté le 26/04/2024)

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