De Adolf Vorst, le 4 septembre 1661
Note [9]
Guy Patin a peu après repris ce propos dans sa lettre du 21 février 1662 à Charles Spon « M. Vander Linden m’a écrit qu’il fait commencer un Hippocrate nouveau, grec et latin, à Leyde, avec ses notes. Il aime fort l’Hippocrate, mais en récompense, il n’aime guère Galien qu’il méprise fort et condamne où il peut. ». Plus tard, Patin a imputé la mort de Johannes Antonides Vander Linden (mars 1664, en lien probable avec la peste) à son mépris pour la saignée que Galien a ardemment prônée.
Anton Deusing était le principal contradicteur de son collègue Sylvius (Frans de Le Boë, v. note [13], lettre 759). La seule trace que contienne la Correspondance de Patin sur une participation de Linden à cette dispute tient à son estime pour Louis Le Vasseur (v. note [5], lettre latine 242).