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V. note [17], lettre 459, pour les deux thèses quodlibétaires présidées par Robert et Charles Patin depuis la Saint-Martin (11 novembre 1656, en fait depuis le début de l’année 1657). Le 22 mars 1657, Robert avait en outre présidé « hors tour » (extra ordinem) la thèse cardinale de François Gouël, natif de Paris, An senibus vinum parcius, dilutius ? [Ce qui convient aux vieillards est-il moins de vin ou du vin plus coupé ?] (affirmative, Comment. F.M.P., tome xiv, fo 293, v. note [2], lettre 468). Les tours de présidence étaient différents pour les cardinales et les quodlibétaires (v. note [18], lettre 459) : quand il avait atteint six ans d’ancienneté chaque régent avait l’obligation de présider « hors tour » sa première cardinale (mais le doyen ne consignait pas ce détail dans les Comment. F.M.P.) ; autrement, les présidences « à son tour » (suo ordine) suivaient un ordre distinct de celui des quodlibétaires, mais qui fonctionnait dans le même sens ascendant du tableau, du plus jeune au plus ancien. Cela explique que Robert Patin, reçu régent le 19 janvier 1651 (v. note [24], lettre 255), ait dû présider extra ordinem sa première cardinale le 22 mars 1657, après avoir présidé suo ordine une quodlibétaire le 4 janvier précédent. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 24 mars 1657, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0471&cln=1 (Consulté le 06/12/2024) |