Note [10] | |
« condensé des talents », v. note [24], lettre 240, pour cet emprunt possible à Jean Barclay. L’aîné des trois fils et de la fille de Catherine Barré qui étaient vivants au moment du décès (1670) de son mari, Robert Patin, se prénommait Ignace-Louis (v. note [16], lettre 985), ce qui pouvait ne pas plaire à Guy Patin, ennemi juré des loyolites ou ignaciens (v. note [4], lettre 430). Sa remarque sur Érasme mène à supposer qu’il aurait préféré ce prénom pour le premier de ses petits-fils, qui venait de voir le jour et dont toute la famille avait ardemment « désiré » la naissance. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À François Teveneau, le 21 juin 1661, note 10.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1202&cln=10 (Consulté le 09/12/2024) |