Note [13] | |
« S’étonnent que les pères de la patrie tolèrent les crimes ». J’ai respecté la mise en page du manuscrit en plaçant cette parenthèse entre deux alinéas, pour en faire une citation. La source de ce latin me semble tortueusement issue de la page 538 de la Lusitania liberata ab Injusto Castellanorum dominio… Per D. Antonium de Sousa de Macedo Lusitanum, Aulæ Generosum, Regii Ordinis Christi Equitem, ac Commendatorium ; in supremo Lusitaniæ Senatu Senatorem, Expeditoremque gravaminum, atque appellationum… [Lusitanie libérée de l’injuste domination des Castillans… par M. Antonio de Sousa de Macedo, gentilhomme portugais, chevalier et commandeur de l’Ordre du Christ-Roi ; conseiller en la Cour suprême de Portugal, et commissaire des requêtes et des appels…] (Londres, Richardus Heron, 1645, in‑4o) : Noverunt Lusitani, libelli finem esse, legitimam fingere eorum servitutem ; et gravius, quam servitutem, videbant sævissime calumniatos Principes quos non solum recordabuntur Reges, sed patres ; mirabantut Castellanum Philippum 4. tolerare nefanda scripta, infamantia splendorem nationis, dignitatem Regni, et honorem illorum quos avos agnoscebat ; unde inferebant animum ejus qui, ut illos perderet, injurias proprias non recusabat. Amersfoort est une ville de la province d’Utrecht, située à 17 kilomètres au nord-est de sa capitale. Ses pasteurs résistaient au fanatisme de ceux d’Utrecht. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
De Christiaen Utenbogard, le 21 août 1656, note 13.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=9065&cln=13 (Consulté le 10/12/2024) |