Note [15] | |
« La censure acquitte les corbeaux, mais condamne les colombes » (Juvénal, v. note [25], lettre 432). Tous les biographes du P. Nicolas Caussin ont parlé de son exil breton en décembre 1637, sur l’ordre de Richelieu ; il ne reparut à Paris qu’en 1643, après la mort de Louis xiii (v. note [5], lettre 37). Seul Guy Patin a pourtant parlé de ce second bannissement, et Bayle en a fait la remarque à la fin de sa biographie de Caussin :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Christiaen Utenbogard, le 27 janvier 1651, note 15.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1051&cln=15 (Consulté le 09/11/2024) |