À Claude II Belin, le 12 septembre 1646, note 2.
Note [2]

« ne s’y entend pas mieux que Courtaud. »

Jacques Duranc (Montpellier vers 1579-28 septembre 1652) fils de Bernardin Duranc, apothicaire, et de Louise Doet, avait été reçu docteur de Montpellier en 1610. Il avait échoué en 1617 au concours de professorat ouvert à la mort de Jean Varanda (v. note [2], lettre 145) et de Pierre Dortoman (v. note [5], lettre 442). Docteur agrégé en 1623, il avait été nommé professeur en 1639, en succession de Georges Scharpe. Né protestant, il mourut catholique, laissant sa chaire à Michel Chicoyneau (Dulieu). On n’a de lui que des Quæstiones medicæ [Questions médicales] publiées en 1617 et 1638 à l’occasion de ses épreuves de professorat. Il semble que sa défense de Théophraste Renaudot et de son Université contre la Faculté de Paris, à l’appui du discours qu’avait publié Siméon Courtaud en 1645, ne fut jamais éditée.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 12 septembre 1646, note 2.

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(Consulté le 27/04/2024)

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