Note [2] | |
Tartuffe (Furetière) : « faux dévot et hypocrite. Molière a enrichi la langue de ce mot, par une excellente comédie à qui il a donné ce nom, {a} dont le héros s’appelle ainsi. Elle est imitée d’une fort jolie nouvelle espagnole qui s’appelle Montufar. » {b} Guy Patin employait ici ce substantif pour la première de trois fois, ce qui montre à quel point et avec quelle rapidité le personnage de Molière frappa les esprits de ses contemporains. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Monsieur C.M.C., le 28 août 1669, note 2.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0963&cln=2 (Consulté le 09/09/2024) |