Note [7] | |
« savoir la moelle de silique d’Égypte, {a} les feuilles de tamarins d’Orient (qu’on s’abstienne du médicament frelaté qu’on appelle manne, fait de miel filtré, de sucre et de scammonée, ou de suc de tithymales, adultéré d’épurge ou d’ésule, {b} pour purger modérément, en l’aiguisant parfois par l’addition de sirop de diarrhodon {c} ou de fleurs de pêcher. Je ne dis rien des moyens plus âcres. »
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 4 mars 1659, note 7.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0556&cln=7 (Consulté le 18/04/2024) |