Note [7] | |
Noir à noircir ou noir de fumée (Furetière) : « fumée de la poix résine {a} brûlée qu’on ramasse dans une chambre ou vaisseau {b} fermé par en haut et tapissé de peaux de mouton d’où par après, on le fait sortir en les secouant. On en fait l’encre d’imprimerie en faisant bouillir ce noir avec de l’huile de lin et de la térébenthine. […] On noircit les souliers, les tripots {c} avec du noir à noircir. ». {d} |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 10 août 1671, note 7.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1004&cln=7 (Consulté le 12/12/2024) |