À André Falconet, le 5 mars 1660, note 8.
Note [8]

« À présent c’est une autre époque, nous vivons maintenant différemment d’alors, ces choses avaient cours sous le roi Numa, sous le consul Brutus, etc. » ; Marc-Antoine Muret (Iuvenilia, Satire i, vers 63‑65) :

Inscius est morum, quisquis nunc talia quærit.
Hæc fuerant sub rege Numa, sub consule Bruto.
Nunc alia est ætas
.

[Quiconque cherche aujourd’hui de telles choses est ignorant des mœurs présentes. Elles avaient cours sous le roi Numa, {a} sous le consul Brutus. {b} À présent c’est une autre époque].


  1. V. note [36], lettre 527, pour Numa Pompilius, deuxième roi de Rome.

  2. V. note [93] du Faux Patiniana II‑7, pour Junius Brutus, premier consul de Rome et fondateur de la République.

La « fin du bon roi Henri iv » ramenait à 1610 ; 1625 fut l’année où Richelieu commença à prendre les affaires en mains.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 5 mars 1660, note 8.

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(Consulté le 05/12/2024)

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