Note [9] | |
« il y a deux animaux suprêmement menteurs, les herboristes et les chimistes. » V. note [5] de la lettre que Guy Patin a écrite à André Falconet le 4 novembre 1650 pour une première mention de cet adage, auquel il a ajouté Iesuita [les jésuites] dans ses lettres du 4 août 1654 à Charles Spon (v. sa note [18]) et du 8 octobre 1655 à Claude ii Belin (v. sa note [5]). Il figure en bonne place dans les triades du Borboniana manuscrit (v. leur note [2]), mais ne vient pas du manuscrit de Vienne. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
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