À Charles Spon, le 7 février 1648
Note [65]
« celui sur qui la rumeur craint de mentir » ; emprunt peut-être malicieux (v. note [4], lettre 151) à Ausone (v. note [9], lettre 335 ; Septem Sapientium sententiæ [Maximes des sept Sages (de la Grèce, v. notule {e}, note [24] du Borboniana 9 manuscrit)], 1, Bias Prieneus [Bias de Priène], maxime 5) :
Quæ casta est ? de qua mentiri fama veretur.
[Qui est la femme chaste ? C’est celle sur qui la rumeur craint de mentir (que l’opinion n’ose même pas soupçonner)].