Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Triades du Borboniana manuscrit
Note [32]
Triades 57‑58.
In trivio mons est lapidum : supereminet illi
Trunca Dei effigies, pectore facta tenus.
Mercurii est igitur tumulus : suspende viator
Serta Deo, rectum qui tibi monstret iter.
Omnes in trivio sumus, atque hoc tramite vitæ
Fallimu, ostendat ne Deus ipse viam.[Au carrefour, il y a un tas de pierres, avec à son sommet la statue brisée d’un dieu, dont ne reste que le torse. Il s’agit donc d’un tertre de Mercure : {iii} voyageur, attache des couronnes au dieu qui te montrera le bon chemin ! Nous sommes tous devant une bifurcation et nous nous égarons sur le chemin de la vie si Dieu {iv} ne nous montre pas la route à suivre].
- Padoue, 1621, v. supra notule {g}, note [28].
- Page 27 de l’édition française de Lyon, 1549, avec une traduction et une gravure montrant Mercure agenouillé à un carrefour de route.
- Hermès, v. note [8], lettre de Thomas Bartholin, datée du 18 octobre 1662.
- Passage d’un dieu païen, Mercure, au Dieu chrétien.