Les passages de ces six articles mis “ entre guillemets anglais ” (suivant la règle que j’ai adoptée pour notre édition de L’Esprit de Guy Patin) sont tirés de sept lettres que Patin a écrites à André Falconet ou à Charles Spon :
- celle du 24 février 1662 à Falconet (dernier paragraphe), à propos des œuvres de Hugo Grotius, mort en 1645 (v. note [2], lettre 53) ;
- celle du 28 février 1662 à Falconet (premier paragraphe), à propos des railleries du duc Charles iv de Lorraine ;
- celle du 10 septembre 1662 à Spon (premier paragraphe), à propos des Epistolæ selectiores [Lettres choisies] de Georg Richter (Nuremberg, 1662) ;
- celle du 19 décembre 1662 à Spon, sur les manuscrits de l’Hygiène de Pierre Gontier, avec la maxime d’Horace « Et renferme pour neuf ans [ton manuscrit dans la cassette] » (v. sa note [8]), ici assortie d’un commentaire {a} différent du verset de L’Ecclésiaste employé dans l’original manuscrit (v. sa note [9]) ;
- à nouveau celle du 10 septembre 1662 à Spon, sur la vie d’Érasme (dernier paragraphe, v. sa note [3]) ;
- celle du 17 décembre 1662 à Spon, à propos du titre de droit romain « sur la manière d’obtenir la propriété des biens » (vers la fin du premier paragraphe, v. sa note [13]), avec un commentaire ajouté {a} qui n’est pas dans le manuscrit de la lettre ;
- celle du 8 décembre 1662 à Falconet, sur le procès de Nicolas Fouquet, avec le titre de droit « être longtemps en accusation adoucit la peine » (dernier paragraphe, v. sa note [8]).
- Il ne faut pas attribuer ces additions « originales » (non mises entre guillemets anglais) à Patin, mais aux rédacteurs de L’Esprit de Guy Patin : v. note [10] du Faux Patiniana II‑2.
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