À Johann Georg Volckamer, le 13 février 1665, note 13.
Note [13]

« là d’où, dit-on, nul ne revient » (imitation de Catulle, v. note [11], lettre 237).

Sébastien Rainssant, une des bêtes noires antimoniales de Guy Patin (v. note [6], lettre 240), était mort le 5 février 1665 ; il avait été taillé le 9 juin 1664 (v. tout début de la lettre 785).

Guy Patin a donné son opinion sur les prétendues capacités du sang d’animaux (bouc, cerf, renard) à briser les pierres urinaires dans le chapitre ii du Traité de la Conservation de santé (v. ses notes [57] et  [58]).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Georg Volckamer, le 13 février 1665, note 13.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1374&cln=13

(Consulté le 24/04/2024)

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