Note [19] | |
Dubuisson-Aubenay (Journal des guerres civiles, tome i, page 188) :
Pour satisfaire aux exigences de Mme de Longueville, appuyée par son frère le prince de Condé, la cour avait accordé six tabourets aux épouses de certains nobles dont le rang ne justifiait pas un tel honneur : il fallait au moins être femme d’un duc et pair confirmé pour bénéficier d’un tabouret chez la reine pendant qu’elle tenait son cercle. Parmi les nouvelles élues se trouvaient Mmes de Marcillac (épouse du futur duc François de La Rochefoucauld, v. note [7], lettre 219) et de Pons (amie de Mme de Longueville ; v. note [12], lettre 214). La noblesse y trouva un prétexte pour s’échauffer et s’assembler régulièrement depuis le 1er octobre en nombre de plus en plus grand. Journal de la Fronde (volume i, fos 107 ro‑108 ro) :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 8 octobre 1649, note 19.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0201&cln=19 (Consulté le 19/09/2024) |