Annexe : Une mazarinade contre Théophraste Renaudot (1649), note 2.
Note [2]

V. note [28], lettre 164, pour la fuite de la cour à Saint-Germain le 5 janvier 1649, veille de la fête des Rois, suivie par le siège de Paris par les troupes royales (levé en mars suivant), qui fut l’acmé guerrière de la première Fronde, dite parlementaire. Elle avait été inaugurée par la journée des barricades proprement dites, les 27 et 28 août 1648 (v. note [7], lettre 160), dont le pamphlétaire évoquait simplement ici le glorieux souvenir, car on n’en dressa guère dans les rues de Paris durant le siège.

Un mois après la paix de Saint-Germain (1er avril 1649), la cour gagna Compiègne le 3 mai, où elle séjourna jusqu’au 17 août (v. notule {d}, note [3], lettre 168). Ces repères datent le Voyage de Renaudot du mois de mai ou juin 1649.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Annexe : Une mazarinade contre Théophraste Renaudot (1649), note 2.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8227&cln=2

(Consulté le 26/04/2024)

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