Note [24] | |
« ou du moins chez les gens de bien. » Les quatre premiers de ce classement étaient tous fils d’éminents médecins de la Faculté de Paris : la thèse de Pierre Perreau, fils de Jacques Perreau (doyen de 1646 à 1648), a été évoquée dans la lettre du 1er avril 1650 ; Michel ii de La Vigne était le fils du doyen qui exerça de 1642 à 1644 ; Robert Patin était le fils aîné de Guy (alors futur doyen) ; Jean ii de Bourges était le fils de Jean i (v. infra note [26]). Germain Hureau n’était que le petit-fils de Georges Cornuti, doyen de 1608 à 1610. Les deux derniers du classement n’étaient pas aussi bien parrainés :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 26 juillet 1650, note 24.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0237&cln=24 (Consulté le 08/12/2024) |