Note [4] | |
« “ Les nerfs de la sagesse sont de ne rien croire à la légère ”, c’est ce dont le subtil Épicharme de Sicile m’a averti depuis longtemps. » Ce latin est emprunté à l’Essai sur la candidature (chapitre x) de Quintus Cicéron (vers 102-43 av. J.‑C.), préteur romain, frère cadet de Marcus Tullius (qui lui a écrit trois livres de lettres) : Non est huius temporis perpetua illa de hoc genere disputatio, quibus rebus benevolus et simulator diiudicari possit ; tantum est huius temporis admonere. Summa tua virtus eosdem homines et simulare tibi se esse amicos et invidere coegit. Quam ob rem Epicharmeion illud teneto, nervos atque artus esse sapientiæ non temere credere […]. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 26 août 1653, note 4.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0324&cln=4 (Consulté le 07/09/2024) |