À Thomas Bartholin, le 1er avril 1669, note 5.
Note [5]

« composition conçue pour le luxe : à quoi bon tant de médicaments simples de si diverses natures, quel dieu malfaisant leur a enseigné ces duperies ? La nature se contente de peu, etc. » ; succession de deux emprunts, v. notes :

  • [24], lettre 117, pour le premier fragment, interrogatif, qui est une adaptation de l’Histoire naturelle de Pline l’Ancien contre la thériaque (v. note [9], lettre 5) ;

  • [12], lettre 619, pour le second, affirmatif, qui est un adage de Boèce illustré par Botal pour critiquer la multiplicité des remèdes.

V. note [1], lettre 1001, pour la thèse contre l’emploi de la thériaque dans la peste, que Guy Patin méditait alors et qu’il présida le 5 mars 1671.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Thomas Bartholin, le 1er avril 1669, note 5.

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(Consulté le 20/04/2024)

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