Ces trois articles sont tirés de lettres que Guy Patin a écrites à ses amis lyonnais.
- Le commentaire sur la mort de Catherine Janson est un emprunt, abrégé et modifié, au premier paragraphe de celle du 26 juillet 1650 (et non 1649) à Charles Spon : v. ses notes [1]‑[11] ; la remarque finale est une addition originale.
- Le passage sur Tanaquillus Faber (Tanneguy Le Fèvre) transcrit fidèlement le début de celle du 14 janvier (et non juin) 1659 à Spon : v. ses note [1] et [2] ; la fin sur les sots, est un ajout inédit.
- Le distique latin écrit sur l’horloge du Palais de justice de Paris est celui que Patin a prié Noël Falconet de copier dans son cahier, en en avisant son père, André Falconet, dans celle du 15 août 1659 (v. sa note [1]) :
« La machine qui partage si justement les heures en deux fois six, exhorte à servir la justice et à observer les lois. »
Le vers écrit sous la pendule de la Grand-Chambre du Palais est un complément original :
« La dive Thémis régit les mœurs, comme la pendule fait des heures. »
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