À Johann Theodor Schenck, le 28 février 1669, note 8.
Note [8]

« pour faire fortune, honnêtement, sinon par quelque moyen que ce soit » (Horace, v. note [20], lettre 181) : pour Guy Patin, c’était sa clientèle, et non ses travaux de recherche, qui nourrissait le médecin, quelle que fût l’orthodoxie de sa pratique.

V. note [16], lettre 308, pour les attaques de Jean ii Riolan contre Thomas Bartholin sur les voies du chyle dans ses Opuscula nova anatomica [Opuscules anatomiques nouveaux] (Paris, 1653). Dans le sillage tourbillonnant des découvertes publiées par Jean Pecquet en 1651 (v. note [15], lettre 280), les ouvrages sur le sujet ont été bien plus nombreuses au xviie s. que ce à quoi Guy Patin semblait ici les réduire, mais le sujet ne le passionnait guère.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Theodor Schenck, le 28 février 1669, note 8.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1501&cln=8

(Consulté le 27/04/2024)

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