Note [47]
V. note [11], lettre 325, pour Jean Vacherot, docteur régent de la Faculté (dont on apprend ici qu’il était prêtre) et médecin du cardinal de Retz. Vacherot figurait parmi les signeurs de l’antimoine du 26 mars 1652 (v. note [3], lettre 333).
Le doyen ne faisait pas état de certificats présentés par le premier des désormais cinq candidats, Jacques Gaudin (v. supra note [43]) : les lettres de recommandation que lui avait écrites l’abbé des Roches avaient dû lui sembler suffire.
Guy Patin a raconté ce débat et ce vote à Charles Spon dans sa lettre du 6 septembre 1652 : v. ses notes [24]‑[36]. L’examen des Titres et travaux et l’audition des candidats restent (en théorie, du moins) une manière loyale de parer les « coups de piston » qui se donnent encore parfois dans le monde universitaire.