Note [34]
Outre les contributions forcées de la Faculté de médecine pendant les sièges de Corbie (en 1636, v. supra note [30]) et de Paris par les troupes royales du Grand Condé (janvier-avril 1649, v. notes [28], lettre 164 et [1], lettre 170), Guy Patin dénonçait les malversations de Mazarin, proie d’autant moins dangereuse qu’il était alors temporairement écarté du pouvoir.
Ces ponctions du pouvoir politique expliquaient en partie l’endettement de la Faculté, car elle ne se privait pas de l’alourdir chaque année par un déficit important en dépensant plus qu’elle ne gagnait :