Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 7 manuscrit
Note [16]
« il leur exhibe ses parties génitales ».
V. note [9], lettre 40, pour Zaga-Christ, insigne imposteur qui se disait prince d’Éthiopie et qui résidait alors à Paris. Le Borboniana a déjà fait état des attributs dont la nature avait généreusement doté cet homme (v. note [32] de sa première partie), tout comme le Naudæana 1 (v. sa note [11]), qui a parlé de polyorchidie.
On appelait Grenadins « Les Arabes, ou Maures, chassés d’Espagne par Ferdinand et Isabelle, et réfugiés en Barbarie [Afrique du Nord], s’appellent encore aujourd’hui Grenadins, parce que le royaume de Grenade était le seul pays qu’ils tinssent encore en Espagne » (Trévoux).
« Cajoler se dit plus particulièrement à l’égard des femmes et des filles auxquelles on fait l’amour, qu’on tâche de séduire par de belles paroles, et à force de leur dire des douceurs et des flatteries. Le faible des femmes, c’est d’aimer qu’on les cajole. Une honnête femme ne se doit jamais laisser cajoler » (ibid.).
V. note [4], lettre latine 435, pour l’île d’Utopie imaginée par Thomas More en 1516.