Annexe : Les deux Vies latines de Jean Héroard,
premier médecin de Louis xiii
Note [15]
« Le doyen » ne pouvait être que Siméon Courtaud car, à Montpellier, ce titre n’était pas électif comme à Paris, mais attribué à vie au plus ancien des docteurs (v. note [20], lettre 17).
Courtaud donnait lui-même à son Oratio latine de 1644 contre les Parisiens (publiée à Montpellier en 1645, v. supra note [3]) le titre français d’Apologie (v. note [20], lettre 128). Néanmoins, je n’y ai vu ni le mot rufus (roux, rousseau), ni les propos de Jean Héroard contre Charles Guillemeau qui sont ici rapportés dans la Seconde Apologie, sauf à tenir pour telle l’allusion traduite dans la note [88] infra (v. sa notule {g}).
V. note [5] de Guy Patin contre les consultations charitables de Théophraste Renaudot pour la vertu romaine exemplaire de Caton l’Ancien.