Note [19] | |
« nul n’est tenu d’en rendre compte » : Nemo rationem otii sui reddere cogeretur [Nul n’est tenu de rendre compte de son loisir] (Suétone, Vie des douze Césars, livre vii, Vie de Galba, chapitre ix, § 3). Dans la 3e édition de ses deux livres de Scriptis medicis [des Écrits médicaux] (Amsterdam, 1662, , v. note [29], lettre 925), Johannes Antonides Vander Linden est resté circonspect sur les vies des deux médecins dont Guy Patin l’entretenait ici avec passion.
|
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johannes Antonides Vander Linden, le 9 février 1657, note 19.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1108&cln=19 (Consulté le 11/09/2024) |