Note [61] | |
Élie Vinet (Elias Vinetus, Barbezieux 1509-Bordeaux en 1587), érudit et historien français, doit son renom à son disciple Joseph Scaliger et aux : Ausonii Burdigalensis, Viri Consularis, omnia, quæ adhuc in veteribus bibliothecis inveniri potuerunt, Opera. Ad hæc. Symmachi, et Pontii Paulini litteræ ad Ausonium scriptæ tum Ciceronis, Sulpiciæ, aliorumque quorundam veterum carmina nonnulla, cuncta ad varia vetera novaque exemplaria hac secunda editione emendata, commentariisque auctioribus illustrata, per Eliam Vinetum Santonem, Iosephum Scaligerum, et alios, quos pagina tertia indicat. Indices duo subiuncti præfationi, scriptorum hic contentorum, rerum et verbiorum. Adiunctum est et Chronicon rerum Burdigalensium Gabrielis Lurbæi. Vinet avait étudié à Paris, puis à Bordeaux auprès d’André de Gouveia (Andreas Gouveanus, curieusement déformé en Goudan dans le Borboniana ; Beja, Portugal 1497-Coimbra 1548), humaniste franco-portugais, à qui le roi du Portugal, Jean iii (qui a régné de 1521 à 1557), avait confié en 1537 le soin de fonder l’Université de Coimbra (Conimbre en ancien français). Vinet l’y avait rejoint avec l’Écossais George Buchanan (v. supra note [13]) en 1547, mais la mort de Gouveia écourta leur séjour. |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : Borboniana 2 manuscrit, note 61. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8203&cln=61 (Consulté le 16/10/2024) |