[1] de l’observation viii pour le kermès ou cochenille, dont l’un des plus réputés venait de Cnide sur la côte de Carie (actuelle Turquie) au nord de l’île de Rhodes ;
[8], lettre 54, pour l’antimoine (stibium), dont Patin n’était que l’un des farouches détracteurs au sein de la Faculté de médecine de Paris.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Une thèse cardinale de Guy Patin : « La Sobriété » (1647), note 32.