À Vopiscus Fortunatus Plempius, le 27 juillet 1656
Note [7]
Le livre xxix de l’Histoire naturelle est le plus cité dans notre édition. Il traite « des remèdes fournis par les autres animaux qui ne sont pas susceptibles d’être apprivoisés, ou qui sont sauvages ». Dans sa préface (chapitre i, v. note [6], lettre 495) et ses premiers chapitres, Pline a dénoncé sans ménagement les abus de toutes sortes que des charlatans, surtout venus de Grèce, commettaient à Rome pour s’enrichir sans aucun scrupule : v. notes [24], lettre 117, [11], lettre 126, [17], lettre 271, [21], lettre 332, [24], lettre 380 et [10], lettre 589.