À André Falconet, le 1er avril 1661, note 3.
Note [3]

Créé par Richelieu, le Conseil de conscience du roi présidait aux affaires ecclésiastiques du royaume, et notamment à l’attribution des évêchés et abbayes (qui revenait au roi en vertu du concordat de 1516). Son plus célèbre membre avait été Vincent de Paul, nommé en 1643 (mort en 1660, v. note [27], lettre 402).

Mémoires de Louis xiv (tome 2, page 387), sur les « instruments propres à me soulager » dans la gestion des affaires de l’État (année 1661) :

« Pour les matières de conscience, ceux dont je me servais le plus souvent étaient mon confesseur, {a} l’archevêque de Toulouse, {b} et les évêques de Rennes {c} et de Rodez. » {d}


  1. Le jésuite François Annat, v. note [15], lettre 295.

  2. Pierre de Marca, archevêque de Paris en 1662.

  3. Henri de La Mothe-Houdancourt, v. note [31], lettre 310.

  4. Hardouin de Beaumont de Péréfixe, archevêque de Paris en 1664, v. note [38], lettre 106.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 1er avril 1661, note 3.

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(Consulté le 13/10/2024)

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