V. notes :

• [4], lettre 13, pour Jacques-Auguste i de Thou, président à mortier du Parlement de Paris en 1595 (en survivance de son oncle depuis 1586), auteur des 138 livres des Historiæ sui temporis [Histoires de son temps] ou Histoire universelle (première parution latine partielle en 1604, mise à l’index en 1609 sous le pontificat de Paul v), et fils de Christophe de Thou, premier président de 1562 à 1582 (v. note [6], lettre 922) ;

• [19], lettre 469, pour Achille i de Harlay, son beau-frère (époux de Catherine de Thou en 1568), nommé premier président en 1582 et mort en 1616 ;

• [49], notule {b}, du Patiniana I‑2 pour Nicolas de Verdun, premier président du parlement de Toulouse qui occupa cette même charge au Parlement de Paris à la mort de Harlay (après l’avoir rachetée à ses héritiers).

Bien moins connues que son Histoire universelle, les œuvres poétiques de Jacques-Auguste i de Thou sont latines et certaines ont été publiées :

• Poemata sacra [Poèmes sacrés] ; {a}

• à la suite de son autobiographie, dans le volume i de son Histoire universelle. {b}

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  1. Paris, Mamertus Patissonius, 1599, in‑12 de 166 pages.

  2. Thou fr, pages 275‑300, avec tradution de plusieurs d’entre eux en vers français dans l’autobiographie.

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Il semble fort exagéré de comparer son talent à celui de Virgile, mais l’amitié de Nicolas Bourbon pouvait excuser de telles hyperboles.

Tout en bas de la page, dans la marge inférieure, le long du bord, le copiste du manuscrit a écrit :

« M. Petau, conseiller en la 5^e des Enquêtes. »

V. note [13], lettre 238, pour Paul Petau qui siégea au Parlement de Paris de 1588 à sa mort, en 1614. Je ne suis pas parvenu à le relier à l’un des propos contenus dans ce feuillet.