Les Fauteuils
Les fauteuils en bois (1846-1891)
John D. Chevalier (New-York) ouvre en 1846 une nouvelle voie avec son
fauteuil inspiré de celui de Snell en 1831 et de Porter (1837-1849). Les
catalogues des fabricants et les revues destinées aux chirurgiens-dentistes vont
présenter tout au long de la deuxième moitié du XIXe siècle des fauteuils où
l’on peut distinguer deux grandes tendances, l’une inspirée du fauteuil de John
D. Chevalier de 1846 et l’autre des fauteuils de Julius Ask numéros 1, 2 et 3
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Catalogue de John Chevalier, New York, 1855
Fauteuil de Chevalier, New-York, 1846
Ce fauteuil doit être classé dans la même catégorie que celui de Snell :
levage sous le siège + base et corps solidaires. Claude Rousseau reproduit une
image de ce premier fauteuil de Chevalier (1846) issue du catalogue de John D.
Chevalier fabricant à New-York (USA) 1855. (Ce catalogue rarissime n’a pu être
consulté). Avantages par rapport au fauteuil de Gardette (1844) « système à
crémaillère à manivelle [pour régler] la hauteur du siège avec le malade en
place [et le] système à crémaillère et levier qui régit l’orientation du
dossier ». Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en
odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e
cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 28.
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Fauteuil de Chevalier, 1850/1855
« Sur le modèle de Porter de 1837 et de Chevalier de 1846, formidable bascule
pour l’époque, grâce à la manivelle de réglage associée à une lame crantée logée
dans l’accoudoir de droite. Visibles également les lames crantées de réglage du
marchepied » (Gérard Braye)
Collection du Musée de la Faculté d’odontologie de Toulouse Rangueil, Cliché
Gérard Braye
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Fauteuil de Chevalier,
New-York, 1846 |
Fauteuil de Chevalier,
1850/1855 |
Têtière portable Chevalier, 1846
Têtière portable sur un fauteuil de salon, Catalogue de Chevalier,
1855
« La majorité des praticiens [jusqu’à la moitié du XIXe siècle et après]
utilisaient des fauteuils non spécialisés [de salon] associés à des têtières
portatives par ailleurs largement vulgarisées », Claude Rousseau, Évolution
conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique.
Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en
Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 20.
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Têtière portable
Chevalier, 1846 |
Glenner Richard A., The Dental Office, 1984
Page de titre : Richard A. Glenner, The Dental Office
Edition Pictorial Histories Publishing Company, 1984
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Fauteuil de M. W. Hanchett, 1848 Pictorial History
Missoula (Mon) USA, 1848
Richard A. Glenner, The Dental Office, p. 26
« Ce fauteuil breveté en août 1848 ne fut jamais
commercialisé. Il a la particularité d’avoir un piétement
dissocié du corps du fauteuil. C’est le premier modèle à
bascule spécialisé. Il adopte le système de levage à vis des
tabourets de piano ; le piétement est solidaire d’une
plate-forme, à l’extrémité de laquelle est fixé un
repose-pied à cylindre réglable en hauteur » (Claude
Rousseau)
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Fauteuil de M. W. Hanchett, 1848
Pictorial History
Missoula
(Mon) USA, 1848 |
The Dental Cosmos, 1859, vol. 1, N° 1
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Fauteuil de Daniel Porter, décrit en 1837 et présenté dès 1849
« Le siège est réglable en hauteur grâce à un système de levage à poulie
situé sous le siège. Un mécanisme à crémaillère fixe aux accotoirs contrôle
l’inclinaison du dossier […] « Le docteur Charles Merrit décrit dans son article
de 1898 un fauteuil inventé par son beau-frère le docteur Porter en 1837.
Fabriqué à Bridgeport dans le Connecticut, il fut distribué pendant une dizaine
d’années par « Jones and White ». Les « Dental news letters » créées par cette
firme en 1847 en font une brève description dans le numéro 2 de 1849. Ce modèle
est enfin illustré dans le Dental cosmos de 1859.
Ce fauteuil a inspiré Chevalier et Justus Ask
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Fauteuil de Chevalier, 1850/1855
« Sur le modèle de Porter de 1837 et de Chevalier de
1846, formidable bascule pour l’époque, grâce à la manivelle
de réglage associée à une lame crantée logée dans
l’accoudoir de droite. Visibles également les lames crantées
de réglage du marchepied » (Gérad Braye)
Collection du Musée de la Faculté d’odontologie de
Toulouse Rangueil, Cliché Gérard Braye
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Fauteuil de Daniel Porter,
décrit en 1837 et présenté dès 1849 |
Fauteuil de Chevalier, 1850/1855 |
British Dental Journal of Dental Science, Vol 1, décembre 1857
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Fauteuil de Betjemann-Tomes, Ash, 1857
Ce fauteuil doit être classé dans la même catégorie que celui de Snell :
levage sous le siège + base et corps solidaires
British Dental Journal of Dental Science 1857 Vol 1, décembre, p. 566
Figure dans le catalogue Ash & sons 1858. « Originalité : -manœuvre au pied du
système de levage - têtière à cylindre à rotation excentrée » et solidarisation
accoudoirs et siège. Claude Rousseau, Évolution
conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique.
Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie
dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 28.
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Fauteuil de Betjemann-Tomes, Londres, 1857
Vu de trois-quarts, « Le siège est solidaire des appui-bras, comme sur
l’ancien modèle de Betjemann [1840], en formant ici un ensemble monobloc
dissocié du piétement. Le réglage en hauteur s’effectue en manœuvrant au pied un
volant circulaire, dont le mouvement de rotation est transmis à un mécanisme à
vérin à vis différentiel, situé sous le siège. Malgré un débattement de 22 cm
très réduit, ce dispositif constitue la grande originalité de ce fauteuil. Le
réglage en hauteur de l’assise peut s’effectuer sans effort et sans interrompre
la marche du travail en bouche. Ce procédé sera malheureusement abandonné, et ne
réapparaîtra qu’en 1877 avec le fauteuil de Wilkerson de Johnston’s brothers »
(Claude Rousseau)
Collection particulière. Cliché Claude Rousseau
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Fauteuil de Betjemann-Tomes,
Ash, 1857 |
Fauteuil de Betjemann-Tomes,
Londres, 1857 |
British Journal of Dental Science, N° 34, Vol 2, avril 1859
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Fauteuil de Winter et Chaplin, Londres, 1859
Breveté par E. Minter, Société « Minter et Chaplin », 51 et 52 Frith street,
Soho west, Londres. Apparenté à un fauteuil de salon en bois, similaire à ceux
de Betjemann (1840) et de Owen (1859). Le dossier peut se rabattre en arrière
pour allonger le patient.
British Dental Journal of Dental Science, avril 1859, Vol 2, N° 34,
supplément, p. 529
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Fauteuil de Winter et Chaplin,
Londres, 1859 |
British Journal of Dental Science, N° 38, Vol. 3, août 1859
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Fauteuil de Owen, 1859
Fabrication Betgemann et Ash, Londres, British Journal of Dental Science,
1859, août, N° 38, Vol. 3, p. 52. « Mécanisme d’élévation au sein du dossier […]
ajustage du fauteuil à la taille du patient […] c’est le siège et les accoudoirs
que l’on déplacera pour permettre un bon rapport de la tête du patient avec le
repose-tête ». Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en
odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e
cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 35-36
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Fauteuil de Owen, fabrication Betgemann et Ash Londres, 1859
« Grâce à la localisation originale du mécanisme d’élévation au sein du
dossier […] [le] débattement vertical [est] de 45 cm […] une augmentation
moyenne de 15 cm par rapport à celle des fauteuils de Harris et de O. C.
White […] [l’] ajustage du fauteuil à la taille du patient {…] s’effectue
généralement par le réglage de la têtière et du dossier […] [ici] c’est le siège
et les accoudoirs que l’on déplacera pour permettre un bon rapport de la tête du
patient avec le repose-tête dont la hauteur est invariable », Claude Rousseau,
Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique.
Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en
Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 36.
Collection du Musée de la British Dental Association, Londres, Cliché Gérard
Braye
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Fauteuil de Owen,
1859 |
Fauteuil de Owen, fabrication
Betgemann et Ash Londres, 1859 |
George, Jean-Baptiste, La galvano-caustique appliquée à la cure des maux
de dents, et des névralgies en particulier, chez l’auteur et chez Labbé,
Paris,1860
Fauteuil de George avec son appareil galvanique pour traiter la douleur,
1860
Avec son appareil destiné au galvanisme et à l’induction dans la pratique
dentaire pour traiter la douleur. Archives de l’Académie de médecine,
liasse 265-G) reproduit dans Histoire des Sciences médicales, 2002, N° 1,
Tome XXXVI, p. 30-53, par Marguerite Zimmer. « Les quatre pieds sont […] bas, ce
qui situe le siège à une faible hauteur permettant à l’opérateur une bonne
approche des dents inférieures du patient. Le dossier est très haut et doté d’un
rembourrage très saillant, accusant un rebord supérieur suffisant pour permettre
l’appui de la tête, mais certainement pas pour des patients de petite taille »
Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie.
Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat
en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 24
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Fauteuil de George avec
son appareil galvanique
pour traiter la douleur,
1860 |
The Dental Cosmos, 1860, vol. 1, N° 1
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Fauteuil de Perkins, 1859
Fabriqué par Jones et White (Philadelphie, USA). À noter de tout petits pieds
qui soutiennent une base qui est en fonte de forme pyramidale décorée. The
Dental Cosmos. A monhly record of dental science, Jones et White,
Philadelphie, vol. 1, N° 1, 1860, p. 732
Elle présente « une rotule à son sommet sur laquelle vient s’emboiter la came du
corps du fauteuil ». Celui-ci est un « monobloc en bois, comprenant un dossier
siège et marchepied […] réglables en hauteur [par une manivelle] […] Une pédale
reliée à la came […] permet des orientations sous tous les angles […] et la
bascule latérale ». Les accoudoirs sont en col de cygne. Une deuxième manivelle
règle la hauteur du marchepied. Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du
fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation
ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris
V-Descartes, 1985, p. 30-31
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Fauteuil sans dénomination, 1860
Fabriqué par W. et J. Allen pour Jones & White à Philadelphie. « Un nouveau
style de fauteuil » Ce fauteuil parait dans le catalogue de S. S. White
1867 sous « Fauteuil, N° 1, 1860 ». A, cliquet pour lever ou rabattre la têtière
ornée de clous d’argent. B, vis pour faire glisser la têtière du haut en bas. C,
manivelle pour monter le fauteuil. D, levier à pied pour basculer le fauteuil
d’arrière en avant. Samuel S. White, Catalogue of Dental Materials.
Furniture, instruments, etc., Philadelphia, 1867, p. 117
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Fauteuil de Perkins, 1859 |
Fauteuil sans dénomination, 1860 |
The Dental Register, 1867, vol. 31
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Fauteuil N° 1de Justus Ask, 1860
Fabriqué par Archer à Rochester, (NY). D’apparence identique à celui fabriqué
par James Case. Fauteuil à bascule, avec dossier fixe dissocié de sa base à
quatre pieds. Une pédale latérale commande la bascule par une crémaillère à
crans. Têtière à soufflet à multi-positions. Marchepied cylindrique amovible.
The Dental Register, Vol. 31, 1867, p. 562
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Fauteuil N° 1 de Justus Ask, 1875
Vu de trois-quarts. Par Billard. Ask a présenté
son fauteuil N° 1 en 1859. En 1860 il fait breveter ce N° 1 en même temps que
les N° 2 et N° 3
Collection ASPAD, Cliché Gérard Braye
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Fauteuil N° 1de
Justus Ask, 1860 |
Fauteuil N° 1 de
Justus Ask, 1875 |
White Samuel S., Catalogue of Dental Materials, Furniture, instruments,
etc, 1867
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Fauteuil N° 2 de Perkins, 1860
Manipulable d’avant en arrière et en hauteur. Un des tout premiers
marchepieds qui peut monter et descendre indépendamment du fauteuil comme de la
têtière.
Samuel S. White, Catalogue of Dental Material, Furniture, instruments,
etc., Philadelphia, 1867, p. 118
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Fauteuil de Perkins, 1867
On remarque un petit crachoir équipé, semblerait il, avec un système
d’arrivée d’eau ?
Cliché Temple University, Philadelphie (USA), Reproduit dans Heinz E. Lässig
et Rainer A. Müller, Die Zahnheilkunde in Kunst und Kulturgeschichte,
Cologne, Du Mont, 1983, p.122
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Fauteuil N° 2 de Perkins, 1860 |
Fauteuil de Perkins, 1867 |
Fauteuil N° 2 de Justus Ask, 1860
Fabriqué par R. W. Archer (Rochester, (N-Y) breveté par Justus Ask le 4
septembre 1860. Dès 1861, Archer devient le fabricant exclusif. L’élévation du
fauteuil se fait par une manivelle postérieure. La têtière basculable est
entièrement ajustable en hauteur et en latéralité. Marchepied indépendant,
réglable en hauteur. Samuel S. White, Catalogue of Dental Materials,
Furniture, instruments, etc., Philadelphia, 1867, p. 12
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Fauteuil N° 2 de Ask , 1861
Par Archer (Rochester N-Y), vu de face
Collection du Smithsonian Institute, Cliché Gérard Braye
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Fauteuil N° 2 de
Justus Ask, 1860 |
Fauteuil N° 2 de
Ask , 1861 |
Marchepied N° 1 de R. W. Archer, 1860
Recouvert d’un tapis de Bruxelles, Samuel S. White, Catalogue of Dental
Materials, Furniture, instruments, etc., Philadelphia, 1867, p. 124 |
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1860 Marchepied N° 2, 1860
Recouvert d’un tapis de Bruxelles, Samuel S. White, Catalogue of Dental
Materials, Furniture, instruments, etc., Philadelphia, 1867, p. 125
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Marchepied N° 1 de
R. W. Archer, 1860 |
1860 Marchepied N° 2,
1860 |
Tous ces fauteuils et marchepieds ont des structures en acajou, ou en noyer
huilé ou vernis, ou teinté pour imiter le bois de rose
Fauteuil N° 3 de Perkins dernier modèle, 1867
« Pour la solidité, la durabilité et la beauté des finitions, ces fauteuils
ne peuvent être surpassés », Samuel S. White, Catalogue of Dental Materials.
Furniture, instruments, etc., Philadelphia, 1867, p. 119
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Fauteuil de Whitcomb, 1867
Deux manivelles permettent, l’une de lever le fauteuil, l’autre de le
basculer. Il peut également être basculé de chaque côté. Une pédale permet de
bloquer toutes les positions, Samuel S. White, Catalogue of Dental Materials.
Furniture, instruments, etc., Philadelphia, 1867, p.120
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Têtière de O. C. White, 1867
Avec fauteuil inspiré du fauteuil de Ask N°1, breveté le 12 mars 1867. Cette
têtière très mobilisable soutient efficacement la tête dans toutes les
positions. Le fauteuil peut être levé, Samuel S. White, Catalogue of Dental
Materials, Furniture, instruments, etc., Philadelphia, 1867, p. 122
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Fauteuil N° 3 de Perkins
dernier modèle, 1867 |
Fauteuil de Whitcomb, 1867
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Têtière de O. C. White, 1867
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The Dental Times, Vol. VII, N° 4, avril 1870
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Fauteuil « Universel » de Butler, 1870
Fabriqué par Rubencame et Barker, 325 Arch Street, Philadelphia. The
Dental Times, vol. VII, Philadelphia, N°4, avril 1870, (pages publicitaires
non numérotées)
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Fauteuil « Universel »
de Butler, 1870 |
Ash Claudius & Sons, A catalogue artificial teeth,
dental materials, instruments, tools, furniture, etc., 1871
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Fauteuils de Morrison, N° 1, 1868
En position basse et en position haute, la mécanique permet d’obtenir toutes
les positions nécessaires. À noter la base en forme d’étoile supportant ce qui
pourrait constituer la première tentative d’une colonne centrale pour contenir
la mécanique. « Ce fauteuil est considéré comme le meilleur actuel ». Il est en
noyer avec poignées et clous argentés. Claudius Ash & Sons, A catalogue
artificial teeth, dental materials, instruments, tools, furniture, etc.,
London, 1871, p. 29-30
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Fauteuils de Morrison, N° 1, 1868
En position basse et en position haute, la mécanique permet d’obtenir toutes
les positions nécessaires. À noter la base en forme d’étoile supportant ce qui
pourrait constituer la première tentative d’une colonne centrale pour contenir
la mécanique. « Ce fauteuil est considéré comme le meilleur actuel ». Il est en
noyer avec poignées et clous argentés. Claudius Ash & Sons, A catalogue
artificial teeth, dental materials, instruments, tools, furniture, etc.,
London, 1871, p. 29-30
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Fauteuil de Morrison en bois et métal, 1868-1875
Vu de trois-quarts, par Ash and Sons, Londres
Musée des Sciences médicales, Collection du Musée dentaire, Vienne (Autriche)
Cliché Gérard Braye
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Fauteuils de Morrison,
N° 1, 1868
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Fauteuils de Morrison,
N° 1, 1868
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Fauteuil de Morrison
en bois et métal,
1868-1875 |
Fauteuil N° 2 de Perkins, 1868
« Tous ces fauteuils sont fabriqués d’après des modèles américains ». Le
corps est fixé à la base par un joint à rotule sous la jupe pour obtenir toutes
les positions. Et une manivelle permet de monter et descendre l’ensemble du
fauteuil à quatre pieds ouvragés, Claudius Ash & Sons, A catalogue artificial
teeth, dental materials, instruments, tools, furniture, etc., London, 1871,
p. 32
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Fauteuil N° 2 de Perkins,
1868 |
Fauteuil de Owen, Ash N° 3, 1868
« Une pédale située à l’arrière du fauteuil permet à l’ensemble du fauteuil,
accoudoirs compris, de le basculer en avant ou en arrière. L’ensemble peut être
dans n’importe quelle position intermédiaire. La têtière est également
mobilisable. En noyer ou en acajou recouvert de velours », Claudius Ash & Sons,
A catalogue artificial teeth, dental materials, instruments, tools,
furniture, etc., London, 1871, p. 33
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Fauteuil de Owen, 1868-1870
Vu de profil, Catalogue de vente, 21 mars 2006, lot N° 54, p. 3 et 4
Cliché Kapandji Morhange
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Fauteuil de Owen,
Ash N° 3, 1868 |
Fauteuil de Owen,
1868-1870 |
Fauteuil de Owen, Ash N° 4, 1868
En noyer ou en acajou recouvert de velours, Claudius Ash & Sons, A
catalogue artificial teeth, dental materials, instruments, tools, furniture,
etc., London, 1871, p. 34
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Fauteuil de Owen, Ash and Sons, Londres, 1868-1870
Vu de trois-quarts, Ce modèle semble être avant la « bascule complémentaire
de tout le fauteuil ». « Le fauteuil de Owen, praticien de Londres, présenta un
fauteuil fabriqué par Betgemann [en 1859] et repris [en 1870] par Ash & sons à
Londres », Gérard Braye
Collection de l’Ordre National des Chirurgiens-Dentistes, Cliché Pierre Baron
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Fauteuil de Owen,
Ash N° 4, 1868 |
Fauteuil de Owen, Ash and Sons,
Londres, 1868-1870 |
Fauteuil Ash N° 5, 1868
En noyer recouvert de velours avec une manivelle pour avancer ou reculer le
siège, ce qui entraîne l’orientation du dossier. A catalogue artificial
teeth, dental materials, instruments, tools, furniture, etc., London, 1871,
p. 34
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Fauteuil Ash, N° 6, 1868
Le dossier peut être rabattu sous n’importe quel angle au moyen d’un levier à
ressort à cliquet, A catalogue artificial teeth, dental materials,
instruments, tools, furniture, etc.,London, 1871, p. 35
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Fauteuil Ash N° 5, 1868
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Fauteuil Ash, N° 6, 1868
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Têtières Claudius Ash &
Sons, N° 1 et N° 2
Fixables sur tous les fauteuils. A catalogue artificial
teeth, dental materials, instruments, tools, furniture, etc., London, 1871,
p. 40
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Têtières Claudius Ash & Sons, N° 1 et N° 2
Fixables sur tous les fauteuils. A catalogue artificial teeth, dental
materials, instruments, tools, furniture, etc., London, 1871, p. 40
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Têtières Claudius Ash & Sons, N° 1 et N° 2 |
Divers marchepieds, 1868
En bois recouverts de tissus. A catalogue
artificial teeth, dental materials, instruments, tools, furniture, etc.,
London, 1871, p. 35-36
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Divers marchepieds, 1868
En bois recouverts de tissus. A catalogue
artificial teeth, dental materials, instruments, tools, furniture, etc.,
London, 1871, p. 35-36
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Divers marchepieds, 1868
En bois recouverts de tissus. A catalogue
artificial teeth, dental materials, instruments, tools, furniture, etc.,
London, 1871, p. 35-36
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Divers marchepieds, 1868 |
The Dental Advertiser, vol 3, N° 1, août 1871 et N° 4, mai 1872
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Fauteuil de salon, 1871
et 1872
Équipé d’une têtière du Dr O. C White.
The Dental Advertiser, vol 3,
N° 1, août1871, p. 16
The
Dental Advertiser, vol
III, N° 4, mai 1872, p. 119
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Fauteuil de salon, 1871-1872 |
The Dental Advertiser, janvier 1874
Fauteuil de Justus Ask N° 3, présenté dès 1860
Fabriqué par Archer (Rochester, 1860 (N-Y). Breveté par Ask le 4 septembre
1860. Repose-pied cylindrique ajustable sur le marchepied. Ce modèle est
présenté dans The Dental Cosmos, 1862. « Succès […] élégance […]
simplicité de leur utilisation […] confort du patient et […] commodité offerte
aux praticiens ». Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire
en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e
cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 30.
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Fauteuil N° 3 de Justus Ask, 1876-1877
Par S. S. White, vu de trois-quarts avant, système d’élévation à crémaillère
Collection du Musée dentaire de Lyon, Cliché Claude Rousseau
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Fauteuil de Justus Ask N° 3,
présenté dès 1860 |
Fauteuil N° 3 de
Justus Ask, 1876-1877 |
Fauteuil de Snowden et Cowman, présenté dès 1867
« Têtière à mouvement universel […] le Crachoir et le support […] le
réservoir sont en laiton avec de l’argent ou du nickel plaqué, poli, peint,
selon la commande […] la tablette est en noyer […] le marchepied peut être monté
ou descendu sans bruit est recouvert d’un tapis de Bruxelles », The Dental
Advertiser, Vol 5, janvier 1874, p.20
« Ressemble au fauteuil de Ask [N°2] […] avec une base métallique à quatre pieds
[…] mêmes possibilités […] possède en plus la rotation axiale du corps du
fauteuil […] Breveté le 24 septembre 1867 […] Ce modèle est présenté pour la
première fois avec un crachoir attenant au siège », Claude Rousseau, Évolution
conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique.
Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie
dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 32
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Fauteuil de Justus Ask, type N° 3, par Billard
fils, ca 1875
Vu de trois-quarts.
Collection ASPAD Cliché Gérard Braye
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Fauteuil de Snowden et
Cowman, présenté dès 1867
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Fauteuil de Justus
Ask, type N° 3,
par Billard
fils,
ca 1875 |
The monthly review of dental surgery, N° 1, Vol. IV, juin 1875
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Fauteuil de Rutterford, 1875
« Le siège monte ou descend ou bien avec les deux accoudoirs, ou avec un
seul, ou encore indépendamment, avec la manivelle B […] C. est une pédale […]
[qui permet] de basculer [le fauteuil] en arrière ou en avant ou latéralement »,
The monthy review of dental surgery, N° I, Vol. IV, juin 1875, p. 47-48
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Fauteuil de Rutterford, 1875 |
White Samuel S., Catalogue of Dental Materials, 1876-1877
Page de titre : Samuel S. White, Catalogue of Dental Materials.
Furniture, instruments, etc., Philadelphia, Chestnut St., Corner of Twelfth,
1876-1877
(BIU Santé 34/118)
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Fauteuil Archer N° 3, 1876
Ce fauteuil est quasi identique à celui de 1860 fabriqué par Archer. Samuel
S. White, Catalogue of Dental Materials. Furniture, instruments, etc.,
Philadelphia, Chestnut St., Corner of Twelfth, 1876-1877, p. 247
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Fauteuil N° 3 de Justus Ask, 1876-1877
Par S. S. White, vu de trois-quarts avant, système d’élévation à crémaillère
Collection du Musée dentaire de Lyon, Cliché Claude Rousseau
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Fauteuil Archer N° 3, 1876 |
Fauteuil N° 3 de Justus
Ask, 1876-1877 |
Le Cosmos dentaire, édition française du Dental Cosmos, 1876-1878
Fauteuil d’opération, fabrication spéciale de E. Billard Fils, 1877/1878
« Les prix varient entre 235 et 800 fr. Ces fauteuils se font en chêne
simple ou sculpté, acajou, imitation d’ébène, ou palissandre, et sont aussi
exécutés suivant les dimensions données », Le Cosmos dentaire 1876-1878,
édition française du Dental Cosmos, (pages publicitaires)
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Fauteuil de E. Billard, 1875
Vu de trois-quarts. « Fauteuil de prestige de Paris », chez E. Billard, 4
Passage Choiseul, Paris
« Ce fauteuil à bascule, par sa conception, est inspiré du fauteuil américain de
Justus Ask que construisait R. W. Archer à Rochester. N.Y. vers 1860. Un système
très simple à pédale agissant sur une crémaillère fixe les différentes positions
de la bascule antéro-postérieure du fauteuil sur sa base. À l'arrière du
fauteuil une manivelle en liaison avec un vérin permet d'ajuster la hauteur de
l'assise du siège. Ce modèle possède une petite tablette fixe derrière le
dossier. La têtière est ajustable en hauteur, en latéralité et d'avant en
arrière. Le fauteuil du musée, en noyer patiné, avec son velours rouge et sa
grande frange cache-mécanique, est absolument prestigieux » (Gérard Braye)
Collection Hospices de Lyon, Cliché Gérard Braye
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Fauteuil d’opération,
fabrication spéciale de
E. Billard Fils, 1877/1878 |
Fauteuil de E. Billard, 1875
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Fauteuil d’opération, 1877/1878
Fauteuil d’opération simplifié avec ses possibilités de mouvements en
pointillé
Le Cosmos dentaire 1876-1878, édition française du Dental
Cosmos, (pages publicitaires)
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Fauteuil de Chevalier par Billard, ca 1860
Vu de profil
Collection ASPAD, Cliché Gérard Braye
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Fauteuil d’opération
1877/1878 |
Fauteuil de Chevalier
par
Billard, ca 1860 |
Marchepied mécanique, 1877/1878
Marchepied mécanique pouvant servir à tous les fauteuils
d’opération,
Le Cosmos dentaire 1876-1878, édition française du Dental
Cosmos, (pages publicitaires)
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Marchepied mécanique
1877/1878 |
Hood & Reynolds, Catalogue of dental materials, Boston, 1881
Fauteuil Archer N° 2 « open arm », 1881
Tout en noyer, les accoudoirs sont ajourés, le siège est indépendant de la
base, Hood & Reynolds, Catalogue of dental materials, Instruments,
Furnitures, Tools, Boston, 1881, p. 251
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Fauteuil N° 2 de Justus Ask, 1860
Par R.W. Archer (Rochester, NY) vu de trois-quarts
Collection particulière (Turin), Cliché Massimo Vaccariello
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1881 Fauteuil Archer N° 2, "closed-arm"
Tout en noyer, les accoudoirs sont tapissés, le siège est indépendant de la
base, Hood & Reynolds, Catalogue of dental materials, Instruments,
Furnitures, Tools, Boston, 1881, p. 252
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Fauteuil N° 2 de Justus Ask , 1860
Par Billard, avec son marchepied
Collection particulière , Cliché Gérard Braye
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Fauteuil Archer N° 2
« open arm », 1881 |
Fauteuil N° 2 de
Justus Ask, 1860 |
1881 Fauteuil Archer
N° 2, "closed-arm" |
Fauteuil N° 2 de
Justus Ask , 1860 |
Correspondenz-Blatt für Zahnärzte,
juli 1890
Page de titre : Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash &
Sons, Berlin, janvier 1890
(BIU Santé P 9) |
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Fauteuil Ash & Sons N° XXXII,
1890
Particulièrement adapté pour l’hôpital. À remarquer deux
manivelles : A, sert à éloigner ou rapprocher le marchepied du fauteuil ; B,
sert à renverser le dossier jusqu’à l’horizontale et deux pieds le supportent.
Le siège est relevable. Prévu pour narcose, Correspondenz-Blatt für Zahnärzte,
Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, janvier 1890, p. X
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Fauteuil Ash & Sons N° XXXII, 1890 |
Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, 1891
Page de titre : Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash &
Sons, Berlin, avril 1891
(BIU Santé P 9)
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Fauteuil Billiger Ash & Sons pour hôpital, 1891
Tout en bois, pour hôpital, Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag
von C. Ash & Sons, Berlin, avril 1891, p. VII
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Fauteuil Ash & Sons, « modèle hôpital de Londres », 1891
Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin,
avril 1891, p. V
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Fauteuil Billiger Ash & Sons
pour hôpital,
1891 |
Fauteuil Ash & Sons,
« modèle hôpital de Londres »,
1891 |
Fauteuil Ash & Sons pour
hôpital, en bois, 1891
Long dossier avec têtière faisant partie du dossier,
Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin,
avril1891, p. VI
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Fauteuil Ash & Sons pour hôpital,
en bois, 1891 |
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