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Les Fauteuils

Exposition

I. Socle à quatre pieds (A)

 

Fauteuils de Morrison, 1872
 

Fauteuil de Morrison, 1872, vu de profil

Par la Johnston brothers & Selby company, New-York (USA). « Un des premiers fauteuils en fonte. Morrison est le premier auteur à concevoir un fauteuil pour le travail en position assise […] mécanisme de levage situé au niveau du dossier […] Le bloc dossier-têtière peut osciller latéralement […] Le confort du patient est amélioré par un dossier ajustable à [sa] courbure dorsale », Claude Rousseau, Catalogue de l’exposition Des dents et des hommes. Centenaire du diplôme de Chirurgien-dentiste 1892-1992, 1992, n° 215, p. 65

Collection Musée des hospices civils de Lyon, cliché Claude Rousseau

Fauteuil de Morrison, 1872, vu de profil et de trois-quarts face

Par la Johnston brothers & Selby company, New-York (USA). « Système de levage, crémaillère à manivelle, situé au niveau du dossier pour un fauteuil complètement métallique en fonte richement décorée. Il est le premier à concevoir un fauteuil pour un travail en position assise. C'est un véritable modèle ergonomique. L'ensemble dossier têtière peut se déplacer latéralement permettant une meilleure approche. Le dossier possède une double adaptation pour la courbure dorsale du patient. Têtière adaptable à multipositions, les accoudoirs et le marchepied à double plateforme sont mobiles. Naturellement l'ensemble est complètement basculable. » L’originalité vient du fait que ce fauteuil a deux dossiers « le dossier principal fixe […] la base […] assurant un meilleur soutien de la cambrure dorsale des malades. Un dossier accessoire amovible et réglable en hauteur est fixé sur une glissière coulissante dont la partie supérieure constitue la base de la têtière […] Le marchepied comprend deux plates-formes, une, fixe et horizontale, une, mobile », Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 37-38

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

Fauteuil de Morrison, 1872, vu de profil et de trois-quarts face

Par la Johnston brothers & Selby company, New-York (USA). « Système de levage, crémaillère à manivelle, situé au niveau du dossier pour un fauteuil complètement métallique en fonte richement décorée. Il est le premier à concevoir un fauteuil pour un travail en position assise. C'est un véritable modèle ergonomique. L'ensemble dossier têtière peut se déplacer latéralement permettant une meilleure approche. Le dossier possède une double adaptation pour la courbure dorsale du patient. Têtière adaptable à multipositions, les accoudoirs et le marchepied à double plateforme sont mobiles. Naturellement l'ensemble est complètement basculable. » L’originalité vient du fait que ce fauteuil a deux dossiers « le dossier principal fixe […] la base […] assurant un meilleur soutien de la cambrure dorsale des malades. Un dossier accessoire amovible et réglable en hauteur est fixé sur une glissière coulissante dont la partie supérieure constitue la base de la têtière […] Le marchepied comprend deux plates-formes, une, fixe et horizontale, une, mobile », Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 37-38

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

Fauteuil de Morrison, 1872, vu de trois quarts dos

Avec toutes les commandes des mécanismes

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

Fauteuil de Morrison, 1872, vu de profil

Avec la manivelle de levage du fauteuil et une pédale destinée très probablement à la descente

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

Fauteuil de Morrison, 1872, vu de dos et son crachoir

Avec les commandes de réglages de la têtière

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Morrison, 1872, vu de dos et son crachoir

Avec les commandes de réglages de la têtière

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Morrison, autre modèle

Socle à 4 pieds. Mécanisme de levage situé au niveau du dossier.

Collection particulière, cliché Claude Rousseau

 

Fauteuil de Morrison 1872

Par la Johnston brothers & Selby company, New-York (USA).

Medecinhistoriska Museet, Stockholm (Suède), Cliché Claude Rousseau

 
autres modèles

Fauteuil Harvard, Canton (Ohio), ca1875
 

Fauteuil Harvard, Canton (Ohio), ca1875, vu de trois-quarts

Mécanisme de levage situé au niveau du dossier. Ce fauteuil est typique de cette période autour de 1872 et du fauteuil de Morrison, avec ses pieds en éventails, agrémentés de roulettes.

Collection British Dental Association, Londres, cliché British Dental Association

 

Fauteuil Harvard, Canton (Ohio), ca1875, vu de profil en position « opérations »

Entièrement à l’horizontale

Collection British Dental Association, Londres, cliché British Dental Association

 

Fauteuil Harvard, Canton (Ohio), ca1875, vu de dos

Têtière et plaque marquée Harvard. Il faut remarquer le mécanisme extrêmement succinct, ne permettant, probablement pas, d’obtenir beaucoup de positions.

Collection British Dental Association, Londres, cliché British Dental Association

 

Fauteuil Harvard, Canton (Ohio), ca1875, vu de dos

Plaque marquée Harvard, après restauration.

Collection British Dental Association, Londres. cliché British Dental Association

 
  en position « opérations    

« Swinging dental chair » de S. S. White, 1878
 

« Swinging dental chair » de S. S. White, 1878, vu de profil, de trois-quarts et de face

Le dossier est en deux parties « élévation […] [par] un classique système à vis. L’originalité […] réside dans la présence d’un fort ressort qui entoure la vis principale […] [elle] soustrait la vis à l’influence du frottement en réduisant l’effort nécessaire pour élever le fauteuil occupé par le malade », Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 45

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché M. Vaccariello

« Swinging dental chair » de S. S. White, 1878, vu de profil, de trois-quarts et de face

Le dossier est en deux parties « élévation […] [par] un classique système à vis. L’originalité […] réside dans la présence d’un fort ressort qui entoure la vis principale […] [elle] soustrait la vis à l’influence du frottement en réduisant l’effort nécessaire pour élever le fauteuil occupé par le malade », Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 45

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché M. Vaccariello

 

« Swinging dental chair » de S. S. White, 1878, vu de profil, de trois-quarts et de face

Le dossier est en deux parties « élévation […] [par] un classique système à vis. L’originalité […] réside dans la présence d’un fort ressort qui entoure la vis principale […] [elle] soustrait la vis à l’influence du frottement en réduisant l’effort nécessaire pour élever le fauteuil occupé par le malade », Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 45

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché M. Vaccariello

 

« Swinging dental chair » de S. S. White, 1878 vu de dos, et son ressort

Autre modèle avec les commandes de réglage de la têtière et l’armature métallique au dos du dossier et le ressort

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché Gérard Braye

 

« Swinging dental chair » de S. S. White, 1878 vu de dos, et son ressort

Autre modèle avec les commandes de réglage de la têtière et l’armature métallique au dos du dossier et le ressort

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché Gérard Braye

 

Fauteuils Simplex de Schneider, Berlin, 1883
 

Fauteuil Simplex de Schneider, 1883, vu de trois-quarts

Le système de levage à manivelle et la pédale à l’arrière pour basculer le fauteuil semblent être absents.
« Modèle qui par la simplicité de sa mécanique et son bas prix fut lui aussi produit par plusieurs constructeurs. Une pédale postérieure permet par un simple mouvement mécanique simultanément un renversement ajustable du dossier et une élévation du marchepied. La têtière est ajustable aisément et il y a possibilité d'opter pour une élévation de l'assise par manivelle. Sa forme fauteuil classique et sa belle ornementation ont un côté flatteur », Gérard Braye

Collection particulière, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Simplex de Schneider, Berlin, 1883

Manivelle de levage sur le côté du siège. Pédale à l’arrière pour basculer le fauteuil.

Musée de la Faculté d’odontologie de Toulouse Rangueil, cliché Yves Barsacq

 

Fauteuil Simplex de Schneider, Berlin, 1883, vu de trois-quarts, de face et de dos

Manivelle de levage sur le côté du siège. Pédale à l’arrière pour basculer le fauteuil. Remarquer la richesse des dorures par rapport aux mêmes modèles présentés provenant d’autres collections particulières

Collection particulière, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Simplex de Schneider, Berlin, 1883, vu de trois-quarts, de face et de dos

Manivelle de levage sur le côté du siège. Pédale à l’arrière pour basculer le fauteuil. Remarquer la richesse des dorures par rapport aux mêmes modèles présentés provenant d’autres collections particulières

Collection particulière, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Simplex de Schneider, Berlin, 1883, vu de trois-quarts, de face et de dos

Manivelle de levage sur le côté du siège. Pédale à l’arrière pour basculer le fauteuil. Remarquer la richesse des dorures par rapport aux mêmes modèles présentés provenant d’autres collections particulières

Collection particulière, cliché Gérard Braye

 
 

Fauteuil Simplex de Schneider, Berlin, 1883, vu de face avec un crachoir

« New Simplex […] par […] Schneider […] dès 1883 […] simple avec une bascule du dossier, libéré par une pédale postérieure, entrainant l’allongement du marchepied. Un système de vis à manivelle permet la montée de l’assise », Gérard Braye,

Medical Museion de Copenhague (Danemark), cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Simplex de Schneider, Berlin, 1883, vu de face, détail

Sous le siège, la plaque travaillée

Medical Museion de Copenhague (Danemark), cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Simplex de Schneider, Berlin, 1883, crachoir

« Sur pied, avec branchement sanitaire, type « Clark A Single » avec repose verre, pompe à salive et jet d’eau de rinçage […] vers 1900 », Gérard Braye

Medical Museion de Copenhague (Danemark), cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Simplex de Schneider, Berlin, 1883, vu de face, têtière

Têtière avec son mécanisme et son appui pour le bras de l’opérateur

Medical Museion de Copenhague (Danemark), cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Ash « Swinging », 1886
 

Fauteuil Ash « Swinging », 1886, vu de trois-quarts arrière

« Ce fauteuil peut basculer en arrière comme le fauteuil S. S. White de 1878, par une pédale ou un levier qui n’apparaissent pas sur ces clichés » Gérard Braye

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Ash « Swinging », 1886, avec mannequin, vu de trois-quarts arrière partiel

Ce fauteuil peut pivoter sur lui-même grâce aux cylindres situés sous les 4 pieds » Gérard Braye

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Ash « Swinging », 1886, avec mannequin, vu partiellement de profil

Détail sur la décoration

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Ash n° 26, 1887
 

Fauteuil Ash n° 26, 1887, vu de trois-quarts

Avec un système de levage sous le siège à crémaillère à vis. « Directement inspiré par le succès du Simplex d’Adam Schneider. Semblables dans leur principe mécanique, seul le marchepied reste fixe », Gérard Braye

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Ash n° 26, 1887, vu de profil

Bien visibles sur ce cliché la pédale située derrière le dossier du siège et la manivelle sur le côté permettant de basculer le fauteuil

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Ash n° 26, 1887, vu de dos

Mécanismes visibles : pédale de levage avec son mécanisme sous le siège, les deux poignées de réglage de la têtière, l’une pour le réglage de la hauteur et l’autre pour la positionner

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuils Ash n° 28, 1888
 

Fauteuil Ash n° 28, 1888, vu de trois-quarts face

« Autre adaptation simplifiée du Wilkerson 1882. Ce fauteuil était disponible avec plusieurs sortes de bases selon le mécanisme d'élévation choisi. On le connaît bien avec une base à levage activé par deux pédales, une pour la montée, l'autre pour la descente, ainsi qu'avec la base de notre modèle : Une pédale escamotable élévatrice par cric à cliquet agit directement sur le piston pour permettre ensuite une oléosustentation. Un intéressant mécanisme contrôle l'inclinaison du dossier », Gérard Braye

Collection particulière ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Ash n° 28, 1888, vu de trois-quarts dos

Leviers et poignées de commande des mécanismes de levage du dossier et du réglage de la têtière

Collection particulière ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Brentfield, ca1890, Angleterre
 

Fauteuil de Brentfield, ca1890, Angleterre

« Malgré la présence […] [en cette fin de XIXe siècle] de nombreux fauteuils très perfectionnés, quelques modèles mécaniques subsistent sur le marché comme le fauteuil Brentfield à cause de leur prix de vente nettement moins élevé »

Catalogue de l’exposition Des Dents et des Hommes. Centenaire du Diplôme de Chirurgien-Dentiste. 1892-1992, 1992, n° 246, p. 74. Collection particulière, cliché Claude Rousseau


Fauteuil d’hôpital, 1930
 

Fauteuil d’hôpital, 1930, vu de face, trois-quarts et profil

Probablement fauteuil d’examen clinique

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché M. Vaccariello

 

Fauteuil d’hôpital, 1930, vu de face, trois-quarts et profil

Probablement fauteuil d’examen clinique

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché M. Vaccariello

 

Fauteuil d’hôpital, 1930, vu de face, trois-quarts et profil

Probablement fauteuil d’examen clinique

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché M. Vaccariello

 


II. Socle à quatre pieds assemblés en leur sommet avec en leur centre une vis un cylindre (avec ou sans pompe) ou une plateforme munie d’un mécanisme permettant le renversement et la rotation sur l’axe du corps du fauteuil (B)
 


Fauteuil de O. C. White et O’Hara, 1876
 

Fauteuil de O. C. White et O’Hara, 1876

Mécanisme de levage situé au niveau du dossier. « En fonte à pattes de lion, recouvert de velours rouge, avec son mécanisme d’élévation par vis et manivelle. Ce modèle sera amélioré dès 1878 par S. S. White avec un système mécanisé à pédale levier et à sustentation hydrostatique pour devenir en 1879, avec son marchepied ajustable, le fameux « Pedal lever chair » de S. S. White qui connut un succès considérable. Ce fauteuil précurseur est l’unique exemplaire connu. », Gérard Braye

Medical Museion de Copenhague (Danemark), cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de O. C. White et O’Hara, 1876, têtière

« Sa têtière est multifonctionnelle avec un repose main. » Gérard Braye

Medical Museion de Copenhague (Danemark), cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de O. C. White et O’Hara, 1876, mécanisme au dos du dossier

« Un astucieux système mécanique permet la bascule du dossier adaptable. », Gérard Braye,

Medical Museion de Copenhague (Danemark), cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de O. C. White et O’Hara, 1876, vue latérale

On peut voir les pieds en pattes de lion ainsi que le décor qui fixent le bras vertical de l’accoudoir

Medical Museion de Copenhague (Danemark), cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de O. C. White et O’Hara, 1876

« En fonte à pattes de lion, recouvert de velours rouge, avec son mécanisme d’élévation par vis et manivelle […] Un astucieux système mécanique permet la bascule du dossier adaptable », Gérard Braye

Medical Museion de Copenhague (Danemark), cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de S. S. White, 1876
 

Fauteuil de S. S. White, 1876

Le marchepied est adaptable en hauteur », Gérard Braye « Ce fauteuil est en fait celui de O. C. White et O’Hara amélioré où l’ancien système à vis et à manivelle a été remplacé par un mécanisme à pédale à levier » Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 43

Musée dentaire de la Faculté d’Odontologie de Lyon, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil S. S. White « Pedal lever chair », 1878
 

Fauteuil S. S. White « Pedal lever chair », 1878

« Les quatre pieds sont surélevés d’importantes cales en bois pour compenser un défaut de ce fauteuil, limité dans sa descente », Gérard Braye,

« Il était une fois … les assistantes dentaires », L’Information dentaire, n°11, 20 mars 2019, p. 44 - Collection ASPAD

 

Fauteuil de Wilkerson, ca1880
 

Fauteuil de Wilkerson du cabinet du Dr Charles F. Allan, Newburg (N-Y), ca1880

« Un Wilkerson 1er modèle 1877 par Johnston brothers », Gérard Braye

Collection particulière, cliché Claude Rousseau

 

Fauteuils de Nicoud par Mamelzer, 1880
 

Fauteuil de Nicoud par Mamelzer, 1880, vu de profil et de dos

« J.-L Nicoud […] fabricant […] à Paris, fit probablement construire ce fauteuil par T. Mamelzer. Il est inspiré du « S. S. White pedal lever chair » de 1878. Situé dans sa base, son mécanisme de levage à piston est hybride et sophistiqué : mécanique pour l'élévation avec mâchoires de translation activées par une pédale et à sustentation hydrostatique pour une descente en douceur. Sa confortable têtière est entièrement adaptable. Son originalité vient de son piètement et de son dossier en fonte », Gérard Braye

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Nicoud par Mamelzer, 1880, vu de profil et de dos

« J.-L Nicoud […] fabricant […] à Paris, fit probablement construire ce fauteuil par T. Mamelzer. Il est inspiré du « S. S. White pedal lever chair » de 1878. Situé dans sa base, son mécanisme de levage à piston est hybride et sophistiqué : mécanique pour l'élévation avec mâchoires de translation activées par une pédale et à sustentation hydrostatique pour une descente en douceur. Sa confortable têtière est entièrement adaptable. Son originalité vient de son piètement et de son dossier en fonte », Gérard Braye

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Nicoud par Mamelzer, 1880, vu de dos

Avec la têtière avec ses commandes de réglage

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Nicoud par Mamelzer, 1880, vu de profil

Détail de l’armature latérale décorée de l’assise du fauteuil et la poignée servant à la libération de l’accoudoir droit

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Nicoud par Mamelzer, 1880

Avec crachoir, verre et une coupelle en verre

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Nicoud par Mamelzer, 1880

Collection particulière., cliché Claude Rousseau

 

Fauteuil de Wilkerson, Wirth et Malmezer, 1880
 

Fauteuil de Wilkerson, 1880

« Fauteuil de Wilkerson, fabrication J. Wirth, Paris et Malmezer, Paris. Ce modèle perfectionné français dérive du fauteuil de Wilkerson présenté en 1877 […] La traditionnelle manivelle est remplacée par une pédale à levier en liaison avec une crémaillère pour la montée et hydraulique pour la sustentation et la descente », Claude Rousseau.

Catalogue de l’exposition Des dents et des hommes. Centenaire du diplôme de Chirurgien-dentiste 1892-1992, 1992n° 222, p. 67
Collection particulière, cliché Claude Rousseau


Fauteuil n° 7 de J. Wirth, Paris, 1880
 

Fauteuil n° 7 de J. Wirth, Paris, 1880

F.B. Koelliker & Cie. Avec une pédale sous le siège pour le levage

Collection particulière. Cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Wilkerson, 1882
 

Fauteuil de Wilkerson, 1882, vu de face

Très proche du premier fauteuil de Wilkerson de 1877
« Le système élévatoire situé sous le fauteuil est révolutionnaire. La pédale à levier agit sur une crémaillère solidaire du piston par un vérin à cric qui élève le fauteuil mécaniquement. Le piston peut alors se remplir d'huile, la sustentation et la descente du fauteuil sont assurée par pression oléostatique. Ce mécanisme est une phase transitoire vers les véritables fauteuils hydrauliques à pompe que réalisera Ritter en 1891 […] Fabriqués en grandes séries par S. S. White, de nombreuses firmes européennes en réalisèrent des copies ou peut être en importèrent des modèles démarqués : Claudius Ash à Londres, J. Wirth et T. Mamelzer à Paris, E. Simonis, H. C. E. Eggers, W. Schaper, P. Buss et A. Schneider en Allemagne […] [Ce fauteuil] est probablement par J. Wirth ou Mamelzer à Paris qui le vendaient sous label fabrication française », Gérard Braye

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Wilkerson, 1882, vu de dos

Têtière et ses réglages la pédale de levage

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Wilkerson, 1882

Vue détaillée sur la pédale de levage

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil « Simplex » de Schneider, Berlin, 1883
 

Fauteuil Simplex de Schneider, Berlin, 1883, vu de profil

Cylindre hydrostatique ou oléostatique. Manivelle de levage sur le côté du siège
Pédale de bascule à l’arrière. « Modèle qui par la simplicité de sa mécanique et son bas prix fut lui aussi produit par plusieurs constructeurs. Une pédale postérieure permet par un simple mouvement mécanique simultanément un renversement ajustable du dossier et une élévation du marchepied. La têtière est ajustable aisément et il y a possibilité d'opter pour une élévation de l'assise par manivelle. Sa forme fauteuil classique et sa belle ornementation ont un côté flatteur », Gérard Braye

Collection V. Burello, Turin, cliché Massimo Vaccariello

 

Fauteuil Simplex de Schneider, Berlin, 1883, vu de profil

Cylindre hydrostatique ou oléostatique. Manivelle de levage sur le côté du siège
Pédale de bascule à l’arrière. « Modèle qui par la simplicité de sa mécanique et son bas prix fut lui aussi produit par plusieurs constructeurs. Une pédale postérieure permet par un simple mouvement mécanique simultanément un renversement ajustable du dossier et une élévation du marchepied. La têtière est ajustable aisément et il y a possibilité d'opter pour une élévation de l'assise par manivelle. Sa forme fauteuil classique et sa belle ornementation ont un côté flatteur », Gérard Braye

Collection V. Burello, Turin, cliché Massimo Vaccariello

 

Fauteuil Simplex de Schneider, Berlin, 1883, vu de profil

Cylindre hydrostatique ou oléostatique. Manivelle de levage sur le côté du siège
Pédale de bascule à l’arrière. « Modèle qui par la simplicité de sa mécanique et son bas prix fut lui aussi produit par plusieurs constructeurs. Une pédale postérieure permet par un simple mouvement mécanique simultanément un renversement ajustable du dossier et une élévation du marchepied. La têtière est ajustable aisément et il y a possibilité d'opter pour une élévation de l'assise par manivelle. Sa forme fauteuil classique et sa belle ornementation ont un côté flatteur », Gérard Braye

Collection V. Burello, Turin, cliché Massimo Vaccariello

 

Fauteuil de Wilkerson, 1884
 

Fauteuil de Wilkerson, 1884, vu de profil

Très proche du premier fauteuil de Wilkerson de 1877

Collection particulière, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil « Cycloïde » de S. S. White, 1884
 

Fauteuil « Cycloïde » de S. S. White, 1884, vu du profil gauche et droit

Socle à 4 pieds et cylindre. Ash s’est inspiré de ce modèle de S. S. White pour son modèle n° XXIV de 1885.

Collection particulière, cliché Claude Rousseau

 

Fauteuil « Cycloïde » de S. S. White, 1884, vu du profil gauche et droit

Socle à 4 pieds et cylindre. Ash s’est inspiré de ce modèle de S. S. White pour son modèle n° XXIV de 1885.

Collection particulière, cliché Claude Rousseau

 

Fauteuil de Mamelzer, Paris, ca1885
 

Fauteuil de Mamelzer, Paris, ca1885, vu de face, trois-quarts, dos et crachoir

Inspiré par celui de Morrison de 1872. La crémaillère au niveau du dossier comme système d'élévation est remplacée par une chaîne tractée par une manivelle et engrenage à cliquet. Son piètement est différent car il accepte une rotation et une bascule très importante de l'ensemble […] En fonte exceptionnellement entièrement nickelée. Commandes de réglage de la têtière

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Mamelzer, Paris, ca1885, vu de trois-quarts

Avec son crachoir

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Mamelzer, Paris, ca1885 vu de dos

Commandes de réglages de la têtière

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de Mamelzer, Paris, ca1885

Le crachoir

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de J. Wirth, Paris, ca1885/1888
 

Fauteuil de J. Wirth, Paris, ca1885/1888, vu de face

« Ce fauteuil dentaire est un modèle « hôpital » avec élévation à manivelle. L’assise, l’appui-tête, le dossier et les deux accoudoirs sont en bois, capitonné d’un velours rouge uni […] Le fauteuil est porté par quatre pattes de sphinx en bronze. La maison de J. Wirth : « Fabricant d’articles pour dentistes » à Paris était particulièrement active. Il fabriqua, adapta, importa, et copia plusieurs fauteuils. Son fauteuil à élévation à vis actionné par manivelle fut produit en petite série […] On connaît d’autres versions, dont une avec dossier et assise tout en bois » H : 125 cm – L : 78 cm – P : 140 cm.

Collection Hôpital de Rennes, Inventaire CPHR – 2014.43 cliché Conservatoire du Patrimoine hospitalier de Rennes

 

Fauteuil de J. Wirth, Paris, ca 1885/1888, vu de face

Même modèle que les deux autres fauteuils de Wirth, mais avec une assise en bois

Collection particulière, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de J. Wirth, Paris, ca1885/1888, vu de trois-quarts

Collection particulière, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de J. Wirth, Paris, ca1885/1888, vu de trois-quarts

Collection particulière, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil de J. Wirth, Paris, ca1885/1888, vu de dos

Avec les diverses commandes des mécanismes de réglage de la têtière, et du dossier

Collection particulière, cliché Gérard Braye

 

Plaque en fonte de la Maison Wirth, fin XIXe siècle

Plaque en fonte de la Maison Wirth. « Maison Wirth. 22 Avenue Philippe Auguste 24. Paris. Fournisseur d’article pour Dentistes »

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 
      Plaque en fonte de la Maison
Wirth, fin XIXe siècle

Fauteuil de marque inconnue inspirée du fauteuil « Simplex » de Schneider, Berlin, 1883,  et du fauteuil de Ash & sons n° XXVI (1889), ca1890
 

Fauteuil de marque inconnue inspirée du fauteuil Simplex » de Schneider (Berlin) (1883) et du fauteuil de Ash & sons n° XXVI (1889), ca1890

Ce fauteuil fait partie de la série B et non pas A comme le Simplex et le Ash n° XXVI. Une manivelle d’élévation apparait sur le côté droit du fauteuil qu’il possède, comme probablement beaucoup de fauteuil de cette époque

Collection particulière, cliché Gérard Braye

 

Fauteuils « Le vrai Français » Heymann-Billard, ca1890
 

Fauteuil « Le vrai Français » Heymann-Billard, ca1890, vu de trois-quarts

« Reprise simplifiée du fauteuil de Wilkerson de 1882. Il est doté d'une base à élévation par pédale escamotable à levier en liaison avec un mécanisme à crémaillère pour la montée, hydraulique pour la sustentation et la descente. Il adopte aussi une copie de la très ergonomique têtière articulée à système de rotules du Wilkerson. Son dossier est à coulisse et ses accoudoirs amovibles. Il est équipé d'un crachoir à circulation d'eau à double paroi colorée avec pompe à salive et alimentation d'un support de verre d'eau […] toujours en fonction en 1992 », Gérard Braye

Collection particulière ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil « Le vrai Français » Heymann Billard, ca1890, vu de trois-quarts dos

Vue sur les commandes des différents mécanismes, pédale de levage, réglage de la têtière et du dossier

Collection particulière ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil « Le vrai Français » Heymann Billard, ca1890, vu de dos

Vue en gros plan sur la pédale de levage

Collection particulière ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil « Le vrai Français » Heymann Billard, ca1890

Plaque « Le vrai Français n° 58 »

Collection particulière ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil « Le vrai Français » Heymann Billard, ca1890

Fauteuil en fonte et molesquine. Il semble que manque la plaque « Le vrai Français n° 58 »
Taille originale H x L x P en cm 112 x 55 x 124
« Reprise simplifiée du fauteuil de Wilkerson de 1882. Il est doté d'une base à élévation par pédale escamotable à levier en liaison avec un mécanisme à crémaillère pour la montée, hydraulique pour la sustentation et la descente. Il adopte aussi une copie de la très ergonomique têtière articulée à système de rotules du Wilkerson. Son dossier est à coulisse et ses accoudoirs amovibles », Gérard Braye

Ap-2003-6-9-2. (Musée AP-HP, cliché F. Marin)

 

Fauteuil Wilkerson, 1890
 

, vu de face et profil

Collection particulière, cliché Claude Rousseau

 

Fauteuil Wilkerson, 1890, vu de face et profil

Collection particulière, cliché Claude Rousseau

 


III. Socle circulaire avec cylindre, avec ou sans pompe (C)
 


Fauteuil de Ash n°18, 1881
 

 

Musée des Sciences médicales, Musée dentaire, Vienne (Autriche), cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Columbia de Ritter (Rochester), 1887
 

Fauteuil Columbia de Ritter (Rochester), 1887, vu de profil et dos

Vérin hydraulique, cylindre à huile. « La société Ritter est fondée par un Frank Ritter ébéniste allemand émigré à Rochester (USA) en 1870 » Gérard Braye.

Musée des Sciences médicales, Musée dentaire, Vienne (Autriche), cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Columbia de Ritter (Rochester), 1887, vu de profil et dos

Vérin hydraulique, cylindre à huile. « La société Ritter est fondée par un Frank Ritter ébéniste allemand émigré à Rochester (USA) en 1870 » Gérard Braye.

Musée des Sciences médicales, Musée dentaire, Vienne (Autriche), cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Wilkerson, 1899
 

Fauteuil Wilkerson, 1899, vu de profil, trois-quarts et face

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université deTurin, cliché Massimo Vaccariello

 

Fauteuil Wilkerson, 1899, vu de profil, trois-quarts et face

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université deTurin, cliché Massimo Vaccariello

 

Fauteuil Wilkerson, 1899, vu de profil, trois-quarts et face

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université deTurin, cliché Massimo Vaccariello

 

Fauteuil « New Wilkerson » S. S. White, 1899
 

Fauteuil « New Wilkerson » S. S. White, 1899, vu de profil

« Socle circulaire […] base à double télescope […] La montée et la descente sont commandées par une pédale unique […] Rotation à 180° ». Se transforme en table opératoire en quelques secondes. « Encore utilisé en 1984 par quelques praticiens », Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 48-50

Collection particulière, cliché Claude Rousseau

 

Fauteuil « New Wilkerson » S. S. White, 1899, vu de profil

Détail du marchepied et son rapport avec le siège

Collection particulière, cliché Claude Rousseau

 

Fauteuil « New Wilkerson » S. S. White, 1899

Détail du socle

Collection particulière, cliché Claude Rousseau

 

 

Fauteuil « New Wilkerson » S. S. White de 1899, vu de profil et trois-quarts

« Socle circulaire […] base à double télescope […] La montée et la descente sont commandées par une pédale unique […] Rotation à 180° », Se transforme en table opératoire en quelques secondes. « Encore utilisé en 1984 par quelques praticiens », Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 48-50

Musée Flaubert, Rouen, cliché Albatros

 

Fauteuil « New Wilkerson » S. S. White de 1899, vu de profil et trois-quarts

« Socle circulaire […] base à double télescope […] La montée et la descente sont commandées par une pédale unique […] Rotation à 180° », Se transforme en table opératoire en quelques secondes. « Encore utilisé en 1984 par quelques praticiens », Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 48-50

Musée Flaubert, Rouen, cliché Albatros

 

Fauteuil « New Wilkerson » S. S. White de 1899, vu de trois-quarts et profil et décubitus pour opérations

« Socle circulaire […] base à double télescope […] La montée et la descente sont commandées par une pédale unique […] Rotation à 180° », Se transforme en table opératoire en quelques secondes. « Encore utilisé en 1984 par quelques praticiens », Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuilopératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 48-50.

Collection particulière ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil « New Wilkerson » S. S. White de 1899, vu de trois-quarts et profil et décubitus pour opérations

« Socle circulaire […] base à double télescope […] La montée et la descente sont commandées par une pédale unique […] Rotation à 180° », Se transforme en table opératoire en quelques secondes. « Encore utilisé en 1984 par quelques praticiens », Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuilopératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 48-50.

Collection particulière ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil « New Wilkerson » S. S. White de 1899, vu de profil

En position décubitus pour opérations

Collection particulière ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil « New Columbia », Ritter, 1901
 

Fauteuil New Columbia fabriqué par la Ritter Dental MFG. C°, vue de profil 1901

Dans la base se trouve un petit réservoir à huile, évitant toute fuite d’huile

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché M. Vaccariello

 

Fauteuil New Columbia fabriqué par la Ritter Dental MFG. C°, vue de ¾ face 1901

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché M. Vaccariello

 

Fauteuil New Columbia fabriqué par la Ritter Dental MFG. C°, vue de face1901

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché M. Vaccariello

 

Fauteuil « Favourite Columbia », Ritter, 1901
 

Fauteuil « Favourite Columbia » de Ritter, Rochester (USA), 1901

Avec son crachoir fontaine sur trépied. « Le "Favorite Columbia" 1901 d'une décoration "Art Nouveau" particulièrement soignée par Ritter Rochester USA eut beaucoup de succès. À sa gauche, le crachoir sur pied à circulation d'eau », Gérard Braye

Musée de la Faculté d’odontologie de Toulouse Rangueil, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil « Harvard », Harvard Company, 1909
 

Fauteuil « Harvard » de la Harvard Company, Canton (Ohio) USA, 1909, vu de profil et de face

« Cette fabrique américaine fondée en 1887 […] fit […] preuve d’originalité […] en réactualisant plus de trente ans après le fauteuil de Hayes, le mécanisme du dossier à inclinaison compensée », Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 28

Collection privée

 

Fauteuil « Harvard » de la Harvard Company, Canton (Ohio) USA, 1909, vu de profil et de face

« Cette fabrique américaine fondée en 1887 […] fit […] preuve d’originalité […] en réactualisant plus de trente ans après le fauteuil de Hayes, le mécanisme du dossier à inclinaison compensée », Claude Rousseau, Évolution conceptuelle du fauteuil opératoire en odontologie. Aspect historique. Expérimentation ergonomique, Thèse de 3e cycle de Doctorat en Chirurgie dentaire, Paris V-Descartes, 1985, p. 28

Collection privée

 

Fauteuil « Harvard » de la Harvard Company, Canton (Ohio) USA, 1909

Socle circulaire décoré, pédale de levage

Collection privée

 

Fauteuil « Harvard » de la Harvard Company, Canton (Ohio) USA, 1909

Têtière et son mécanisme

Collection privée

 

Fauteuil « Harvard » de la Harvard Company, Canton (Ohio) USA, 1909

Plaque avec la marque « Harvard », sous le siège, face au marchepied

Collection privée

 

 


Fauteuil, Biber (Allemagne), 1910,
 

Fauteuil, Biber (Allemagne), 1910, vu de profil, trois-quarts et face

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché Massimo Vaccariello

 

Fauteuil, Biber (Allemagne), 1910, vu de profil, trois-quarts et face

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché Massimo Vaccariello

 

Fauteuil, Biber (Allemagne), 1910, vu de profil, trois-quarts et face

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché Massimo Vaccariello

 

Fauteuil de Schneider, Berlin, 1910
 

Fauteuil de Schneider, Berlin, 1910, vu de profil, trois-quarts et face

Collection V. Burello, Turin, cliché Massimo Vaccariello

 

Fauteuil de Schneider, Berlin, 1910, vu de profil, trois-quarts et face

Collection V. Burello, Turin, cliché Massimo Vaccariello

 

Fauteuil de Schneider, Berlin, 1910, vu de profil, trois-quarts et face

Collection V. Burello, Turin, cliché Massimo Vaccariello

 

Fauteuil Ritter, USA, 1910
 

Fauteuil Ritter (USA) et son unit, 1910

De « La Ritter Dental Manufacturing Co », Rochester (USA). « Unit Ritter, Rochester USA 1910

Collection particulière, Cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Ash Sons and Co, Angleterre, 1913
 

Fauteuil de Ash Sons and Co, Angleterre,1913, marqué Britannia, vu de profil, trois-quarts et face

Fonte dorée et gravée. Cuir sur les accoudoirs, dossier et assise. Bois accoudoirs, marchepied. Base circulaire échancrée. Pédale de levage latérale. L. 126 cm. l des bras 55 cm. Position basse 41 cm.
Position haute 71 cm. N° d’inventaire 1998.9.1

Musée Flaubert, Rouen, cliché Albatros

 

Fauteuil de Ash Sons and Co, Angleterre,1913, marqué Britannia, vu de profil, trois-quarts et face

Fonte dorée et gravée. Cuir sur les accoudoirs, dossier et assise. Bois accoudoirs, marchepied. Base circulaire échancrée. Pédale de levage latérale. L. 126 cm. l des bras 55 cm. Position basse 41 cm.
Position haute 71 cm. N° d’inventaire 1998.9.1

Musée Flaubert, Rouen, cliché Albatros

 

Fauteuil de Ash Sons and Co, Angleterre,1913, marqué Britannia, vu de profil, trois-quarts et face

Fonte dorée et gravée. Cuir sur les accoudoirs, dossier et assise. Bois accoudoirs, marchepied. Base circulaire échancrée. Pédale de levage latérale. L. 126 cm. l des bras 55 cm. Position basse 41 cm.
Position haute 71 cm. N° d’inventaire 1998.9.1

Musée Flaubert, Rouen, cliché Albatros

 

Fauteuil Ritter, USA, 1917
 

Fauteuil Ritter (USA) et son unit, 1917

De « La Ritter Dental Manufacturing Co », Rochester (USA). « Unit Ritter, Rochester USA 1917, Fauteuil Ritter Columbia », Gérard Braye

Musée dentaire de la Faculté d’Odontologie de Lyon, cliché Gérard Braye


Fauteuil Ritter « Ideal Columbia », 1920
 

Fauteuil Ritter « Ideal Columbia », 1920, vu de profil

De « La Ritter Dental Manufacturing Co », Rochester (USA). « Le métal est émaillé noir, ou imitation acajou, bleu indigo, blanc ou gris. Siège et dossier en cuir de porc vert, brun, ou antique fantaisie », Claudius, Sons and Co. Ash, Ltd, Catalogue d’instruments dentaires, Londres, 1920 (édition française), p. c16. Ici il est noir et le siège en cuir fauve. Il faut remarquer l’état exceptionnel de ce fauteuil : soit il n’a jamais servi, soit il a été restauré. De plus des décors floraux apparaissent en plusieurs zones de ce fauteuil. Ils ont été certainement ajoutés. Manque la têtière

Collection privée

Fauteuil Ritter « Ideal Columbia », 1920, vu de face

Remarquer les nombreux décors floraux et l’extrémité du marchepied en acier brillant

Collection privée

Fauteuil Ritter « Ideal Columbia », 1920 vu de trois-quarts dos et son détail

Le décor floral au dos du fauteuil et détail du côté droit

Collection privée

 

Fauteuil Ritter « Ideal Columbia », 1920 vu de trois-quarts dos et son détail

Le décor floral au dos du fauteuil et détail du côté droit

Collection privée

 

Fauteuil Ritter « Ideal Columbia », 1920, dossier vu de trois-quarts dos

Deux leviers, l’un pour lever la têtière (absente) et l’autre pour lever le dossier

Collection privée

 

Fauteuil Ritter « Ideal Columbia », 1920, détail du marchepied vu de face

En acier brillant avec la marque « JC » (à lire en se mettant en arrière du marchepied). En arrière-plan des décors floraux

Collection privée

 

Fauteuil Ritter « Ideal Columbia », 1920 en position « bascule » vu de profil et par dessous

Pédales de levage du fauteuil et levier à pied pour la descente

Collection privée

 

Fauteuil Ritter « Ideal Columbia », 1920 en position « bascule » vu de profil et par dessous

Pédales de levage du fauteuil et levier à pied pour la descente

Collection privée

 

Fauteuil Columbia Ritter, 1920

Collection particulière, Cliché Gérard Braye

 

Fauteuil « Dominator » de Siemens, ca1925
 

Fauteuil Dominator de Siemens avec son unit, ca1925

« Imitation acajou avec tablette et tiroir dissimulant une instrumentation sur enrouleurs avec projecteur d'appoint », Gérard Braye

Musée dentaire de la Faculté d’Odontologie de Lyon, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Dominator de Siemens avec son unit, ca1925

« Imitation acajou avec tablette et tiroir dissimulant une instrumentation sur enrouleurs avec projecteur d'appoint », Gérard Braye

Musée dentaire de la Faculté d’Odontologie de Lyon, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil « Diamond » de S. S. White, USA, 1928
 

Fauteuil « Diamond » de S. S. White (USA), 1928

« Unit de la série N°6 […] Immense succès commercial pour ce type d'équipement avec de nombreux modèles fonctionnels pendant plus de vingt ans. […] Un des premiers modèles ayant ciblé une clientèle féminine débutante […] enrouleurs sous tablette », Gérard Braye

Musée de la Faculté d’odontologie de Toulouse Rangueil, cliché Gérard Braye

 

Unit n° 6 avec crachoir fontaine et tablette à instruments

Musée de la Faculté d’odontologie de Toulouse Rangueil, cliché Gérard Braye

 

Tablette reliée à l’unit par un bras mobile

Elle est munie d’instruments rotatifs à enrouleurs

Musée de la Faculté d’odontologie de Toulouse Rangueil, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Ritter, Rochester, USA, 1930
 

Cabinet reconstitué avec Fauteuil Ritter, Rochester (USA), 1930

Collection particulière, cliché Claude Rousseau

 

Fauteuil Ritter, Strasbourg, 1935
 

Fauteuil Ritter, Strasbourg, 1935

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil et unit Ritter, Strasbourg, 1935.

Equipement complet, radiographie et compresseur

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye

 

Fauteuils Ritter, 1950
 

Fauteuil Ritter, 1950

Musée dentaire de la Dental School, Collection de l’Université de Turin, cliché Gérard Braye

 

Fauteuil Quétin, 1950
 

Ensemble Quétin, 1950

Vu de face et profil. Cabinet du Pr André Marmasse. Noter le tabouret solidaire du unit et qui tourne autour du fauteuil

Musée dentaire de Garancière cliché Micheline Ruel-Kellermann

 

Ensemble Quétin, 1950

Vu de face et profil. Cabinet du Pr André Marmasse. Noter le tabouret solidaire du unit et qui tourne autour du fauteuil

Musée dentaire de Garancière cliché Micheline Ruel-Kellermann

« Le retour d’André Marmasse à Garancière »,

L’Information Dentaire, 6 avril 2O02

« Le retour d’André Marmasse à Garancière »

Fauteuil Quétin 19 ECB, France, 1951
 

Ensemble, Quétin 19 ECB, France, 1951

Ce fauteuil a eu un très gros succès dans les années 1950. Un nouveau modèle issu de ce modèle a été très vendu dans les années 1960

Collection particulière


Fauteuil Celtic, 1955
 

Fauteuil et unit Celtic,1955

Collection ASPAD, cliché Gérard Braye