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Occluseurs, articulateurs semi-adaptables et adaptables simplifiés

Cette salle dédiée aux articulateurs n’aurait jamais existé sans le concours amical et les conseils éclairés aussi irremplaçables que généreux du Pr Jean-Marie Rignon-Bret, grand expert en la matière. Qu’il soit vivement remercié.

Nous remercions aussi Valerio Burello pour son aide toujours fidèle et sa fourniture de documents et objets précieux.

« Depuis plus de deux siècles, de nombreux auteurs ont essayé de construire des dispositifs mécaniques appelés articulateurs afin d’enregistrer et de reproduire la cinématique mandibulaire d’un sujet dans des buts thérapeutiques et notamment prothétiques » 1.

« Lors de nos études, l’arrivée en odontologie s’accompagne presque systématiquement de l’achat d’un articulateur. Cet investissement doit nous accompagner, non seulement lors de nos études, mais également durant toute notre vie professionnelle. [] . Une étude récente à la Faculté d’Odontologie de Toulouse montre que 38 % des odontologistes n’utilisent jamais un articulateur ». Ainsi commence la thèse d’Anne Durin Touati Sandler 2.

Cependant, il est à remarquer que les différents concepts de ces instruments ont été développés par des auteurs s’intéressant à la prothèse amovible complète pour laquelle les articulateurs sont aujourd’hui toujours utilisés en pratique courante par la plupart des praticiens.

Ce rappel historique jusqu’aux années 30, présente les premières et déjà nombreuses conceptions, pour certaines éphémères et pour d’autres durables et modulables. C’est pourquoi en raison de leur inventivité, de leur longévité de production, de commercialisation et d’utilisation, les articulateurs Bonwill, Gysi et Hanau sont regroupés à la fin de la présentation chronologique.

Le terme générique « articulateurs » recouvre à la fois ceux qui sont réduits à une charnière pour maintenir l’intercuspidie, ce sont les occluseurs et ceux qui cherchent à reproduire les mouvements mandibulaires qui sont les vrais articulateurs. Ceux-ci sont distingués selon leur spécificité en semi-adaptables et adapables simplifiés selon la classification 3 (les adaptables n’apparaîtront pas car ils sont postérieurs à 1930).

L’incroyable diversité, les innombrables variations font que certains d’entre eux issus des musées ou de collections n’ont pu être rigoureusement identifiés ; ils seront néanmoins exposés à la fin, démontrant les recherches incessantes pour recréer mécaniquement tous les mouvements mandibulaires.

1. J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 162-173
2. « Historique de l’articulateur, de l’ére mécanique à l’ére numérique » (Dir. Pr Christophe Rignon-Bret, UFR Montrouge 2020)
3. J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1920 à l’ère numérique, Partie II, » Clinic, 390, 11. 5. 2020, p. 193-205

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Pfaff Phillip, (1713-1766), Abhandlung von den Zähnen des menschlichen Körpers und deren Krankheiten, 1756

Phillip Pfaff décrit la première technique d’empreinte à la cire et réalise un modèle positif en plâtre qui peut être considéré comme la première ébauche d’un occluseur-plâtre.

Phillip Pfaff décrit la première technique d’empreinte à la cire et réalise un modèle positif en plâtre qui peut être considéré comme la première ébauche d’un occluseur-plâtre.
Pfaff Phillip, (1713-1766), Abhandlung von den Zähnen des menschlichen Körpers und deren Krankheiten, Berlin, Bey Haude und Spener, 1756., p. 148-153
(BIU Santé 72110)

Gariot Jean-Baptiste (1761-1835), Traité des maladies de la bouche, 1805
 
Page de titre : Jean-Baptiste Gariot, Traité des maladies de la bouche, d’après l’état actuel des connaissances en médecine et en chirurgie qui comprend la structure et les fonctions de la bouche, l’histoire de ses maladies, les moyens d’en conserver la Santé et la beauté, et les opérations particulières à l’art du dentiste, Paris, Duprat-Duverger, 1805
(BIU Santé 72007)
Recherche d’une
fermeture de bouche
confortable avec
des dents artificielles
>>> DOSSIER
  DOSSIER :
Recherche d’une
fermeture de bouche
confortable avec
des dents artificielles
Jean-Baptiste Gariot explicite ce qui va devenir le premier véritable « occluseur-plâtre » en prolongeant les modèles en plâtre par « deux petits enfoncements de la largeur du bout du doigt et de forme conique aux parties latérales de la cire, à un demi-pouce de distance », réalisant ainsi deux repères pour repositionner les modèles.

Jean-Baptiste Gariot, Traité des maladies de la bouche, Paris, Duprat-Duverger, 1805, p. 306, 307

Reconstitution de l’« occluseur-plâtre » par Edgar N. Starcke, selon la description de Gariot
C’est un articulateur limité à l’occlusion de deux modèles antagonistes, respectant la dimension verticale d’occlusion.
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : a perspective on the early years, part I ». Journal of Prosthodontics, Vol. 8, N° 3, 1999, p. 210
Reconstitution de l’« occluseur-plâtre » par Edgar N. Starcke, selon la description de Gariot
C’est un articulateur limité à l’occlusion de deux modèles antagonistes, respectant la dimension verticale d’occlusion.
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : a perspective on the early years, part I ». Journal of Prosthodontics, Vol. 8, N° 3, 1999, p. 210
Reconstitution de l’« occluseur-plâtre »
par Edgar N. Starcke, selon la description de Gariot

L’articulateur en « porte de grange », 1830
L’articulateur en « porte de grange », 1830. (occluseur) (Une simple charnière réunit cet occluseur)
« D’origine inconnue, il est souvent évoqué dans la littérature américaine. Une simple charnière réunit cet occluseur dit en "Porte de grange", « J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 162)
Fig. 1 (collection of the University of Texas-Houston Dental Branch).
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : A perspective on the early years, part II ». Journal of Prosthodontics, Vol. 8, N° 4, 1999, p. 278
L’articulateur en « porte de grange »,
1830. (occluseur) (Une simple charnière
 réunit cet occluseur)

L’articulateur Howarth, 1830
L’articulateur Howarth 1830. (occluseur) « C’est un des premiers articulateurs mécaniques connus »
Articulateur Howarth 1830, « C’est un des premiers articulateurs mécaniques connus, produit par la Dental Manufacturing Company de Londres. Il peut avoir été breveté en Europe ».
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Unusual Concepts or "it seemed to be a great Idea at the Time", Journal of Prosthodontics, Vol. 10, No 3, 2001, p. 171, Fig. 1
L’articulateur Howarth 1830.
(occluseur)
« C’est un des premiers
articulateurs mécaniques connus »

L’articulateur Springfield, 1830
L’articulateur Springfield, 1830. (occluseur) (mécanisme de charnière de porte)
« L'articulateur Springfield, années 1830. Cet appareil utilisait des goupilles de montage en métal et ce qui semble être un mécanisme de charnière de porte standard. Springfield doit également avoir reconnu l'importance de l'accès visuel à l'arrière des moulages. L'appareil porte les initiales A L S, probablement le logo du fabricant ».
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Unusual Concepts or "it seemed to be a great Idea at the Time", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 3, 2001, p 171, Fig. 2
L’articulateur Springfield, 1830.
(occluseur) (mécanisme de
charnière de porte)

L’articulateur E. J. Ladmore , 1830
L’articulateur E. J. Ladmore 1830 (occluseur) (autre mécanisme de charnière)
« Le E. J. Ladmore, années 1830. Ce premier appareil a été ensuite breveté en Angleterre et produit par Claudius Ash, Sons and Co Limited. Le mécanisme de la charnière est assez rigide et une vis réglable a été utillisée pour une butée verticale ».
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Unusual Concepts or "it seemed to be a great Idea at the Time", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 3, 2001, p 171, Fig. 3
L’articulateur E. J. Ladmore 1830
(occluseur) (autre mécanisme
de charnière)

L’articulateur Cameron, 1840
L’articulateur Cameron, premier articulateur breveté, avril 1840
J. Cameron (1840) réalise le premier articulateur breveté. Il permet une orientation et un déplacement vertical, latéral et antéro-postérieur des modèles ainsi qu’une ouverture grâce à une charnière située au niveau du modèle mandibulaire. J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 162
Illustration : Fig. 6 Edgar N. Starcke, « The history of articulators : a perspective on the early years, part I ». Journal of Prosthodontics, Vol. 8, N° 4, 1999, p. 280
Articulateur Cameron, 1840
Modèle de l’articulateur Cameron avec proposition de mise en place des moulages par Valerio Burello de Turin.
L’articulateur Cameron, premier
articulateur breveté, avril 1840
Articulateur Cameron,
1840

L’articulateur Thomas W. Evans, 1840
L’articulateur Thomas W. Evans, 1840. (occluseur) (Le plus simple occluseur)
« Un instrument très simple au moyen duquel l'extension du dos en plâtre des plaques et de la cire est rendue inutile » « La tige verticale D et l'écrou papillon E contrôlent la dimension verticale. Il s'agit ici de la deuxième apparition de la fonction «arrêt tertiaire».
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : a perspective on the early years, part I ». Journal of Prosthodontics, Vol. 8, N° 4, 1999, p. 279, Fig. 4
Occluseur métallique, voisin de Evans, sans la tige, 1840
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.2, cliché F. Marin)
L’articulateur Thomas W. Evans,
1840. (occluseur)
(le plus simple occluseur)
Occluseur métallique, voisin
de Evans, sans la tige, 1840
 

L’articulateur Daniel T. Evens, 1840
L’articulateur Daniel T. Evens, brevet 28 août 1840 (le premier articulateur véritable avec des charnières)
« D.T. Evens met au point un articulateur à charnières qui semble être le premier articulateur véritable avec des charnières permettant un mouvement de propulsion mais aussi un léger mouvement de diduction ».
J. M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Part I » Clinic 23.3.2020, p. 162
(Illustration : Fig. 1 de Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Early Attempts to Reproduce Mandibular Movement, Journal of Prosthodontics, Vol. 9, N° 1, 2000, p. 52)
 
Articulateur Daniel T. Evens, 1844 (La probable première illustration d’un articulateur)
« Pourrait être la première illustration d’un articulateur dans la littérature par W. E. Smith, dans le livre de Paul B. Goddard, The Anatomy, Physiology, and Pathology of the Human teeth, Philadelphie, 1844 »
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Early Attempts to Reproduce Mandibular Movement", Journal of Prosthodontics, Vol 9, No 1, 2000, p. 54, Fig. 5
 
L’articulateur Daniel T. Evens,
brevet 28 août 1840
(le premier articulateur
véritable avec des charnières)
Articulateur Daniel T. Evens,
1844 (La probable première
illustration d’un articulateur)
 

Harris A. Chapin, The principles and practice of dental Surgery, 1850
 
Page de titre : A. Chapin Harris, The principles and practice of dental Surgery, 4e ed., Philadelphia, Linsay & Blakiston, 1850
http://resource.nlm.nih.gov/67630530R 
Articulateur en plâtre pour pièce partielle ou fabrication d’un occluseur plâtre
Articulateur en plâtre pour pièce partielle. « On taille une bande de plomb d’environ 5cm de large pour coffrer les moulages. Après le durcissement du modèle inférieur, on taille un sillon sur la queue de ce demi-modèle et l’on coule le modèle supérieur, une fois durci, on ramollit la cire dans l’eau chaude et on sépare les deux moitiés de l’articulateur, on détache la cire d’occlusion avec précaution et on vernit le tout »
A. Chapin Harris, The principles and practice of dental Surgery, 4e ed., Philadelphia, Linsay & Blakiston, 1850, p. 696, Fig. 148
 
Autres cas d’articulateurs en plâtre (occluseur) pour « pièce supérieure complète » et « double dentier »
Articulateur en plâtre pour « pièce supérieure complète »
Articulateur en plâtre pour « double dentier » A. Chapin Harris, The principles and practice of dental Surgery, 4e ed., Philadelphia, Linsay & Blakiston, 1850, p. 698, fig. 149-150
 
Autres cas d’articulateurs en plâtre (occluseur) pour « pièce supérieure complète » et « double dentier »
Articulateur en plâtre pour « pièce supérieure complète »
Articulateur en plâtre pour « double dentier » A. Chapin Harris, The principles and practice of dental Surgery, 4e ed., Philadelphia, Linsay & Blakiston, 1850, p. 698, fig. 149-150
 
  Articulateur en plâtre pour
pièce partielle ou fabrication
d’un occluseur plâtre
Autres cas d’articulateurs en plâtre
(occluseur) pour « pièce supérieure
complète » et « double dentier »
Articulateur du « Dr Thomas Evans de Paris » (occluseur)
Articulateur du « Dr Thomas Evans de Paris »»
« Instrument très simple au moyen duquel l'extension du dos en plâtre des plaques et de la cire est rendue inutile. La caractéristique la plus importante est que la dimension verticale peut être préservée ou modifiée selon les besoins »
Articulateur du « Dr Thomas Evans de Paris », moulages en place
Chapin Harris, The principles and practice of dental Surgery, 4e ed., Philadelphia, Linsay & Blakiston, 1850, p. 699-700, Fig. 151-152
 
Articulateur du « Dr Thomas Evans de Paris » (occluseur)
Articulateur du « Dr Thomas Evans de Paris »
« Instrument très simple au moyen duquel l'extension du dos en plâtre des plaques et de la cire est rendue inutile. La caractéristique la plus importante est que la dimension verticale peut être préservée ou modifiée selon les besoins »
Articulateur du « Dr Thomas Evans de Paris », moulages en place
Chapin Harris, The principles and practice of dental Surgery, 4e ed., Philadelphia, Linsay & Blakiston, 1850, p. 699-700, Fig. 151-152
 
Occluseur métallique, voisin de Evans, sans la tige, 1840
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.2, cliché F. Marin)
Articulateur du « Dr Thomas Evans
de Paris » (occluseur)
Articulateur du « Dr Thomas Evans
de Paris » (occluseur)
Occluseur métallique, voisin de
Evans, sans la tige, 1840

Richardson Joseph, Practical Treatise on mechanical Dentistry, 1860
 
Page de titre : Joseph Richardson, Practical Treatise on mechanical Dentistry, Lindsay & Blakiston, Philadelphie, 1860 
 
Articulateur en plâtre, (occluseur)
même type d’articulateur en plâtre que les précédents
Joseph Richardson, Practical Treatise on mechanical Dentistry, Lindsay & Blakiston, Philadelphie, 1860, p. 274, Fig. 72
 
« Structure antagoniste », (occluseur)
Cette « structure antagoniste » est conçue pour se substituer à l‘articulateur en plâtre
Joseph Richardson, Practical Treatise on mechanical Dentistry, Lindsay & Blakiston, Philadelphie, 1860, p. 275, Fig. 73
 
  Articulateur en plâtre, (occluseur) « Structure antagoniste », (occluseur)

White Samuel S., Catalogue of Dental Materials. Furniture, instruments, etc., 1867
 
 
page de titre : Samuel S. White, Catalogue of dental materials. furniture, instruments, etc., Philadelphia, 1867
https://archive.org/details/catalogueofdenta00sswhh
Articulateur N° 1 de W. H. Smith, Newport, R. I.
N° 1 « Articulateur attribué à W. H. Smith. Il présente l’avantage d’avoir une vis et une charnière, grâce à quoi, il peut être ajusté à n’importe quel angle ; une vis de réglage permet de glisser vers l’arrière ou vers l’avant. Généralement très apprécié de ses utilisateurs »
Samuel S. White, Catalogue of Dental Materials. Furniture, instruments, etc., Philadelphia, 1867, p. 176
 
Articulateur N° 2, « Nouveau design », ou « modèle américain »»
N° 2. Cet articulateur basique, très populaire sera présenté jusque dans les années 1920-1930 sous le vocable de « modèle américain »
Samuel S. White, Catalogue of Dental Materials. Furniture, instruments, etc., Philadelphia, 1867, p. 176
 
L’articulateur N° 2 de S. S. White, « modèle américain », 1867
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.9, cliché F. Marin) 
  articulateur n° 1 de w. h. smith,
Newport, R. I.
Articulateur N° 2, « Nouveau design »,
ou « modèle américain »
L’articulateur N° 2 de S. S. White,
 « modèle américain », 1867
Articulateur N° 3, brevet déposé par l’inventeur
n° 3. « cet articulateur, possède un mécanisme antéro-postérieur à rainure pour changer la position de l’élément supérieur et il a un mouvement de latéralité qui ressemble beaucoup à celui de la mâchoire naturelle. il sera très répandu, sans marque, dans le commerce durant la première moitié du xxe s. »
Samuel S. White, Catalogue of Dental Materials. Furniture, instruments, etc., Philadelphia, 1867, p. 177
 
Articulateur N° 4 Snow & Lewiss
N° 4. Articulateur Snow & Lewis. Même mouvement que le N° 1. « Peut s’élever d’un « demi-pouce » au moyen d’un montant s’emboitant dans une douille attachée à la base inférieure et peut être fixé en tout point dans cet espace par une vis de réglage».
Samuel S. White, Catalogue of Dental Materials. Furniture, instruments, etc., Philadelphia, 1867 , p. 177 mai 1968
L’articulateur dentaire Hoffstadt L. US 1871
 
Articulateur N° 3, brevet
déposé par l’inventeur
 
Articulateur N° 4
Snow & Lewis
 

L’articulateur dentaire Hoffstadt L. US, 1871
 
L’articulateur dentaire Hoffstadt L. US Brevet N° 118,242. 22 août 1871, ou « Articulater Justi »
Fig. 6. « Cet articulateur Hoffstadt est appelé Articulateur Justi. H. D. Justi a probablement acquit les droits de brevet de Hoffstadt. Il comporte un système à languette pour les ajustements horizontaux. »
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Unusual Concepts or "it seemed to be a great Idea at the Time", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 3, 2001, p 172
 
L’articulateur dentaire Hoffstadt L.
US Brevet N° 118,242. 22 août 1871,
ou « Articulateur Justi »

Harris, Chapin Aaron (1806-1860), Austen, Philippe Hiss (1822-1878), Traité théorique et pratique de l’art du dentiste, 1874
 
 
Page de titre : Chapin A. Harris et Ph.-H., Austen,Traité théorique et pratique de l’art du dentiste : comprenant l’anatomie, la physiologie, la pathologie, la thérapeutique, la chirurgie, et la prothèse dentaire. Tr. de l’anglais sur la 10e éd., annoté et considérablement augmenté par E. Andrieu, Paris, Baillière, 1874 (The principles and practice of dental surgery, Philadephia, Lindsay & Blakiston, 1850)
(APHPF344)  ;
articulateur en plâtre pour pièce partielle, (occluseur identique à celui d’harris 1850)
Articulateur en plâtre pour pièce partielle, identique à celui d’Harris 1850.
Chapin A. Harris et Ph.-H., Austen, Traité théorique et pratique de l’art du dentiste, Paris, Baillière, 1874, p. 660, Fig. 265
 
« Articulateur métallique » (S. S. White N° 2, 1867)
Cet articulateur métallique est le n° 2 de s. s. white de 1867 « genre très commode d’articulateur. mais, lorsqu’on s’en sert, aussi bien du reste, que de ceux qui lui ressemblent, l’opérateur doit se rappeler que cette facilité de changer l’articulation après avoir retiré les articulés en cire qui servent de guide, est un avantage très contestable. il porte à faire les articulations par à peu près ; car la hauteur de l’espace compris entre les rebords ou tout autre rapport des parties donne à penser que l’articulation manque d’exactitude, il est évident que les changements ainsi obtenus ne peuvent être faits qu’au hasard. dans ce cas, la meilleure correction consiste, sans contredit, à prendre une nouvelle articulation ».
Chapin A. Harris et Ph.-H., Austen, Traité théorique et pratique de l’art du dentiste, Paris, Baillière, 1874, p. 664, Fig. 268
 
« Articulateur métallique avec mouvements de latéralité » (S. S. White N° 3, 1867)..
Articulateur métallique avec mouvements de latéralité. c’est l’articulateur N° 3 de S. S. White 1867. « Très utile quand on emploie des modèles originaux, au lieu de modèles d’articulation coulés sur des plaques d’articulation. Son mouvement de latéralité ressemble beaucoup à celui de la mâchoire naturelle ».
Chapin A. Harris et Ph.-H., Austen, Traité théorique et pratique de l’art du dentiste, Paris, Baillière, 1874, p. 665, Fig. 269
 
  Articulateur en plâtre pour pièce
partielle, (occluseur identique
 à celui d’Harris 1850)
« Articulateur métallique »
(S. S. White N° 2, 1867)
 
« Articulateur métallique avec
mouvements de latéralité »
(S. S. White N° 3, 1867).

Ash Claudius & Sons, A catalogue artificial teeth, dental materials, instruments, tools, furniture, etc., 1875
 
 
Page de titre : Claudius Ash & Sons, A catalogue artificial teeth, dental materials, instruments, tools, furniture, etc., London, 1875
https://archive.org/details/b21452313
Articulateur de Graham et Wood. (occluseur )
Articulateur de Graham et Wood en laiton. « Le plan circulaire au niveau de la charnière est si bien marqué que l’enregistrement du mordu peut être conservé ». Claudius Ash & Sons, A catalogue artificial teeth, dental materials, instruments, tools, furniture, etc., London, 1875, p. 231, Fig. 75
 
Occluseur simple voisin de Graham et Wood 1875 (?)
Occluseur voisin de Graham et Wood,1875 (?)
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD) 
  Articulateur de Graham et
Wood. (occluseur )
Occluseur simple voisin de
Graham et Wood 1875 (?)
Articulateur de Smith, (S. S. White N° 1, 1867)
Articulateur de Smith en laiton laqué (N° 1 de S. S. White 1867).
Claudius Ash & Sons, A catalogue artificial teeth, dental materials, instruments, tools, furniture, etc., London, 1875, p. 231, Fig. 76
 
Articulateur Snow & Lewis, (S. S. White N° 4, 1867)
Articulateur Snow & Lewis, (N° 4 de S. S. White 1867). Claudius Ash & Sons, A catalogue artificial teeth, dental materials, instruments, tools, furniture, etc., London, 1875, p. 231, Fig. 77
 
Articulateur de Smith,
 (S. S. White N° 1, 1867)
Articulateur Snow & Lewis,
(S. S. White N° 4, 1867)

L’articulateur Oehlecker, 1878
 
L’articulateur Oehlecker, 1878, (« il a plus d’ajustements qu’un microscope de précision »)
« Avec une simple charnière, cet articulateur Oehlecker a plus d’ajustements qu’un microscope de précision ».
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Unusual Concepts or "it seemed to be a great Idea at the Time", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 3, 2001, p 174
Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, 1881, Fig. 13
 
L’articulateur Oehlecker, 1878,
(« il a plus d’ajustements qu’un
microscope de précision »)

Correspondenz-Blatt für Zahnärzte,
1881
 
 
Page de titre : Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, octobre, 1881
(BIU Santé P 9)
Articulateur de Telschow
Articulateur de Telschow au « design impeccable ».
Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, octobre, 1881, sans pagination
 
  Articulateur de Telschow

Hood & Reynolds, Catalogue of dental materials, Boston, 1881
 
 
page de titre : Hood & Reynolds, Catalogue of dental materials, Instruments, Furnitures, Tools, Boston, 1881
https://archive.org/details/b2809668x/page/251
Articulateur Johnson & Lund N° 1
Articulateur Johnson & Lund N° 1, en bronze laqué; une vis et une charnière permettent tous les angles de mouvements. Une vis à la plaque supérieure peut se déplacer en arrière ou en avant. Hood & Reynolds, Catalogue of dental materials, Instruments, Furnitures, Tools, Boston, 1881, p. 198 
 
Articulateur Johnson & Lund amélioré N° 2
Hood & Reynolds, Catalogue of dental materials, Instruments, Furnitures, Tools, Boston, 1881, p. 198
 
  Articulateur Johnson & Lund
N° 1
Articulateur Johnson & Lund
amélioré N° 2

« Un nouvel articulateur de M. Noël de Nancy », 1882
 
« Un nouvel articulateur de M. Noël de Nancy », 1882
« M. Noël a fait mieux, a fait simple. Tous les mouvements possibles sont obtenus avec précision : élévation et abaissement, obliquité à un angle aigu ou obtus , latéralité de droite à gauche ; tout cela est fait aisément ; on peut vérifier son articulation séance tenante, on peut rectifier de même [ …] L’aplomb est assuré. C’est presque parfait ». « Un nouvel articulateur de M. Noël de Nancy » Dubois Paul, L’Odontologie, vol. 2, 1882, p. 87
 
« Un nouvel articulateur de
M. Noël de Nancy », 1882

Harris C. A., Austen Ph. H., Andrieu Ed. Traité théorique et pratique de l’art du dentiste, 1884
 
 
Page de titre : Chapin Aaron Harris (1806-1860), Philippe Hiss Austen (1822-1878), Edmond Andrieu (1833-1889), Traité théorique et pratique de l’art du dentiste : comprenant l’anatomie, la physiologie, la pathologie, la thérapeutique, la chirurgie, et la prothèse la prothèse, l’hygiène et un formulaire des maladies de la bouche et des dents, deuxième édition, annotée et considérablement augmentée Paris, J.-B. Baillière, 1884
(BIU Santé 179042) 
« Articulateur dentaire universel de Graham et Wood », « le plus simple de tous les articulateurs »
Articulateur dentaire universel de Graham et Wood. « De tous les articulateurs métalliques, le plus simple est sans contredit l’articulateur universel de Graham et Wood ».
C. A. Harris (1806-1860), Ph. H., Austen (1822-1878), Ed. Andrieu (1833-1889), Traité théorique et pratique de l’art du dentiste, Paris, J.-B. Baillière, 1884, p. 731, Fig. 351
 
Articulateur de Davidson, « C’est certainement celui qui approche le plus de la perfection »
Articulateur de Davidson. « C’est certainement celui qui approche le plus de la perfection. Sa disposition permet de fixer les modèles d’une manière permanente, à tout angle voulu, sans que l’articulation puisse se fausser, une fois obtenue, et de garder cette articulation aussi longtemps qu’il est nécessaire. La position des différentes pièces peut être changée de quatorze manières, ce qui donne une grande facilté pour arriver à l’articulation, même si les modèles ont été attachés d’avance à l’articulateur ».
C. A. Harris (1806-1860), Ph. H., Austen (1822-1878), Ed. Andrieu (1833-1889), Traité théorique et pratique de l’art du dentiste, Paris, J.-B. Baillière, 1884, p. 731, Fig. 352
 
  « Articulateur dentaire universel de
Graham et Wood », « le plus simple
de tous les articulateurs »
Articulateur de Davidson,
« C’est certainement celui qui
approche le plus de la perfection »

Richardson Joseph, Practical Treatise on Mechanical Dentistry, 1886 
 
 
Page de titre : Joseph Richardson, Practical Treatise on Mechanical dentistry, quatrième edition, Blakiston, Son & Co, Philadelphie, 1886 
 
Articulateur du Dr Hayes, « Il permet la représentation de tous les mouvements de la mâchoire »
Articulateur du Dr Hayes. « Il permet la représentation de tous les mouvements de la mâchoire. La vis de réglage sur le côté joue dans une fente, sécurisant une position centrale, à laquelle il peut à tout moment, quand on le souhaite, y être ramené. La longue vis dans le pied produit un mouvement d'avant en arrière, le mouvement principal d'articulation vers le haut et le bas, et le grand écrou sur le fond rend toute la partie tendue et inflexible »
JoJoseph Richardson, Practical Treatise on Mechanical dentistry, quatrième edition, Blakiston, Son & Co, Philalphie, 1886, p. 477, Fig. 361
 
  Articulateur du Dr Hayes, « Il permet
la représentation de tous les
mouvements de la mâchoire »

Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, 1889
 
 
Page de titre : Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, juillet, 1889
 
(BIU Santé P 9)
Excelsior-Articulateur, invention de Huet
Excelsior -Articulateur, invention de Huet : « La partie supérieure A peut être retirée à volonté en tirant sur la goupille C, sans pour autant perturber le mordu de quelque manière que ce soit. La hauteur de A est réglable au moyen de la vis D. Au moyen de la vis E, la tige triangulaire F peut être allongée ou raccourcie selon les différentes tailles des modèles ».
Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, juillet, 1889, p. XXV 
 
Modèle C, (très commercialisé)
Fig. 1 Modèle C. On le retrouve dans différents catalogues. Chez Jetter & Scheerer (1905) sous le nom de « articulateur réglable » et chez Imperiali & Beltramini (1929), « Articulatore modello Clinica Berlino ». Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, juillet, 1889, p. XXV 
 
Modèle v. d. Leck
Fig. 4 Modèle v. d. Leck. Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, juillet, 1889, 4e de couverture
 
  Excelsior-Articulateur,
invention de Huet
Modèle C,
(très commercialisé)
Modèle
v. d. Leck
Modèle Thalmann avec rotule
Fig. 5 Modèle Thalmann avec rotule.
Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, juillet, 1889, 4e de couverture 
 
Modèle Thalmann avec rotule

L’articulateur anatomique J. W. Moffitt, 1890
 
L’articulateur anatomique J. W. Moffitt, brevet juillet 1890
L’articulateur anatomique J. W. Moffitt, brevet Juillet 1890. « Un des premiers exemples d’articulateur conçu avec un élément inférieur mobile [ …] pour assurer des mouvements correspondant à ceux de la mâchoire naturelle ».
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Early Attempts to Reproduce Mandibular Movement », Journal of Prosthodontics, Vol 9, No 1, 2000, p. 52, Fig. 2
 
L’articulateur anatomique J.J. W. Moffitt, brevet juillet 1890

Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, 1892
 
 
Page de titre : Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, avril, 1892
(BIU Santé P 9)
Nouvel Articulateur à rotation de D. Popiel de Budapest, généralement daté à tort de 1910
Généralement daté à tort en 1910, ce « Nouvel Articulateur à rotation » inventé par D. Popiel de Budapest. est un articulateur à charnière avec un mécanisme permettant une rotation à 90 degrés des moulages, offrant ainsi une vue dégagée de ceux-ci.
Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, avril, 1892, p. XXVII 
 
  Nouvel Articulateur à rotation de
D. Popiel de Budapest, généralement
daté à tort de 1910

Correspondenz-Blatt für Zahnärzte,
1892
 
Page de titre : Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, octobre, 1892
(BIU Santé P 9)
Articulateurs pour couronnes des Dr. Müller et Hunt (occluseurs)
Articulateur du Dr Hunt, le plus simple
Articulateur du Dr Müller, un dispositif de réglage et les mâchoires antérieures sont larges. Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, octobre, 1892, p. XV
 
Occluseur pour couronnes des Dr. Müller et Hunt, 1892
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.4, cliché F. Marin)
  Articulateurs pour couronnes des
Dr. Müller et Hunt (occluseurs)
Occluseur pour couronnes
des Dr. Müller et Hunt, 1892

Ash Claudius & Sons, Catalogue, Londres W. , 1893
 
Ash Claudius & Sons, Catalogue, Londres W. 1893
Page de titre : Ash Claudius & Sons, Catalogue of artificial teeth, precious metal, Stoppings, dental rubbers, furniture instruments, etc., Londres W. 1893
(BIU Santé 57637)
Articulateur de Hayes modifié par rapport à celui de Richardson 1886
Cet articulateur de Hayes, modifié par rapport à celui de Richardson 1886 « Permet tous les mouvements de la mâchoire et la charnière permet d’ouvrir les deux mâchoires à angle droit ». Ash Claudius & Sons, Catalogue of artificial teeth, precious metal, Stoppings, dental rubbers, furniture instruments, etc., Londres W. 1893, p. 549
L’articulateur anatomique Antes-Lewis N° 12 
 
Ash Claudius & Sons,
Catalogue,
Londres W. 1893
Articulateur de Hayes
modifié par rapport à celui
de Richardson 1886

L’articulateur anatomique Antes-Lewis N° 12, 1895
L’articulateur anatomique Antes-Lewis N° 12, brevet 1er octobre 1895
L'articulateur Antes-Lewis, , breveté les 1er octobre 1895 et 16 octobre 1900. Fabrication Buffalo Dental Mfg. Co. « C'était en fait le produit d'une co-entreprise et comprenait les caractéristiques de conception de deux instruments. La publicité affirmait que [ . . .] « des fentes dans le joug permettent un mouvement d'extrémité ou d'avant en arrière de la plaque supérieure sur un plan horizontal ». La plaque supérieure est maintenue en position par le ressort central encastré à l'extrémité du « joug ».
EdEdgar N. Starcke, « The history of articulators : Early Attempts to Reproduce Mandibular Movement", Journal of Prosthodontics, Vol 9, No 1, 2000, p. 55, Fig. 7
 
 
L’articulateur anatomique Antes-Lewis N° 122
brevet 1er octobre 1895

L’articulateur physiologique de Walker, 1896
 
L’articulateur physiologique de Walker, 1896
« L'articulateur physiologique de Walker. Il s'agit de la deuxième version brevetée. Les trajectoires condyliennes réglables sont non plus horizontales mais inclinées en bas et en avant »
J-J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 165
Illustration : Fig. 3 Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Early Attempts to Reproduce Mandibular Movement", Journal of Prosthodontics, Vol 9, No 4, 2000, p. 218
 
L’articulateur Walker, 1896
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.37, cliché F. Marin) 
L’articulateur physiologique
de Walker, 1896
L’articulateur
Walker, 1896

Rochester Dental Mfg. Co’s, Illlustrated catalogue, of dental furniture, intruments and materials, 1897
 
PaPage de titre : Rochester Dental Mfg. Co’s, Illustrated catalogue of dental furniture, intruments and materials, Rochester N. Y., 1897
https://archive.org/details/101554893.nlm.nih.gov/
 
Les articulateurs Justi, N° 1 et 2
Les articulateurs Justi, N° 1, 2 et 3 sont parfaitement attribués à Justi et non à Hoffstadt (brevet 1871).
« Les 1 et 2 sont presque identiques, le 2 étant surtout plus lourd »
Rochester Dental Mfg. Co’s, Illustrated catalogue of dental furniture, intruments and materials, Rochester N. Y., 1897, p. 428 
 
Articulateur type, conçu par le Dr. W. H. Gillett de Newport (occluseur)
« Cet articulateur type, conçu par le Dr. W. H. Gillett de Newport, spécialement adapté à des travaux courants, aussi bien pour des couronnes que pour des bridges. Les trous sur les côtés permettent une plage de ¼ à un ½ pouce dans le réglage de l’articulation »
Rochester Dental Mfg. Co’s, Illustrated catalogue of dental furniture, intruments and materials, Rochester N. Y., 1897, p. 429 
 
Articulateur de la Boston Dental Mfg. Co. en collaboration avec le Dr Lamkin de Lynn
Articulateur de la Boston Dental Mfg. Co. en collaboration avec le Dr Lamkin de Lynn.
« On peut faire glisser la mâchoire supérieure (A) dans les rainures en arrière et en avant, de sorte qu’en désserrant la vis (B), il n’y a aucun danger de déplacement latéral. Ses mouvements latéraux sont contrôlés par la vis (G).
La vis (F) règle l’espace entre la mâchoire supérieure (A) et la mâchoire inférieure (C) est dotée d’un écrou, prévenant tout risque de dévissage.
Les vis (D) et (E) qui forment la charnière sont en pointe de cône afin que l’usure puisse être absorbée et le mouvement rester toujours précis.
Les graduations à la mâchoire supérieure permettent au praticien de voir à quel point il a changé l’articulation ».
Rochester Dental Mfg. Co’s, Illustrated catalogue of dental furniture, intruments and materials, Rochester N. Y., 1897, p. 429
 
L’articulateur Justi N° 0, par H. D. Justi & Son
L’articulateur Justi N° 0, par H. D. Justi & Son. « Dans cet articulateur, l’extension verticale est supprimée. C’est un articulateur bien fait et fiable ».
Rochester Dental Mfg. Co’s, Illustrated catalogue of dental furniture, intruments and materials, Rochester N. Y., 1897, p. 431 
 
Les articulateurs Justi, N° 1 et 2

 
Articulateur type, conçu par le
Dr. W. H. Gillett de Newport
(occluseur)
Articulateur de la Boston Dental Mfg. Co.
en collaboration avec le
Dr Lamkin de Lynn
L’articulateur Justi N° 0,
par H. D. Justi & Son
 
L’articulateur Justi N° 0, 1897 (occluseur)
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.10, cliché F. Marin))
ArArticulateur pour couronnes, Justi & Son
« Petit appareil très utile pour le réglage et l’adaptation de prothèses partielles. Particulièrement pratique parce qu’il offre une vue égale sur les faces palatines ou vestibulaires. Convient parfaitement pour des petits bridges ou des couronnes ».
Rochester Dental Mfg. Co’s, Illustrated catalogue of dental furniture, intruments and materials,
Rochester N. Y., 1897, p. 431
 
L’articulateur N° 6 de S. S. White Dental Mfg. Co. (une modification du N° 2, 1867)
« La modification consiste à donner à sa plaque supérieure une double courbure, de sorte que lorsqu'elle est inversée comme le montrent les lignes de coupe en coupe, l'espace entre les plaques est augmenté d'un pouce, ce qui donne amplement de la place pour une longueur supplémentaire de mordu dans les prothèses supérieures et inférieures ».
Rochester Dental Mfg. Co’s, Illustrated catalogue of dental furniture, intruments and materials, Rochester N. Y., 1897, p. 432
 
L’articulateur Davis gem « très apprécié pour sa commodité et son adaptabilité »..
« Conception et fabrication de la Rochester Dental Mfg. Co. de cet articulateur très populaire très apprécié pour sa commodité et son adaptabilité ».
Rochester Dental Mfg. Co’s, Illustrated catalogue of dental furniture, intruments and materials, Rochester N. Y., 1897, p. 433
 
L’articulateur Justi N° 0,
1897 (occluseur)
 
Articulateur pour couronnes,
Justi & Son
 
L’articulateur N° 6 de S. S. White
Dental Mfg. Co. (une modification
du N° 2, 1867)
L’articulateur Davis gem
« très apprécié pour sa commodité
et son adaptabilité ».

L’articulateur Moffitt, 1898
 
L’articulateur Moffitt 1898 « Ce petit bijou pouvait être réglé sur au moins 36 positions »
« Ce petit bijou pouvait être réglé sur au moins 36 positions ».
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Unusual Concepts or "it seemed to be a great Idea at the Time", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 3, 2001, p 174, Fig. 14
 
L’articulateur Moffitt 1898
« Ce petit bijou pouvait être réglé
sur au moins 36 positions »

Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, 1898 
 
 
Page de titre : Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, octobre, 1898
(BIU Santé P 9))
L’L’articulateur « Imperator » de Mr. A. L. Stringfield (modèle 1830)
l’Articulateur « Imperator » de Mr. A. L. Stringfield, (en instance de brevet en Angleterre)
Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, octobre, 1898, p. XIX
 
  L’articulateur « Imperator »
de Mr. A. L. Stringfield
(modèle 1830)

L’articulateur de A. D. Gritman, 1899
 
L’articulateur de A. D. Gritman, 1899
« Gritman réalise un articulateur avec une trajectoire condylienne , inclinée à 15 degrés, située sur la branche supérieure. La particularité de cet instrument est la possibilité d’augmenter l’espace entre la branche supérieure et la branche inférieure en restant parallèle ».
J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 166
Illustration : Fig. 406, François Ackermann, Dentures et dentiers complets, Masson et Cie, Paris, 1930, p. 368
 
L’articulateur de A. D. Gritman, 1899
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.23, cliché F. Marin))
L’articulateur de A. D. Gritman, 1899

L’arc facial de Snow, 1900
 
L’arc facial de Snow, 1900, pour améliorer le montage du modèle maxillaire sur l’articulateur de A. D. Gritman
« G. B. Snow en 1900 conçoit un arc facial pour améliorer le montage du modèle maxillaire sur l’articulateur de A. D. Gritman. Il utilise pour cela des bases d’occlusion réglées suivant un plan d’occlusion parallèle au plan de Camper (point sous-nasal – tragus). Lors du montage du modèle maxillaire, l’articulateur doit être orienté de façon à ce que ses branches soient parallèles au plan d’occlusion (le plan de Camper) »
J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 166
Illustration Fig. 4, Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: The Appearance and Early History of Facebows", Journal of Prosthodontics, Vol 9, No 3, 2000, p 162)
 
L’arc facial de Snow, 1900,
pour améliorer le montage du
modèle maxillaire sur l’articulateur
de A. D. Gritman

L’articulateur de Christensen, 1901
 
Articulateur de Christensen, 1901, « comparable à celui de Walker (1896), mais plus simple en apparence »
« Enregistrement du rapport maxillo-mandibulaire en propulsion avec la cire de morsure (D). Pente condylienne inclinée en fonction de l’enregistrement.
Christensen (1901) réalise un articulateur comparable à celui de Walker (1896), mais plus simple en apparence ». J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 167
Illustration : Fig. 6 (B), Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Early Attempts to Reproduce Mandibular Movement », Journal of Prosthodontics, Vol 9, No 4, 2000, p. 219
 
L’articulateur de Christensen, 19011
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.39, cliché F. Marin)
Articulateur de Christensen, 1901, « comparable à celui de Walker (1896),
mais plus simple en apparence »

Patterson M. F. Illustrated catalogue of Dental Furniture, Instruments and Materials, 1901
 
Page de couverture : Dental Furniture, Instruments and Materials, M. F. Patterson, third edition 
 
 
Page de titre : M. F. Patterson, Illustrated catalogue of Dental Furniture, Instruments and Materials, 3e édition, M. F. Pattersons, St Paul, Minn. etc. 1901
https://archive.org/details/mfpattersonsillu00patt//
Articulateur anatomique N° 11, (breveté par le Dr Robert H. Antes, Geneseo, III 1er octobre 1895)
L’articulateur anatomique N° 11, (breveté par le Dr Robert H. Antes, Geneseo, III), fabriqué par Buffalo Dental Mfg. Co. Date du brevet inscrite sur la branche supérieure : 1er octobre 1895.
« Caractéristiques de cet articulateur : un mouvement latéral dans un plan incurvé de chaque côté de la ligne médiane est maintenu au moyen de fentes angulaires dans la fourche qui forme la charnière. Les fentes dans le joug permettent également un mouvement en bout ou en avant et en arrière de la plaque supérieure sur un plan horizontal; et lorsque la pression conférant chaque mouvement est relâchée, les pièces sont automatiquement ramenées en position normale par le ressort encastré sur l'extrémité de la fourche. Ces caractéristiques sont particulières à cet articulateur..
Le haut et le bas sont amovibles, ce qui permet d'utiliser un jeu supplémentaire de plaques sur un seul corps. La plaque supérieure peut être fournie avec un déport pour accueillir des moulages épais ».
M. F. Patterson, Illustrated catalogue of Dental Furniture, Instruments and Materials, 3éme édition, M. F. Patterson, St Paul, Minn. etc. 1901, p. 619
 
L’articulateur anatomique Antes-Lewis N° 12, (breveté 1er octobre 1895 et 16 octobre 1900))
L’articulateur anatomique Antes-Lewis N° 12, (breveté 1er octobre 1895 et 16 octobre 1900)
Fabrication Buffalo Dental Mfg. Co
« On a voulu créer un articulateur pour se conformer plus précisément aux exigences d'un articulateur parfait tel qu'énoncé par feu le Dr Bonwill, quant aux mesures entre les condyles et les mesures du condyle aux arêtes coupantes des incisives, à savoir : un triangle équilatéral d’environ quatre pouces. »
M. F. Patterson, Illustrated catalogue of Dental Furniture, Instruments and Materials, 3e édition, M. F. Patterson, St Paul, Minn. etc. 1901, p. 620 
 
    Articulateur anatomique N° 11,
(breveté par le Dr Robert H. Antes,
Geneseo, III 1er octobre 1895)
L’articulateur anatomique
Antes-Lewis N° 12, (breveté
1er octobre 1895 et 16 octobre 1900)
Articulateur N° 1, par Justi & Son
Articulateur N° 1, par Justi & Son. L’extension verticale des mâchoires est supprimée, très pratique pour les cas courants ». M. F. Patterson, Illustrated catalogue of Dental Furniture, Instruments and Materials, 3e édition, M. F. Patterson, St Paul, Minn. etc. 1901, p. 621
 
Articulateur pour couronnes N° 5 par Justi & Son (occluseur)
Articulateur pour couronnes N° 5 par Justi & Son. M. F. Patterson, Illustrated catalogue of Dental Furniture, Instruments and Materials, 3e édition, M. F. Patterson, St Paul, Minn. etc. 1901, p. 623
 
Articulateur pour couronnes Lewis N° 100
Articulateur pour couronnes Lewis N° 10, fabriqué par Buffalo Dental Mfg. Co.
M. F. Patterson, Illustrated catalogue of Dental Furniture, Instruments and Materials, 3e édition, M. F. Patterson, St Paul, Minn. etc. 1901, p. 623
 
Articulateur N° 1,
par Justi & Son
Articulateur pour couronnes N° 5
par Justi & Son (occluseur)
Articulateur pour couronnes
Lewis N° 10

L’articulateur de Kerr, 1902
 
L’articulateur de Kerr, 1902
L'articulateur Kerr, 1902. « Cet articulateur a été le troisième à être breveté avec la fonction de guidage condylien réglable et a été populaire pendant de nombreuses années. Il est intéressant de noter que les contrôles condyliens sont approximativement au niveau du plan occlusal ». Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Early Attempts to Reproduce Mandibular Movement", Journal of Prosthodontics, Vol 9, No 4, 2000, p. 221, Fig. 10
 
L’articulateur proche de Kerr, 1902
 
(Musée de l’art dentaire de Garancière, cliché MRK)
L’articulateur de Kerr, 1902 L’articulateur proche de Kerr, 1902

L’articulateur Antes-Lewis, 1904
 
L’articulateur Antes-Lewis, 1904
(De côté et de dessus) « L’articulateur Antes-Lewis, 1904. Les emplacements pour les pouces permettent de mobiliser la branche maxillaire de l'articulateur. Les poussées simultanées produisent un mouvement de propulsion Ces actions sont contrôlées par le ressort de rappel postérieur cylindrique qui est perpendiculaire à la barre transversale condylienne ».
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: The Wonderful World of "Grinders.’’ Part I
Journal of Prosthodontics, Vol 15, No 2, 2006, p. 130, Fig. 1
 
L’articulateur Antes-Lewis, 1904

Claudius Ash & Sons, Abridged Catalogue of Dental Materials, 1905
 
 
Page de couverture : Abridged Catalogue of Dental Materials,1905. Claudius Ash & Sons Ltd London, 1905 
 
Page de titre : Abridged Catalogue of Dental Materials,1905. Claudius Ash & Sons Ltd London, 1905
https://archive.org/details/b28059505//
   
L’articulateur rationnel de Christensen, brevet N° 372,481
Abridged Catalogue of Dental Materials,1905. Claudius Ash & Sons Ltd London, 1905, p. 246
 
L’articulateur rationnal de Christensen, 1901
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.38, cliché F. Marin))
L’articulateur pour couronnes d’Alexander , modification du Graham and Wood (occluseur)
L’articulateur pour couronnes d’Alexander, modification du Graham and Wood.
« La vis de réglage est munie d'un blocage qui empêche toute altération du mordu, et le talon de la mâchoire inférieure lui donne une très bonne Stabilité ».
Abridged Catalogue of Dental Materials,1905. Claudius Ash & Sons Ltd London, 1905, p. 247
 
L’articulateur rationnel de
Christensen, brevet N° 372,481
 
L’articulateur rationnal
de Christensen, 190I
 
L’articulateur pour couronnes
d’Alexander , modification du
Graham and Wood (occluseur)

L’articulateur Snow New Century, 1909
 
L’articulateur Snow New Century, 1909
« Le brevet original de 1907 montre que l'articulateur Snow New Century était essentiellement une version améliorée de l'articulateur Gritman (1899) avec des guides condyliens inclinés réglables plutôt que fixes. Cette deuxième version de l'articulateur New Century (1909) comprenait un ressort de retenue central plus efficace et d'autres améliorations telles que les extensions postérieures de la branche inférieure qui ont amélioré sa stabilité »
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Early Attempts to Reproduce Mandibular Movement", Journal of Prosthodontics, Vol 9, No 4, 2000, p. 221, Fig. 8
 
L’articulateur Snow New Century, 1909,
version améliorée de
l'articulateur Gritman (1899)

C. J. Plucknett & Co. Ltd. Catalogue, Departement N° 4 "Dental", ca 1910
 
 
Page de titre : C. J. Plucknett & Co. Ltd. Catalogue, Departement N° 4 "Dental" ca 1910
https://wellcomecollection.org/works/jpgeq2rf/items?canvas=18&langCode=engg 
Divers articulateurs : New crown, Plain line, Fork, Graham and Wood, Simple, Antes-Lewis anatomical
Divers articulateurs et occluseurs : New crown, Plain line, Fork, Graham and Wood, Simple, Antes-Lewis anatomical
C. J. Plucknett & Co. Ltd. Catalogue, Departement N° 4 "Dental" ca 1910, p. 2 
 
Occluseur simple voisin de Graham et Wood 1875 (?)
 
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
  Divers articulateurs : New
crown, Plain line, Fork,
Graham and Wood, Simple,
Antes-Lewis anatomical
Occluseur simple voisin
de Graham et Wood 1875 (?))

 

Picard Henri & Frères, Fabrique et dépôt de Dents minérales, Instruments, Outils et Fournitures pour Dentistes, Paris, 1910
 
 
Page de titre : Henri Picard & Frères, Fabrique et dépôt de Dents minérales, Instruments, Outils et Fournitures pour Dentistes, Paris, 1910
(BIU Santé 354196)
Articulateur bronze, « modèle français » (Fork) (occluseur)
« Articulateur bronze, modèle français ». Henri Picard & Frères, Fabrique et dépôt de Dents minérales, Instruments, Outils et Fournitures pour Dentistes, Paris, 1910, p. 26, Fig. 80
 
Articulateur bronze, « modèle allemand » (Modèle C, 1889)
« Articulateur bronze, modèle allemand ». Henri Picard & Frères, Fabrique et dépôt de Dents minérales, Instruments, Outils et Fournitures pour Dentistes, Paris, 1910, p. 26, Fig. 82
 
  Articulateur bronze, « modèle
français » (Fork) (occluseur)
Articulateur bronze, « modèle
allemand » (Modèle C, 1889)
Articulateur bronze, « modèle américain » (S. S. White N°2, 1867)
« Articulateur bronze, modèle américain ». Henri Picard & Frères, Fabrique et dépôt de Dents minérales, Instruments, Outils et Fournitures pour Dentistes, Paris, 1910, p. 26, Fig. 83
 
Articulateur fil de fer étamé (occluseur)
« Articulateur fil de fer étamé ». Henri Picard & Frères, Fabrique et dépôt de Dents minérales, Instruments, Outils et Fournitures pour Dentistes, Paris, 1910, p. 26, Fig. 84
 
Articulateur pour couronnes (occluseur), (articulator N° 5, Justi & Son)
Articulateur pour couronnes. Henri Picard & Frères, Fabrique et dépôt de Dents minérales, Instruments, Outils et Fournitures pour Dentistes, Paris, 1910, p. 26, Fig. 85
 
Articulateur bronze, « modèle
américain » (S. S. White N°2, 1867)
Articulateur fil de fer étamé (occluseur)
 
Articulateur pour couronnes (occluseur), ),
(articulator N°5, Justi & Son)

Luce « Simplex articulateur » , 1911
 
Luce « Simplex articulateur » 1911, brevet 1911, de Stuttgart
« Cet articulateur Luce, de Stuttgart, en Allemagne, a reçu le 28 novembre 1911 le premier brevet pour un articulateur avec une goupille incisive et un ensemble de guidage. Luce, anciennement de Boston, M A, a également été l'un des premiers chercheurs à décrire les mouvements vers le bas et vers l'avant des condyles (1889). L'articulateur de Luce fut le premier type de «griffonnage»; c'est-à-dire qu'il avait des contrôles de trajectoire postérieure et incisive générés de manière fonctionnelle (dans le plastique de modélisation) ».
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: The Appearance and Early Use of the Incisal-pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 1, 2001, p. 53, Fig. 2
 
Luce « Simplex articulateur » 1911
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.52, cliché F. Marin)
Luce « Simplex articulateur » 1911,
brevet 1911, de Stuttgart
Luce « Simplex articulateur » 1911
 

Amoëdo Oscar, Nouvel articulateur anatomique, 1911
 
Nouvel articulateur anatomique d’Oscar Amoëdo, 1911
 
Fig. 410, François Ackermann, Dentures et dentiers complets, Masson, Paris, 1930, p. 370
 
 
O. Amoëdo (1911) présente un « nouvel articulateur anatomique». Il positionne les modèles sur son articulateur grâce a l’arc facial de Snow. Il programme les trajectoires condyliennes réglables en utilisant la technique de Christensen [ …] . Son innovation consiste en la présence d’un plateau incisif et d’une tige incisive réglable permettant de modifier et stabiliser la dimension verticale » J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 168 (Illustration : Fig. 5, Romerowski Jean. « La petite histoire des articulateurs ». ATD, vol. 9, N° 1, février 1998, ed. CDP, p. 300)
 
Nouvel articulateur anatomique d’Oscar Amoëdo, 1911
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.41, cliché F. Marin)
DOSSIER « Nouvel articulateur anatomique par M. Amoëdo »,
« Nouvel articulateur anatomique par M. Amoëdo », L’odontologie, 30-V-30 1911, p. 465-467
DOSSIER
Nouvel articulateur anatomique
d’Oscar Amoëdo, 1911

 
DOSSIER
« Nouvel articulateur
anatomique
par M. Amoëdo »

Articulateur Eltner, 1912
Articulateur Eltner 1912
« Dans sa théorie, Eltner (1909) décompose l’articulation temporo-mandibulaire en deux articulations avec une articulation inférieure « condylo- méniscale » et une articulation supérieure
« ménisco- temporale». Il construit alors un articulateur Eltner avec deux axes horizontaux, l’un passant par l’axe des condyles et l’autre par le centre des deux « éminences articulaires » (racines transverses de l’apophyse zygomatique). Pour le premier axe inter-condylien, il est ainsi un précurseur de l’école « gnathologique » qui se fonde sur la théorie de « l’axe charnière ». L’articulateur de Eltner a des guidages sagittaux adaptables et utilise un arc facial. Dans tous les mouvements mandibulaires, les deux centres de rotation conservent la même distance. Dans le plan sagittal, cette théorie semble juste. En revanche, elle ne résiste pas à une analyse critique dans les autres plans, en particulier dans les mouvements latéraux car, dans cet articulateur, les trajets condyliens sont dirigés parallèlement en avant, ce qui rend les mouvements transversaux impossibles ».
J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 167-168
Illustration : Fig. 3, Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: The Appearance and Early Use of the Incisal-pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 1, 2001, p. 53
 
L’articulateur Eltner, 1912
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.40, cliché F. Marin))
Articulateur Eltner 1912

The Dental Manufacturing Company Co., LTD, 1912
 
 
Couverture : The Dental Manufacturing Co. Ltd, Catalogue. London, Manchester, Glascow, Dublin
http://wellcomelibrary.o rg/item/b21449739
L’articulateur D. M. Co.’s. (voisin de Smith)
L’articulateur D. M. Co.’s voisin du Smith de S. S. White N° 1 (1867).
The Dental Manufacturing Co. Ltd, Catalogue. London, Manchester, Glascow, Dublin, p. 40, Fig. 1
 
L’articulateur "précis" de Shaww
L’articulateur "précis" de Shaw. « Garde les avantages de l’occluseur fourche sans en présenter les inconvénients. Très stable".
The Dental Manufacturing Co. Ltd, Catalogue. London, Manchester, Glascow, Dublin, p. 41
 
L’articulateur Ladmore (1830) (occluseur)
Fig. 2 L’articulateur Ladmore (1830). Réédition 80 ans après sa première apparition !
The Dental Manufacturing Co. Ltd, Catalogue. London, Manchester, Glascow, Dublin p. 40
 
  L’articulateur D. M. Co.’s.
voisin de Smith
de S. S. White N° 1 (1867)
L’articulateur "précis"
de Shaw
 
L’articulateur Ladmore (1830)
(occluseur)
 
L’articulateur Howart (1830) (occluseur)
Fig. 3 et 4 L’articulateur Howart (1830) Réédition 80 ans après sa première apparition !
The Dental Manufacturing Co. Ltd, Catalogue. London, Manchester, Glascow, Dublin, p. 40
 
L’articulateur D. M. Co.’s. "Gain de temps", design de Mr W. H. Bowling. (occluseur ?)
L’articulateur D. M. Co.’s. « Gain de temps", design de Mr W. H. Bowling. Brevet demandé.
The Dental Manufacturing Co. Ltd, Catalogue. London, Manchester, Glascow, Dublin, p. 43
 
Articulateur d’enregistrement universel, design de Mr. Cecil M. Gardner, brevetéé
Articulateur d’enregistrement universel, design de Mr. Cecil M. Gardner, breveté. Le système d’enregistrement des mesures d’un modèle en cours permet d’utiliser en même temps ce même articulateur pour d’autres modèles.
The Dental Manufacturing Co. Ltd, Catalogue. London, Manchester, Glascow, Dublin, p. 43
 
L’articulateur Howart (1830)
(occluseur)
 
L’articulateur D. M. Co.’s.
"Gain de temps", design de
Mr W. H. Bowling. (occluseur ?)
Articulateur d’enregistrement
universel, design de
Mr. Cecil M. Gardner, breveté

Le Stabiloccluseur de Villain, 1912, et ses accessoires
 
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912, et ses accessoires
« Stabiloccluseur de Villain et ses accessoires. À gauche, le socle avec l’occluseur et les tiges de repérage. À droite, la calotte sphéroïdale ».
François Ackermann, Dentures et dentiers complets, Masson et Cie, Paris, 1930, p. 261
« G. Villain (1912) reprend la théorie de Monson. Pour lui, le problème de l’occlusion des prothèses doit être considéré non pas sur le plan de la reproduction mécanique des mouvements mandibulaires mais sur celui de la reconstruction de l’occlusion dentaire engendrée par ces mouvements. Il réalise alors un articulateur appelé « stabiloccluseur », résultant de ses théories et conçu pour la prothèse amovible complète ». J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 168, Fig. 291
 
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912. « Vue postérieure montrant le montage de la sphère sur l’occluseur
François Ackermann, Dentures et dentiers complets, Masson et Cie, Paris, 1930, p. 267, Fig. 298
 
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912, « Montage des dents bords libres et cuspides vestibulaires sur la ligne délimitant le cône de sustentation tracé sur la sphère »
François Ackermann, Dentures et dentiers complets, Masson et Cie, Paris, 1930, p. 271, Fig. 303
 
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912,
et ses accessoires


 
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912.
« Vue postérieure montrant le
montage de la sphère sur l’occluseur

 
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912,
« Montage des dents bords libres
et cuspides vestibulaires sur la ligne
délimitant le cône de sustentation
tracé sur la sphère »
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912 (branche inférieure)
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.58, cliché F. Marin)
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912 (avec moulage inférieur)
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.57, cliché F. Marin)
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912
 (branche inférieure)
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912
 (avec moulage inférieur)

L’Articulo-Mouleur Universel « Statim » , 1912
 
L’Articulo-Mouleur Universel « Statim » (occluseur)
« L'idée originale d'un simple dispositif de charnière est née en France en 1912. L'articulateur Universel «Statim» comportait ses propres coupelles de montage intégrées, un moyen rapide et facile de monter les plâtres. Cet appareil était équipé de deux types de mécanisme de charnière: 1 pour les plâtres avec contact occlusal et 1 avec une butée verticale pour les plâtres sans contact. Évidemment, cette fonction n'a pas été ajoutée pour améliorer la fonction, mais plutôt pour gagner du temps ».
Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Unusual Concepts or "it seemed to be a great Idea at the Time", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 3, 2001, p. 171
(Illustration de la Revue de Stomatologie, vol. 19, Janvier 1912 s. p.)
 
L’Articulo-Mouleur
Universel « Statim »
(occluseur)

Magnini Augusto, Forniture per dentisti, catalogo, 1913
 
 
Page de titre : Augusto Magnini, Forniture per dentisti, catalogo, Milano, 1913
(extburello001, coll. Valerio Burello)
S. S. White N° 2 1867
Articulateur modèle S. S. White N° 2, 1867, « en métal nickelé, la partie supérieure peut être déplacée en avant ou en arrière. La vis centrale inférieure sert à éloigner ou rapprocher l’arcade supérieure de l’inférieure »
Augusto Magnini, Forniture per dentisti, catalogo, Milano, 1913, p. 260, Fig. 1007
 
Articulateurs : modèles berlinois, français, en fer et pour couronne
1100 Articulateur modèle de Berlin
1101 Articulateur modèle français
1102 Articulateur simple en fer
1103 et 1104 occluseurs pour couronne
Augusto Magnini, Forniture per dentisti, catalogo, Milano, 1913, p. 261
 
Occluseur métallique, vers 1840 ?
Fig. 1102
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.2, cliché F. Marin)
  S. S. White N° 2 1867

 
Articulateurs : modèles
berlinois, français, en
fer et pour couronne
Occluseur métallique,
vers 1840 ?
 

L’articulateur Schröder-Rumpel, 1914
 
L’articulateur Schröder-Rumpel, Berlin, 1914
L’articulateur Schröder-Rumpel, Berlin, 1914
« Cet instrument incarnait à la fois le guide incisif Rumpel et les commandes condyliennes similaires à l’articulateur réglable modèle 1908 de Gysi ».
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: Pursuing the Evolution of the Incisal-Pin and Guide", Part II of the Incisal-Pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 2, 2001, p. 119, Fig. 14 (A)
 
L’articulateur Schröder-Rumpel,
Berlin, 1914

L’articulateur Snow « Acme », 1915
 
L’articulateur Snow « Acme » amélioré, 1915
« Ce dernier modèle d’articulateur Snow « Acme » 1915 avait, entre autres améliorations, des tables incisives interchangeables et une table ajustable ».
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: The Appearance and Early Use of the Incisal-pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 1, 2001, p. 55
Illustration, Fig. 463 Pedro Saizar, Protesis a placa, Progrental, Buenos-Aires, 1958, p. 264
 
L’articulateur Snow « Acme » amélioré, 1915

L’articulateur «Alligator» de Hall, 1916
 

« R. E. Hall confectionne une série d’articulateurs (Alligator, 1916 et 1917; Automatic Anatomic Articulator, 1918 ; Hall-House Precision Articulator, 1920 ; Hall Arbitrary Articulator, 1924. Tous ces instruments sont fondés sur un nouveau concept géométrique, « la théorie du cône », selon lequel les mouvements mandibulaires s’effectuent avec un seul axe rétro et inter-condylien. Cet axe unique fait un angle oblique de 45° par rapport aux branches horizontales de l’articulateur et du plan d’occlusion. Hall a également introduit sur ses articulateurs différentes versions de plateaux incisifs réglables avec, pour certains, des ailettes latérales orientables ».

J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 168-169

L’articulateur «Alligator» de Hall, 1916
« L’articulateur «Alligator» 1916, le premier articulateur breveté de Hall, qui l’a peut-être construit lui-même [ …] Il était le premier articulateur à inclure une table de guidage incisive avec des ailes latérales réglables ».
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: A Critical Review of Articulators Based on Geometric Theories of Mandibular Movement, Part II: Rupert Hall’s Conical Theory", Journal of Prosthodontics, Vol 11, No 3, 2002, p. 215, Fig. 5 (A)
 
L’articulateur «Alligator» de Hall, 1916

L’articulateur de Hall, 1917
 
L’articulateur de Hall, 1917, « Version révisée de l’Alligator »
« L’articulateur 1917, le deuxième articulateur breveté de Hall, produit par la S. S. White Dental manufacturing Co. « Version révisée de l’Alligator, la broche incisale a été conçue pour fonctionner dans une cupule à 45 degrés » Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: A Critical Review of Articulators Based on Geometric Theories of Mandibular Movement, Part II: Rupert Hall’s Conical Theory", Journal of Prosthodontics, Vol 11, No 3, 2002, p. 215, Fig. 5 (B)
 
L’articulateur de Hall, 1917

L’articulateur Automatique-Anatomique de Hall, 1918
 
L’articulateur Automatique-Anatomique de Hall, 1918
L’articulateur Automatique-Anatomique de Hall, 1918. Breveté sous ce nom, il est basé sur la théorie de l'occlusion «Conique» (centre de rotation unique ). Hall est revenu à l'utilisation d'une table de guidage incisive horizontale avec des ailes latérales fixes à 45 degrés »
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: The Appearanceand Early Use of the Incisal-pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 1, 2001, p. 58, Fig. 14 (A)
 
L’articulateur Automatique-
Anatomique de Hall, 1918

L’articulateur Automatique-Anatomique de Hall, 1919
 
L’articulateur Automatique-Anatomique de Hall, 1919
L’articulateur Automatique-Anatomique de Hall, 1919. « Conception, représentant une incarnation plus complète des principes coniques »
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: A Critical Review of Articulators Based on Geometric Theories of Mandibular Movement, Part II: Rupert Hall’s Conical Theory", Journal of Prosthodontics, Vol 11, No 3, 2002, p. 218, Fig. 8 (A)
 
L’articulateur Automatique-
Anatomique de Hall, 1919

L’articulateur « Hall-House de précision », 1920
 
L’articulateur « Hall-House de précision », 1920
« Au début des années 1920, M. M. House a amélioré mécaniquement la conception originale de «l'articulateur anatomique automatique», mais a conservé ses principes généraux inchangés. Cet instrument a été produit sous le nom de «Hall-House Precision Articulator»; il n'a pas été breveté »
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: A Critical Review of Articulators Based on Geometric Theories of Mandibular Movement, Part II: Rupert Hall’s Conical Theory", Journal of Prosthodontics, Vol 11, No 3, 2002, p. 218, Fig. 12
 
L’articulateur « Hall-House
de précision », 1920

L’articulateur mandibulo-mandibulaire de Monson, 1918 - 1923
 

« G. S. Monson (1918), associant la théorie de Von Spee à la règle du triangle équilatéral de Bonwill et au triangle de Balkwill, établit que les surfaces occlusales des dents mandibulaires sont situées sur la surface d’une sphère dont le centre est l’apophyse Crista-Galli et dont le rayon est de 4 inches, soit un peu plus de 10 cm. Il démontre sa théorie en utilisant un articulateur de Bonwill. Les dernières recherches de G. S. Monson aboutiront en 1923 à l’élaboration d’un articulateur breveté appelé « instrument mandibulo-maxillaire » utilisant un arc facial spécifique pour positionner le modèle maxillaire. Dans ce concept, la priorité est axée sur la reconstruction des courbes occlusales, appelée « théorie de la sphère », et non plus sur le concept anatomique pour la reproduction des mouvements condyliens. »

J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 166

L’articulateur mandibulo-mandibulaire de Monson, vue frontale, 1918
« Vue frontale de la mandibule avec la théorie de la sphère. Sphère de 8 inches de diamètre. Les lignes de force radiales convergent en un point unique. La table occlusale de chaque dent s’applique sur la surface de la sphère ».
» . J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 166
Illustration, Fig. 15 Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: A Critical Review of Articulators Based on Geometric Theories of Mandibular Movement", Part I, Journal of Prosthodontics, Vol 11, No 2, 2002, p. 143
 
L’articulateur mandibulo-mandibulaire de Monson, vue sagittale, 1918
« Vue sagittale de la superposition de la sphère avec l’articulateur de Monson. Le plan d’occlusion est situé sur la surface de la sphère » . J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 166
Illustration, Fig. 16 Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: A Critical Review of Articulators Based on Geometric Theories of Mandibular Movement", Part I, Journal of Prosthodontics, Vol 11, No 2, 2002, p.143
 
L’articulateur mandibulo-mandibulaire de Monson 1923
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: A Critical Review of Articulators Based on Geometric Theories of Mandibular Movement", Part I, Journal of Prosthodontics, Vol 11, No 2, 2002, p.143, Fig. 15
 
L’articulateur
mandibulo-mandibulaire de
Monson, vue frontale, 1918
L’articulateur
mandibulo-mandibulaire de
Monson, vue sagittale, 1918
L’articulateur
mandibulo-mandibulaire de
Monson 1923

Ash, Claudius, Sons and Co., Ltd, Catalogue d’instruments dentaires, c. 1921
 
 
Page de titre : Ash, Claudius, Sons and Co. Ltd, Catalogue d’instruments dentaires, Londres, 1920 (édition française 1921)
(BIU Santé 200115) 
Articulateur anatomique. modèle de Charles Christensen Copenhague (identique au 1905)
Articulateur anatomique. modèle de Charles Christensen Copenhague, identique à celui présenté par Claudius Ash & Sons en 1905. Ash, Claudius, Sons and Co. Ltd, Catalogue d’instruments dentaires, Londres, 1920 (édition française) , L 30
 
Deux articulateurs (occluseurs)
Deux articulateurs (occluseurs)
N° 1 en bronze poli avec vis et contre écrou pour régler l’angle d’ouverture, à double branche
N° 8 En bronze à une branche. Ash, Claudius, Sons and Co. Ltd, Catalogue d’instruments dentaires, Londres, 1920 (édition française). L 31 
 
  Articulateur anatomique.
modèle de Charles Christensen
Copenhague (identique au 1905)
 
Deux articulateurs (occluseurs)


 
Articulateur pour couronnes, modèle Parris (occluseur)
N° 14 Articulateur pour couronnes, modèle Parris, nickelé. Ash, Claudius, Sons and Co. Ltd, Catalogue d’instruments dentaires, Londres, 1920 (édition française). L 31 
 
Articulateur simple en fil de fer étamé, modèle français (occluseur)
N° 9 Articulateur en fil de fer étamé, modèle français. Ash, Claudius, Sons and Co. Ltd, Catalogue d’instruments dentaires, Londres, 1920 (édition française). L 31 
 
Articulateur pour couronnes,
modèle Parris (occluseur)

 
Articulateur simple
en fil de fer étamé,
modèle français
 (occluseur)

L’articulateur de Wustrow, 1921
 
L’articulateur de Wustrow, Berlin, « Un des premiers articulateurs européens de « traçage »
« Un des premiers articulateurs européens de « traçage ». Cet articulateur a apparemment été conçu pour la stabilité; de conception très simple, il avait 4 coupelles de traçage.
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: "Scribing’’ Articulators: Those with Functionally Generated Custom Guide Controls, Part I, Journal of Prosthodontics, Vol 13, No 2, 2004, p. 124, Fig. 9
 
L’articulateur de Wustrow, Berlin,
« Un des premiers articulateurs
européens de « traçage »

L’articulateur de Fehr, Berlin, 1921
 
L’articulateur de Fehr, 1921, « Autre premier articulateur européen de « traçage »
« Autre premier articulateur européen de « traçage ». La conception de Fehr est probablement la première à utiliser une seule broche de guidage pour le guidage antérieur (incisif) et deux pour le guidage postérieur (condylaire) dans un articulateur de traçage ».
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: "Scribing’’ Articulators: Those with Functionally Generated Custom Guide Controls, Part I, Journal of Prosthodontics, Vol 13, No 2, 2004, p. 124, Fig. 10
 
L’articulateur de Fehr, 1921,
« Autre premier articulateur
européen de « traçage »

L’articulateur Eichentopf « Modèle universel », 1922
 
L’articulateur Eichentopf « Modèle universel », Leipzig, 1922
« Cet articulateur Eichentopf « Modèle universel », avait un axe charnière amovible et offrait un réglage vertical «facile» de la hauteur.
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: "Scribing’’ Articulators: Those with Functionally Generated Custom Guide Controls, Part I, Journal of Prosthodontics, Vol 13, No 2, 2004: p. 122, Fig. 6
 
L’articulateur Eichentopf
« Modèle universel »,
Leipzig, 1922

L’articulateur Eichentopf « Modèle clinique», 1923
 
L’articulateur Eichentopf « Modèle clinique», Leipzig, 1923
L’articulateur Eichentopf « Modèle clinique», (première version)
« La charnière a été essentiellement éliminée dans ce modèle à l'exception d'une tige de guidage courbée postérieure. Ce modèle comportait des tiges de support d'accessoires (c) adjacentes à chaque tige de traçage (b) pour maintenir la dimension verticale ».
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: "Scribing’’ Articulators: Those with Functionally Generated Custom Guide Controls, Part I, Journal of Prosthodontics, Vol 13, No 2, 2004: p. 123, Fig. 7
 
L’articulateur Eichentopf
« Modèle clinique»,
Leipzig, 1923

L’articulateur de Wadworth, 1919-1924 
 
L’articulateur de Wadworth, S. S. White, Philadephie, 1919-1924
« Wadsworth après avoir fait son premier articulateur en 1919, en réalise un deuxième en 1921 puis un troisième en 1924. Wadsworth réactualise la théorie de la sphère de Monson déjà introduite dans le stabiloccluseur de Villain. Il présente en 1924 son dernier articulateur qui utilise un arc facial spécifique. Pour Wadsworth, la sphère est de diamètre variable et doit être adaptée à chaque patient en fonction de la distance incisive – condyle »
J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1920 à l’ère numérique, Partie II, » Clinic, 390, 11. 5. 2020, p. 193
Illustration, Fig. 314, François Ackermann, Dentures et dentiers complets, Masson et Cie, Paris, 1930, p. 283 
 
L’articulateur de Wadsworth, 1919-1924
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.66, cliché F. Marin) 
L’articulateur de Wadworth,
S. S. White, Philadephie, 1919-1924
L’articulateur de Wadsworth,
1919-1924

L’articulateur enregistreur de Darcissac, 1924
 
L’articulateur enregistreur de Darcissac, 1924
« Darcissac invente en 1924 une méthode originale reposant sur l’enregistrement direct, en bouche, des rapports d’articulé en propulsion et en diduction avec une pâte à empreinte thermoplastique placée dans un instrument appelé stabilisateur-enregistreur. Celui-ci est composé d’un dispositif intra-buccal d’enregistrement solidaire d’un dispositif extra- buccal de stabilisation. Les rapports d’articulé enregistrés sur le sujet sont ensuite transférés sur un articulateur spécial appelé articulateur enregistreur, puis reproduits par cet instrument adaptable à chaque cas particulier »
J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1920 à l’ère numérique, Partie II, » Clinic, 390, 11. 5. 2020, p. 195
Illustration : Fig. 340, François Ackermann, Dentures et dentiers complets, Masson et Cie, Paris, 1930, p. 311
 
L’articulateur enregistreur
de Darcissac, 1924

L’articulateur automatique-anatomique de Hall, 1924
 
L’articulateur automatique-anatomique de Hall, 1924
« Cet articulateur automatique-anatomique de Hall, 1924, comprenait une pente incisive réglable et un mécanisme pour déplacer la branche maxillaire dans un mouvement de propulsion rectiligne. Les ailes latérales du guide incisif sont restées à 45 degrés. »
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: A Critical Review of Articulators Based on Geometric Theories of Mandibular Movement, Part II: Rupert Hall’s Conical Theory", Journal of Prosthodontics, Vol 11, No 3, 2002, p. 221, Fig. 13
 
L’articulateur automatique-
anatomique de Hall, 1924

Le Stanley « Articulateur anatomique et Grinder », 1924 
 
 
The Stanley «Articulateur anatomique et Grinder», 1924, avait à la fois des appuis pour les pouces et des appuis opposés pour les index, ce qui offrait probablement un meilleur contrôle »
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: The Wonderful World of "Grinders.’’ Part I, Journal of Prosthodontics, Vol 15, No 2, 2006, p. 130, Fig. 2
 
Le Stanley « Articulateur
anatomique et Grinder », 1924

Les articulateurs de John Needles et Milus M. House, 1927
 
Les articulateurs de John Needles et Milus M. House, 1927
À gauche l’articulateur de House, à droite, celui de Needles Needles et House ont développé un système de guidage incisif House-Needles amélioré qui ont été utilisés dans les modèles ultérieurs d’articulateurs » Edgar N. Starcke, "The History of Articulators : Pursuing the Evolution of the Incisal-Pin and Guide", Part II of the Incisal-Pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 2, 2001, p. 116, Fig. 7 (A)
 
Les articulateurs de John Needles
et Milus M. House, 1927

L’articulateur Tripod de Stansberry, 1929
 
L’articulateur Tripod de Stansberry (1929)
« L’articulateur Tripod de Stansberry est un instrument à trois points d’appui car l’auteur ne juge pas indispensable le positionnement précis du modèle maxillaire si les enregistrements sont effectués à partir de la dimension verticale d’occlusion définitive. Ces enregistrements comme d’autres de différentes sortes sont utilisables avec l’articulateur de Brandup-Wognsten (1936) ».
J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1920 à l’ère numérique, Partie II, » Clinic, 390, 11. 5. 2020, p. 196
(Illustration Fig. 27 : Romerowski Jean « Petite histoire des articulateurs » ATD, 9, février 1998 p. 306)
 
L’articulateur Tripod de Stansberry (1929)

Le Gnathoscope de Beverly B. McCollum, 1929
Le Gnathoscope de Mac Collum, 1929, brevet 1733507
« De 1924 à 1928, 9 modèles différents d'articulateurs expérimentaux ont été réalisés avant que Mc Collum ne mette en production un articulateur conforme à ses normes, le «Gnathoscope» . Il faudra encore 5 ans, en grande partie grâce aux efforts de Stuart, pour produire un instrument capable de mesurer le mouvement mandibulaire sur 3 plans. En 1934, le prototype du « Gnathographe » sera présenté »
Edgar N. Starcke "The History of Articulators: From Facebows to the Gnathograph, a Brief History of Early Devices Developed for Recording Condylar Movement" : Part II Journal of Prosthodontics, Vol 11, No 1 (March), 2002: p. 60 et 61
Illustration : University Health Of Texas Health Science Center, Houston. USA
 
Le Gnathoscope de Mac Collum,
1929, brevet 1733507

Le "Balancer" de H. C. Hagman, 1929
 
Le "Balancer" de H. C. Hagman
H.C. HAGMAN (1929) reprend le concept de la sphère mais il ajoute différentes courbures ce qui à propos de son articulateur « the BALANCER » aux sphères de courbures variables annoncent les calottes sphériques. »
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: "A Critical Review of Articulators Based on Geometric Theories of Mandibular Movement", Part III: The "Balancer" Designs, Journal of Prosthodontics, Vol 11, No 3, 2002, p. 308
 
Le "Balancer" de H. C. Hagman

Les articulateurs W. G. A. Bonwill, de 1858 à 1929
 
L’articulateur W. G. A. Bonwill, 1858
« W. G. A. Bonwill décrit un mouvement en avant des condyles et construit un articulateur reproduisant leurs trajectoires dans un plan strictement horizontal »
J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 163-165
(illustration : Fig. 8, Edgar N. Starcke, « The history of articulators : Early Attempts to Reproduce Mandibular Movement, Journal of Prosthodontics, Vol. 9, N° 1, 2000, p. 56 
 
L’articulateur de Bonwill, 1858
 
(Musée de l’art dentaire de Garancière, cliché MRK) 
L’articulateur de Bonwill, 1858
 
(Musée AP-HP 2003-6.6.7.20, cliché F. Marin) 
L’articulateur W. G. A. Bonwill, 1858 L’articulateur de Bonwill, 1858
Articulateur de Bonwill
Fig. 6 Articulateur de Bonwill, présenté dans un catalogue Ash allemand. Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, juillet, 1889, 4e de couverture
 
Articulateur de Bonwill amélioré selon le dentiste Starcke de Leipzig, 1889
Articulateur de Bonwill amélioré selon de dentiste Starcke de Leipzig, marque bien précisée : « Ash & Sons, fabrication allemande ». Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, octobre, 1889, p. XXIII 
 
L’articulateur Bonwill modifié par Schwarze, 1890
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.21, cliché F. Marin)
Articulateur de Bonwill

 
Articulateur de Bonwill
amélioré selon le dentiste
Starcke de Leipzig, 1889
L’articulateur Bonwill
modifié par Schwarze, 1890
 

« En 1864, il met en évidence la règle du « Triangle de Bonwill » : « La distance intercondylienne est égale à la distance centre du condyle/point incisif mandibulaire ». Cette règle se vérifie dans tous les articulateurs, même s’ils reposent sur des théories différentes »

L’articulateur W. G. A. Bonwill, 1864
« Cet articulateur présente des trajectoires en propulsion et en diduction, mais uniquement dans le plan horizontal. Nous pouvons donc le considérer comme le premier articulateur géométrique grâce au triangle mais aussi le premier articulateur anatomique avec la représentation des condyles et du point inter-incisif ».
J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 165
(Illustration : Ch. Godon, "Considérations sur l’articulateur Bonwill et ses applications en prothèse dentaire », L’Odontologie, Vol. XXXI, 30 juin 1904, Fig. de la p. 598)
 
L’articulateur W. G. A. Bonwill,
1864
Articulateur des Instituts dentaires de Berlin du
Pr Dr. med. Warnekros, Bonwill modifié
« Cet articulateur des Instituts dentaires de Berlin du Pr Dr. med. Warnekros a une fonction de mouvement latéral réglable, C’est en fait, un articulateur Bonwill modifié avec des commandes pour limiter la longueur du mouvement latéral de chaque côté ».
Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, avril, 1892, p. XXVIII 
 
Nouvel articulateur d’après Bonwill et amélioré par le Dr. Mannhardt
Nouvel articulateur d’après Bonwill et amélioré par le Dr. Mannhardt. Correspondenz-Blatt für Zahnärzte, Verlag von C. Ash & Sons, Berlin, avril, 1892, p. XXII 
 
Articulateur N° 4 fabriqué par Justi & Son. Modèle Bonwill modifié
Articulateur N° 4 fabriqué par Justi & Son. Modèle Bonwill modifié
M. F. Patterson, Illustrated catalogue of Dental Furniture, Instruments and Materials, 3e édition, M. F. Patterson, St Paul, Minn. etc. 1901, p. 624 
 
Articulateur Bonwill perfectionné
« Articulateur Bonwill perfectionné en laiton poli et finement nickelé avec deux paires de branches et triangle ».
Jetter & Scheerer, Catalogue illustré, Société anonyme. Tuttlingen, 6e édition, 1905, p. 531
 
Articulateur des Instituts
dentaires de Berlin
du Pr Dr. med. Warnekros,
Bonwill modifié
Nouvel articulateur d’après
Bonwill et amélioré
par le Dr. Mannhardt
 
Articulateur N° 4 fabriqué par
Justi & Son. Modèle
Bonwill modifié
 
Articulateur Bonwill
perfectionné
 
Articulateur modèle « modèle Bonwell » [sic] (1858)
« Articulateur modèle Bonwell (sic) ». Henri Picard & Frères, Fabrique et dépôt de Dents minérales, Instruments, Outils et Fournitures pour Dentistes, Paris, 1910, p. 26, Fig. 86
 
 
Articulateur Bonwill, modèle original nickelé
Articulateur Bonwill, « modèle perfectionné avec un mécanisme régulateur, 2 paires d’arcs et un triangle équilatéral, finement nickelé »
Augusto Magnini, Forniture per dentisti, catalogo, Milano, 1913, p. 260, Fig. 1008-1009
 
Articulateur Bonwill avec mouvements latéraux
ArticulateurBonwill , avec mouvements latéraux . Imperiali & Beltramini, Catalogo generale illustrato, Milano, 1929, p. 206, Fig. 505
 
Articulateur modèle
« modèle Bonwell »
[sic] (1858)
Articulateurs Bonwill,
modèle original nickelé
et modèle perfectionné
Articulateur Bonwill
avec mouvements latéraux
 

 

 

Les articulateurs Alfred Gysi de 1896 à 1960 
 

« En 1910, A. Gysi mentionne qu’il avait réalisé en 1894 comme Walker un articulateur à déplacement condylien incliné sans en fournir une image. » Contribution à l’étude du problème de l’articulation, Chateauroux, Mellottée, 1910.

Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: The Appearance and Early Use of the Incisal-pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 1, 2001, p. 59, Fig. 16

L’Articulateur A. Gysi - E. Muller, 1896-1899
« L’articulateur Gysi-E Muller est l’un des plus anciens. (A) identifie le condyle (broche) qui fonctionne dans une fente condylienne fixe ; (B) est l'une des commandes des centres de rotation latéraux réglables ; (C) est la position de la charnière verticale. Cet instrument dispose de deux ressorts pour maintenir la position centrée et de deux ergots situés au centre juste en avant de l'axe condylien pour fonctionner comme une «butée verticale». La broche incisive et le guide n'étaient pas encore apparus dans la conception de l'articulateur ».
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: The Appearance and Early Use of the Incisal-pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 1, 2001, p. 59, Fig. 16
 
L’articulateur adaptable, 1908
Cet articulateur adaptable comportait des chemins de guidage condyliens incurvés interchangeables. Il figurait en bonne place dans les premiers travaux de Gysi, mais a été rapidement supplanté par l’ « Adaptable » (breveté en 1912).
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators : The appearance and early Use of the Incisal-Pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 1, 2001, p. 54, Fig. 4 (B)
 
L’articulateur Gysi adaptable, 1908
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.42, cliché F. Marin)
L’articulateur adaptable 1908, vu de profil
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: The Appearance and Early Use of the Incisal-pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 2, 2001, p. 119, Fig. 14 (C)
 
l’Articulateur A. Gysi - E. Muller,
1896-1899
L’articulateur adaptable 1908,
 
L’articulateur adaptable 1908,
vu de profil
L’articulateur adaptable « Wippunktarticulator », 1908
L’articulateur adaptable de A. Gysi, 1908 ; Il n’a pas été commercialisé aux États-Unis.
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators : The appearance and early Use of the Incisal-Pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 1, 2001, p. 54, Fig. 4 (C)
 
L’articulateur adaptable
« Wippunktarticulator », 1908

Les articulateurs « Adaptable » et « Simplex » d’ Alfred Gysi 1910, (brevetés en 1912)

« En 1910, je fis deux articulateurs, l’Adaptable et le Simplex, où la trajectoire des condyles n’était pas seulement dans une inclinaison verticale par rapport au plan d’occlusion, mais aussi dans une inclinaison transversale ou latérale par rapport au plan sagittal. Ces articulateurs avaient donc un mouvement dans trois directions. Mes articulateurs ont, en outre, une disposition qui permet de donner un mouvement distinct, non seulement aux deux points condyliens, mais aussi au point incisif du triangle de Bonwill, par le moyen de la tige et du plan-guide des incisives »

(Gysi Alfred, « L’état actuel du problème de l’Articulation », L’Odontologie, Vol. LI, N° 10, 30-05, 1914, p. 434) 

L’articulateur « adaptable » Gysi
Fig. 23 « L’articulateur adaptable » à tous les mouvements normaux et anormaux de nos patients »
Gysi A, « L’état actuel du problème de l’Articulation », L’Odontologie, Vol. LI, N° 10, 30-05, 1914, p. 434- 435
 
L’articulateur Gysi « adaptable » 1910
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.43 , cliché F. Marin) 
L’articulateur Gysi « Simplex »
Fig. 30 L’articulateur « Simplex ». « Il a tous les mouvements de « l’Adaptable », mais fixé à un angle moyen. Pour les commençants ou ceux qui ne désirent pas faire des mensurations sur le patient. Ses mouvements sont approximativement exacts pour environ trois quarts de nos patients ». Gysi A, « L’état actuel du problème de l’Articulation », L’Odontologie, Vol. LI, N° 10, 30-05, 1914, p. 437-438
 
L’articulateur « adaptable » Gysi L’articulateur Gysi « adaptable » 1910 L’articulateur Gysi « Simplex »
Le nouvel « articulateur adaptable » Gysi-Rumpel 1914
Gysi A. Le nouvel articulateur adaptable de GYSI muni du guidage automatique de Rumpel (Modèle 1914). Genève : Imprimerie Centrale, 1916, p. 59, Fig. 40a
« L'articulateur Gysi-Rumpel original, 1914. Ce dessin illustre la première conception d'articulateur de Gysi avec les commandes incisives « arc gothique » de Rumpel. Gysi ne brevetera pas cette fonctionnalité avant 1928 ».
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: Pursuing the Evolution of the Incisal-Pin and Guide", Part II of the Incisal-Pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 2, 2001, p. 118, Fig. 40a
 
L’articulateur Gysi Simplex 1917
Fondé sur la théorie des « centres instantanés de rotation, « Cet instrument a connu un grand succès (comme le Gysi New Simplex mis sur le marché en 1960). Après avoir été résolument « anatomique » pour la construction d’un articulateur, Gysi en arrive à la conclusion de Christensen «... Il ne suffit pas pour atteindre notre but de suivre aveuglément les directions que nous fournit la nature. Nous devons plutôt soumettre à l’examen les conditions mécaniques qui se présentent et exécuter notre travail selon les principes généraux de la mécanique »
J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1830 à 1920, Partie I » Clinic, 389, 23. 3. 2020, p. 169
(Illustration dans : Gysi A. Montage d’appareils avec les dents Anatoform et les blocs Gysi et le nouvel articulateur simple à trois points de Gysi. Londres : De Trey & Co. LDT, 1917)
 
L’articulateur Gysi Simplex 1917
Le Gysi Simplex .est « Semblable à l'articulateur «trépied» ou «positionnel», il avait des coupelles condyliennes fixes à 33 degrés pour accueillir les stylets mandibulaires. Gysi a conservé la même table de guidage incisive protrusive fixe à 40 degrés qu'il avait utilisée dans les conceptions précédentes de ses articulateurs ».
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: The Appearanceand Early Use of the Incisal-pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 1, 2001, p. 58, Fig. 15 (B)
 
Articulateur anatomique Gysi
Articulateur anatomique Gysi, (nouveau type avec porte-modèle). (Gysi Simplex 1917)
NB. Il est fourni avec ou sans accessoires ::
Les accessoires : L’arc facial sans les branches de plomb – Une boucle d’union au support – Une assise en fer à cheval – Un stylet enregistreur – Deux branches de plomb. Imperiali & Beltramini, Catalogo generale illustrato, Milano, 1929, p. 206, Fig. 504
 
Le nouvel « articulateur adaptable »
Gysi-Rumpel 1914
L’articulateur
Gysi Simplex 1917
L’articulateur
Gysi Simplex 1917
Articulateur
anatomique Gysi
L’articulateur Gysi Simplex 1917
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.46, cliché F. Marin) 
L’articulateur Gysi Simplex 1917
 
(Musée de l’art dentaire de Garancière, cliché MRK) 
L’articulateur Gysi-Rumpel, 1920
L’Articulateur Gysi-Rumpel, 1920. « C’est une modification du Gysi Simplex avec le guide de Rumpel. »
Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: Pursuing the Evolution of the Incisal-Pin and Guide", Part II of the Incisal-Pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 2, 2001, p. 120, Fig. 16
 
L’articulateur Gysi Simplex 1917
 
L’articulateur Gysi-Rumpel, 1920
 
L’articulateur adaptable de Gysi, type 1924
Page de titre : L’articulateur adaptable de Gysi, type 1924 par le Dr F. Ackermann, Berichthaus, Zurich, 1924
 
L’articulateur adaptable Gysi, 1924
l repose sur les principes de l’articulateur Simplex 1917. C’est un instrument perfectionné programmable à partir d’enregistrements effectués sur le patient.
Fig. 4 dans L’articulateur adaptable de Gysi, type 1924 par le Dr F. Ackermann, Zurich, 1924 
 
L’articulateur adaptable
de Gysi, type 1924
L’articulateur adaptable
Gysi, 1924
The Gysi Trubyte Articulator 1926
The Dentists’ Supply Company
 
The Gysi Trubyte Articulator 1926
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.49, cliché F. Marin)
The Gysi Trubyte Articulator 1926
 
(Musée dentaire de la Dental School, coll. de Université de Turin, cliché V. Burello) 
The Dentists’ Supply Company 
atteste de la réalisation et de
la commercialisation dès 1926
du « The Gysi Trubyte Articulator »
Page de titre
 
The Gysi Trubyte Articulator 1926


 
The Dentists’ Supply Company 
atteste de la réalisation et de
la commercialisation dès 1926
du « The Gysi Trubyte Articulator »

« En 1928, Gysi a reçu un brevet américain pour l'articulateur Trubyte. Cet instrument comportait une table incisive avec des bords latéraux de guidage qui pouvaient être réglés pour suivre les tracés des points incisifs « arc gothique ». La table incisive comprenait une disposition pour ajuster l'inclinaison du trajet protrusif. » [ …] Gysi adopte ici « la conception d’un axe condylien horizontal qui pourrait se déplacer latéralement pour accueillir des points de rotation variables, en particulier pour ceux qui se sont avérés être situés à un point à l'extérieur des ensembles de guidage condylien fixes »

Edgar N. Starcke, "The History of Articulators: Pursuing the Evolution of the Incisal-Pin and Guide", Part II of the Incisal-Pin and Guide", Journal of Prosthodontics, Vol 10, No 2, 2001, p. 113, Fig. 411

L’articulateur adaptable de Gysi « Trubyte », dernier modèle, 1927, breveté 1928, , un véritable petit chef d’œuvre de mécanique
« Ce dernier modèle de cet articulateur adaptable lui a valu le grand prix de l’Exposition de Philadelphie et indirectement le prix suisse Marcel Benoit de 30000 francs or. Ce dernier modèle est un véritable petit chef d’œuvre de mécanique qui a rendu de très brillants services dans la pratique »
François Ackermann, Dentures et dentiers complets, Masson et Cie, Paris, 1930, p. 371 et 374, Fig. 411
 
L’articulateur adaptable de Gysi
« Trubyte », dernier modèle, 1927,
breveté 1928, un véritable
petit chef d’œuvre de mécanique
L’articulateur Gysi Simplex 1930 avec plateau incisif orientable (dernière version du Gysi Simplex 1917)
François Ackermann, Dentures et dentiers complets, Masson et Cie, Paris, 1930, p. 356, Fig. 391
 
L’articulateur Gysi Simplex 1930 (dernière version du Gysi Simplex 1917)
 
(Musée de l’art dentaire de Garancière, cliché MRK) 
L’articulateur Gysi Simplex 1930
avec plateau incisif orientable
(dernière version du Gysi Simplex 1917)
 
L’articulateur Gysi Simplex 1930
(dernière version du Gysi Simplex 1917)

 
L’articulateur Gysi New Simplex commercialisé post-mortem en 1960. Notice de vente
p. 1
 
L’articulateur Gysi New Simplex commercialisé post-mortem en 1960. Notice de vente
p. 2
 
L’articulateur Gysi New Simplex commercialisé post-mortem en 1960
 
(Musée de l’art dentaire de Garancière, cliché MRK)
L’articulateur Gysi New Simplex commercialisé post-mortem en 1960
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.50, cliché F. Marin)
L’articulateur Gysi New Simplex commercialisé
post-mortem en 1960. Notice de vente
L’articulateur Gysi New Simplex commercialisé
post-mortem en 1960

 

 

Les articulateurs de Rudolph L. Hanau, de 1921 à 1928
 
L’articulateur de Hanau, modèle B, prototype de 1921
Articulateur de Hanau, modèle B, prototype de 1921.
Robert L. Engelmeier, Donald M. Belles, Edgar N. Starcke, "The History of Articulators : The Contributions of Rudolph L. Hanau and his Company—Part I, Journal of Prosthodontics 19, 2010, by The American College of Prosthodontists, p. 413, Fig. 5
 
L’articulateur Hanau modèle H 1923, breveté en 1928, , fabriqué pendant 40 ans
« Hanau améliore en 1920 l’arc facial de Snow. Il ajoute un pointeau orbitaire pour prendre un troisième point de référence : le point sous-orbitaire. Ainsi, le modèle maxillaire est parfaitement positionné par rapport à l’axe inter-condylien de son articulateur. Le plan de référence utilisé est le plan de Francfort (point sous-orbitaire/bord supérieur du tragus). Comme dans tous les articulateurs anatomiques issus de l’école gnathologique, les branches de l’articulateur de Hanau sont parallèles au plan de Francfort ».
J-M. Rignon-Bret & coll., « Évolution des articulateurs de 1920 à l’ère numérique, Partie II, » Clinic, 390, 11. 5. 2020, p. 194
(Illustration : Fig. 477 « Le modèle H de l’articulateur Hanau a été fabriqué pendant 40 ans. Beaucoup de ses caractéristiques peuvent être trouvées sur les articulateurs actuellement produits. François Ackermann, Le mécanisme des mâchoires (naturelles et artificielles), Masson et Cie, Paris, 1953, p. 526
 
L’articulateur Hanau modèle H 1923
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.74, cliché F. Marin) 
L’articulateur Kinoscope modèle M de 1923
« En juin 1923, la Hanau Engineering Company a commercialisé la première génération du Kinoscope. Il était à l'origine surnommé la «machine orthodontique spéciale», mais très vite, il a été remplacé par le Kinoscope modèle M. Il avait une première table de guidage incisive et des piliers extérieurs larges mais minces ».
Robert L. Engelmeier, Donald M. Belles, Edgar N. Starcke, "The History of Articulators : The Contributions of Rudolph L. Hanau and his Company—Part I, Journal of Prosthodontics 19, 2010, by The American College of Prosthodontists, p. 414, Fig. 9
 
L’articulateur de Hanau,
modèle B,
prototype de 1921
 
L’articulateur
Hanau modèle H 1923,
breveté en 1928,
fabriqué pendant 40 ans
L’articulateur Hanau
modèle H 1923

 
L’articulateur Kinoscope
modèle M de 1923

 
L’articulateur Kinoscope Model A-2 1926
« L’articulateur Kinoscope Model A-2 1926 fait une brève apparition en 1926 et est remplacé par le Kinoscope Model C en 1928 ». Robert L. Engelmeier, Donald M. Belles, Edgar N. Starcke, "The History of Articulators : The Contributions of Rudolph L. Hanau and his Company—Part I, Journal of Prosthodontics 19, 2010, by The American College of Prosthodontists, p. 414, Fig. 10
 
L’articulateur Kinoscope
Model A-2 1926

« L’articulateur Hanau modèle C, était la version finale du Kinoscope. Cette même année, la table de guidage incisif a été remplacée par la table de guidage universelle Hanau réglable qui est devenue une caractéristique standard pendant toute la durée de la production du Kinoscope. Un loquet central a été ajouté en 1937. En dépit de la recherche et du développement continus d’instruments tridimensionnels, l’usine n’a jamais remplacé le Kinoscope Model C. Il est resté en production jusqu’en 1964 »

Robert L. Engelmeier, Donald M. Belles, Edgar N. Starcke, "The History of Articulators : The Contributions of Rudolph L. Hanau and his Company—Part I, Journal of Prosthodontics 19, 2010, by The American College of Prosthodontists, p. 410-41, Fig. 11

L’articulateur Hanau modèle C, version finale du Kinoscope, 1928
 
 
L’articulateur Hanau modèle C,
version finale du Kinoscope, 1928
 


Exposition

Le métal des articulateurs est difficile à identifier (alliage, bronze ou laiton ?)


Les occluseurs

Occluseur métallique, voisin de Evans, sans la tige, 1840
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.2, cliché F. Marin)
Occluseur simple voisin de Graham et Wood 1875 (?)
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
Occluseur pour couronnes des Dr. Müller et Hunt, 1892
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.4, cliché F. Marin)
Occluseur Lavalette, vers 1912
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.5, cliché F. Marin)
Occluseur métallique, voisin
de Evans, sans la tige, 1840
Occluseur simple voisin
de Graham et Wood 1875 (?)
Occluseur pour couronnes
des Dr. Müller et Hunt, 1892
Occluseur Lavalette,
vers 1912
Occluseur amélioré, vers 1910
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.6, cliché F. Marin)
Occluseur amélioré, Garnier, 1933
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.13, cliché F. Marin)
Occluseur amélioré de Émile Hubert
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
Occluseur amélioré de Émile Hubert
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
Occluseur amélioré,
vers 1910
Occluseur amélioré,
Garnier, 1933
Occluseurs améliorés
de Émile Hubert
Occluseur amélioré de Leone
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD))
Occluseur amélioré de Leone


Les articulateurs semi-adaptables

Support voisin d’un articulateur Cameron, vers 1840
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.92, cliché F. Marin)
L’articulateur de Bonwill, 1858
(Musée de l’art dentaire de Garancière, cliché MRK)
L’articulateur de Bonwill, 1858
(Musée AP-HP 2003-6.6.7.20, cliché F. Marin)
L’articulateur N° 2 de S. S. White, « modèle américain », 1867
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.9, cliché F. Marin)
Support voisin d’un
articulateur Cameron,
vers 1840
L’articulateur de Bonwill, 1858

 
L’articulateur N° 2 de S. S. White,
« modèle américain », 1867
 
L’articulateur N° 2 de S. S. White, proche « modèle américain », 1867
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.11, cliché F. Marin)
Conception récente proche de l’articulateur de M. Noël de Nancy
(Musée de l’art dentaire de Garancière, cliché MRK)
L’articulateur Bonwill modifié par Schwarze, 1890
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.21, cliché F. Marin)
Autre articulateur Bonwill modifié par Schwarze, 1890
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.22, cliché F. Marin)
L’articulateur N° 2 de S. S. White,
proche « modèle américain », 1867
Conception récente proche de
l’articulateur de M. Noël de Nancy
L’articulateur Bonwill modifié
par Schwarze, 1890
Autre articulateur Bonwill
modifié par Schwarze, 1890
Autre articulateur Bonwill modifié par Schwarze, 1902
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.25, cliché F. Marin)
L’articulateur Bonwill amélioré, vers 1889
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.24, cliché F. Marin)
L’articulateur Bonwill amélioré vers 1889 ?
(Musée dentaire de la Dental School, coll. de Université de Turin, cliché V. Burello)
L’articulateur Walker, 1896
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.37, cliché F. Marin)
Autre articulateur Bonwill
modifié par Schwarze, 1902
L’articulateur Bonwill
amélioré, vers 1889
L’articulateur Bonwill
amélioré vers 1889 ?
L’articulateur Walker, 1896
 
L’articulateur Justi N° 0, 1897
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.10, cliché F. Marin)
L’articulateur de A. D. Gritman, 1899
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.23, cliché F. Marin)
L’articulateur de Christensen, 1901
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.39, cliché F. Marin)
L’articulateur rationnal de Christensen, 1902
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.38, cliché F. Marin)
L’articulateur Justi N° 0, 1897 L’articulateur de A. D. Gritman, 1899 L’articulateur de Christensen, 1901 LL’articulateur rationnal de Christensen, 1902
L’articulateur proche de Kerr, 1902
(Musée de l’art dentaire de Garancière, cliché MRK)
L’articulateur Wallisch, et accessoire, 1907
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.29, cliché F. Marin)
L’articulateur Gysi adaptable, 1908
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.42, cliché F. Marin)
L’articulateur Bonwill modifié par Amoedo, 1909
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.30, cliché F. Marin)
L’articulateur proche
de Kerr, 1902
L’articulateur Wallisch,
et accessoire, 1907
L’articulateur Gysi
adaptable, 1908
L’articulateur Bonwill
modifié par Amoedo, 1909
L’articulateur Gysi « adaptable » 1910
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.43 , cliché F. Marin)
L’articulateur Gysi « simplex », 1910
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.48, cliché F. Marin)
L’articulateur Gysi « simplex », 1910
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.44, cliché F. Marin)
Articulateur proche d’un Gritman-Snow,
1910
(Musée dentaire de la Dental School, coll. de Université de Turin, cliché V. Burello)
L’articulateur Gysi
« adaptable » 1910
L’articulateur Gysi
« simplex », 1910
Articulateur proche d’un
Gritman-Snow, 1910
 
Articulateur Rational A. D. CO. LTD England, 1910-1920 ?
 
(Musée dentaire de la Dental School, coll. de Université de Turin, cliché V. Burello)
 
Articulateur Rational A. D. CO. LTD England, 1910-1920 ?
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.767., cliché F. Marin)
 
Nouvel articulateur anatomique d’Oscar Amoëdo, 1911
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.41, cliché F. Marin)
Articulateur Rational A. D. CO. LTD
England, 1910-1920 ?
Nouvel articulateur anatomique
d’Oscar Amoëdo, 1911
 
Nouvel articulateur anatomique d’Oscar Amoëdo, 1911
 
(Musée de l’art dentaire de Garancière, cliché MRK)
 
Le Luce « Simplex articulateur », 1911
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.52, cliché F. Marin)
 
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912 (branche inférieure)
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.58, cliché F. Marin)
 
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912 (avec moulage inférieur)
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.57, cliché F. Marin)
Nouvel articulateur anatomique
d’Oscar Amoëdo, 1911
Le Luce « Simplex articulateur »,
1911
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912
 (branche inférieure)
Le Stabiloccluseur de Villain, 1912
(avec moulage inférieur)
 
L’articulateur Eltner, 1912 (incomplet)
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.40, cliché F. Marin)
 
L’articulateur Linarès, 1912
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.32, cliché F. Marin)
 
L’articulateur Gysi Simplex 1917
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.46, cliché F. Marin)
 
L’articulateur Gysi Simplex 1917
 
(Musée de l’art dentaire de Garancière, cliché MRK)
L’articulateur Eltner, 1912
(incomplet)
L’articulateur Linarès, 1912
 
L’articulateur Gysi Simplex 1917
 


Les articulateurs adaptables simplifiés

L’articulateur de Wadsworth, 1919-1924
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.66, cliché F. Marin)
L’articulateur de Wadsworth, 1919-1924
(Musée dentaire de la Dental School, coll. de Université de Turin, cliché V. Burello)3art194 art136
L’articulateur enregistreur de Darcissac, 1924
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.56, cliché F. Marin)
L’articulateur Hanau modèle H 1923
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.74, cliché F. Marin)
L’articulateur de Wadsworth,
1919-1924
L’articulateur enregistreur
de Darcissac, 1924
L’articulateur Hanau
modèle H 1923
 
The Gysi Trubyte Articulator 1926
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.49, cliché F. Marin) 
 
The Gysi Trubyte Articulator 1926
 
(Musée dentaire de la Dental School, coll. de Université de Turin, cliché V. Burello)
 
L’articulateur Gysi Simplex 1930 (dernière version du Gysi Simplex 1917)
 
(Musée de l’art dentaire de Garancière, cliché MRK)
 
L’articulateur Gysi New Simplex commercialisé post-mortem en 1960
 
(Musée de l’art dentaire de Garancière, cliché MRK)
The Gysi Trubyte Articulator 1926

 
L’articulateur Gysi Simplex 1930
(dernière version du
Gysi Simplex 1917) 
L’articulateur Gysi New Simplex commercialisé post-mortem
en 1960 
 
L’articulateur Gysi New Simplex commercialisé post-mortem en 1960 
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.50, cliché F. Marin
L’articulateur Gysi New Simplex
commercialisé post-mortem
en 1960


Occluseurs non identifiés

 
Occluseur métallique 
 
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD) 
 
Occluseur 
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.33, cliché F. Marin) 
 
Occluseur
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.1, cliché F. Marin) 
 
Occluseur
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.3, cliché F. Marin) 
Occluseur métallique Occluseur
 
Occluseur, vers 1897
 
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
 
Occluseur
 
(Musée de l’art dentaire de Garancière, cliché MRK)
 
Occluseur voisin de Fork
 
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
Occluseur, vers 1897 Occluseur Occluseur voisin de Fork
 
Occluseur
 
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
 
Occluseur
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.19, cliché F. Marin)
 
Occluseur
 
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.7, cliché F. Marin)
Occluseurs


Occluseurs améliorés non identifiés

Occluseur amelioré
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.18, cliché F. Marin)
Occluseur amelioré
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
Occluseur amelioré
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
Occluseur amelioré, équipé d’un ressort
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
Occluseurs ameliorés
 
Occluseur amelioré,
équipé d’un ressort 
Occluseur amelioré
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
Occluseur amelioré sans usage de plâtre
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
Occluseur amelioré
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.26, cliché F. Marin)
Occluseur amelioré
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.27, cliché F. Marin)
Occluseur amelioré
 
Occluseur amelioré
sans usage de plâtre 
Occluseurs ameliorés
 


Articulateurs non identifiés

Articulateur
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.68, cliché F. Marin)
Articulateur
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
Articulateur
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.31, cliché F. Marin)
Articulateur
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.28, cliché F. Marin)
Articulateurs
Articulateur
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.17, cliché F. Marin)
Articulateur
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.16, cliché F. Marin)
Articulateur adaptable simplifié (utilisant la technique du drapeau de Wadsworth)
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.65, cliché F. Marin)
Articulateur
(Musée AP-HP 2003.6.6.7.15, cliché F. Marin)
Articulateurs

 
Articulateur adaptable simplifié
(utilisant la technique du
drapeau de Wadsworth)
Articulateur

 
Articulateur
(Coll. ASPAD, cliché ASPAD)
Articulateur
(Musée dentaire de la Dental School, coll. de Université de Turin, cliché V. Burello)
Articulateur