V. notes :
- [5], lettre latine 302, pour le Colloquium heptaplomeres [Colloque des sept personnages] de Jean Bodin (dont ne circulaient alors que des copies manuscrites) ;
- [20] supra pour son Oppian ;
- [2], lettre 543, pour la Methodus ad facilem Historiarum cognitionem [Méthode pour connaître facilement l’histoire] (Paris, 1566) de Bodin, dont ni l’épître ni la Préface (Proœmium) ne contiennent de médisances sur Jacques i Cujas ; ce qui me mène à penser que le Borboniana voulait parler de l’épître de La République, longuement citée dans la note [20] supra ;
- [2], lettre 423, et [33] du Borboniana 1 manuscrit pour Baptista Mantuanus, pieux et bienheureux supérieur de l’Ordre du Carmel ;
- [5], lettre 97, pour la lettre de Jacques Gillot à Joseph Scaliger, datée du 9 février 1607, où il écrivait : « Bodin est mort juif, sans parler de Jésus-Christ par les dernières paroles que j’ai en vers de lui ».
Jacques Gillot (Langres 1544-1619), érudit chanoine de la Sainte-Chapelle (v. note [38], lettre 342), était conseiller clerc au Parlement de Paris, reçu en 1573 en la troisième des Enquêtes (Popoff, no 1306).
Outre de nombreuses lettres qu’il échangées avec Scaliger et Isaac Casaubon (publiées dans leurs correspondances respectives), Gillot a contribué à la Satire Ménippée (v. note [18], lettre 310) et laissé une Relation de ce qui se passa au Parlement séant aux Augustins, touchant la régence de la reine Marie de Médicis, mère du roi Louis xiii, les 14 et 15 mai 1610 (Nouvelle collection des mémoires pour servir à l’histoire de France… de Michaud et Poujoulat, tome onzième, Paris, 1838, pages 471‑484).
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