L. 272.  >
À Charles Spon,
le 10 novembre 1651

Monsieur, [a][1]

Depuis ma dernière, laquelle fut du vendredi 3e de novembre, je vous dirai que le lendemain fuit mihi prorogatus decanatus in annum proximum[1] Me voilà chargé encore pour un an du soin de nos affaires, sans qu’il me reste aucun loisir de penser à autre chose, tant cette petite charge me charge et m’embarrasse en tant qu’elle m’occupe tout entier. Le roi [2] est entré dans Poitiers [3] le 1er de novembre. [2] On parle d’un voyage de Bretagne, d’autres de revenir à Paris, et que le roi en parle tous les jours, joint qu’il ne se porte pas bien en ce pays-là. [3] M. de Rodez, [4] son précepteur, a été disgracié quelques jours pour avoir refusé de l’entretenir du retour de Mazarin. [4][5] La reine [6] se défie dans le Conseil de M. de Châteauneuf [7] et du maréchal de Villeroy. [8] M. Ravaud [9] est-il toujours à Rome, quand reviendra-t-il à Lyon ? J’ai reçu de M. Garnier, [10] votre collègue, une lettre toute pleine de civilités à la mode : il me demande des nouvelles de deçà et dit qu’il n’y a rien de nouveau à Lyon, mais tous ces compliments ne valent point le port de sa lettre. Je m’étonne de quoi il s’est avisé de m’écrire ; je vous prie de lui faire mes recommandations et que je ne manquerai point de lui écrire quand je saurai quelque chose digne de lui ; et si en attendant il veut derechef m’écrire, priez-le de vous donner sa lettre pour l’enfermer dans la vôtre que vous m’enverrez quand il vous plaira. Les siennes ne sont jamais pressées, ce n’est jamais qu’un pur galimatias de bonne volonté ; je lui écrirai au premier loisir. J’apprends par lettres que je reçus hier de Hollande que M. de Saumaise [11] n’était point encore arrivé à Leyde, [12] mais qu’il n’en était point loin ; qu’il avait passé à Hambourg ; [13] il y a force gens de ses amis, qui désirent fort le revoir à Leyde. [5] Gonzalez de Salas, [14] noble et savant espagnol, y a fait imprimer un livre De duplici terra viventium ; il est achevé il y a près d’un an, on attendait toujours après sa première feuille pour le mettre en lumière ; et en attendant, nouvelle est venue d’Espagne qu’il est mort. Cela pourra faire avancer le grand dessein que MM. les Elsevier [15] ont de le mettre en vente. C’est un in‑4o, mais de ce simple titre je ne puis deviner de quelle matière il traite ; je soupçonnais quelque chose de géographie, mais depuis on m’a écrit que c’est un plaisant livre, sans en savoir davantage. [6] On nous a ici apporté depuis peu un petit in‑fo avec quelques figures, imprimé à La Haye-le-Comte, [16] intitulé Corporis humani disquisitio Anatomica, in qua sanguinis circulationem in quavis corporis particula plurimis typis novis, ac ænigmatum Medicorum succincta dilucidatione ornatam prosequutus est Nathanael Highmorus, Artium et Medicinæ doctor, nuper a Societate Sanctæ Trinitatis Oxon. Accessit index duplex, etc. 1651[7][17] Le livre n’est point plus gros qu’une main de papier, il y a peu de figures et néanmoins, il se vend sept livres. M. Riolan, qui l’examine et qui y trouve à redire, l’a acheté autant. Il y aura un chapitre pour lui dans le livre qu’il s’en va faire imprimer, [18] lequel contiendra divers petits traités, et un entre autres adversus P. Gassendum[8][19] un autre pour Harvæus, [20] etc. [21] Le prince de Condé [22] a fait surprendre le château d’Aubeterre [23] dans lequel on a trouvé six pièces de canon, 30 milliers de poudre et 1 000 sacs de blé. [9] Il ne prendra point Angoulême, [24] le comte de Montausier [25] qui en est gouverneur en a répondu et écrit à la reine. [10] Il y a du grabuge au Conseil, M. le maréchal de Villeroy [26] n’y va plus. La reine est bien étourdie du bateau, elle trouve que M. le Prince est bien plus fort qu’on ne lui avait dit. Le prince de Condé a écrit par M. de Vineuil [27] au duc d’Orléans [28] qu’il ne voulait se fier du traité de paix qu’à lui-même, [11] à l’exclusion des six que la reine avait nommés ; d’autant que la plupart d’iceux, comme il dit, sont mazarins. Le prince de Condé est en bon accord avec les Espagnols. [12] M. de Verderonne, [29] qui avait été envoyé en Espagne pour retirer et ramener M. de Guise [30] et ne l’a pu obtenir, en est enfin revenu. [13] Il dit qu’il a vu le roi d’Espagne [31] qui se porte fort bien et qu’il n’est ni usé, ni vérolé comme l’on a dit ici. [14] Passe tout cela, pourvu que nous ayons la paix. Je vous baise les mains et vous prie de croire que je serai toute ma vie, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur,

Guy Patin.

De Paris, ce vendredi 10e de novembre 1651.

Je vous prie d’assurer M. Gras, [32] notre bon ami, de mon très humble service. On a peur de nouveaux troubles en Allemagne, d’autant que les Espagnols ne veulent point rendre Frankenthal [33] comme ils l’avaient promis. Les protestants parlent de s’unir derechef et de faire un nouveau parti, duquel la reine de Suède [34] sera le chef contre la ligue catholique, de laquelle on veut faire chef le duc de Lorraine [35] à la place du duc de Bavière [36] qui est mort depuis peu. [15] Notre M. Bourdelot [37] n’est point encore arrivé à Leyde. Le livre de Milton contre M. de Saumaise est imprimé à Londres, augmenté de plus de moitié par-dessus la première édition. [16][38][39] Enfin, Monsieur, adieu sans adieu.

J’ai reçu des lettres de M. de Sorbière, [40] il y en a une pour M. Du Prat, [41] mais je ne sais où il est logé en cette ville.

J’écris en hâte, ce petit mot à M. Garnier et que je vous prie de lui envoyer, de peur que par ci-après, je n’eusse le loisir ou que je n’oubliasse de lui faire réponse.


a.

Ms BnF Baluze no 148, fo 6, « À Monsieur/ Monsieur Spon,/ Docteur en médecine,/ À Lyon. » ; Jestaz no 54 (tome ii, pages 779‑783). Note de Charles Spon au revers de l’enveloppe : « 1651/ Paris 10 novemb./ Lyon 24 dud./ Rispost./ Adi 28 dud. »

1.

« le décanat me fut prolongé pour l’année qui vient » (v. note [26], lettre 271).

2.

La cour avait quitté Bourges le 25 octobre.

Journal de la Fronde (volume i, fo 506 ro, 3 novembre 1651) :

« Hier au soir, un courrier venu de la cour confirma l’arrivée de Leurs Majestés à Poitiers le 31 et rapporta que M. de Sauvebœuf avait défait quelques nouvelles levées qui se faisaient pour M. le Prince à Brillac {a} au Bas-Limousin ; que la présence du roi faisait grand effet partout où il passait. Le sieur de Marcousse, qui était venu en Guyenne avec M. de Marchin, était arrivé à la cour avec une partie de son régiment qu’il avait débauchée du service de M. le Prince. Le sieur Bartet, {b} qui fait le favori à la cour depuis qu’il a eu la charge de secrétaire du Cabinet du roi, en était parti incognito pour aller trouver le cardinal Mazarin. » {c}


  1. Aux limites des actuels départements de la Charente et de la Haute-Vienne.

  2. V. note [36], lettre 549.

  3. À Huy, v. note [6], lettre 270.

3.

L’assemblée des états de Bretagne à Nantes irritait fort le parlement de Rennes qui en disputait la présidence.

Journal de la Fronde (volume i, fo 509 ro, Paris, 10 novembre 1651) :

« La cour sera encore quelque temps à Poitiers, n’ayant pas encore bien résolu quelle route elle doit prendre. Plusieurs croient qu’elle ira en Bretagne pour y accommoder les différends qui sont entre les états de la province et le parlement, et pour faire augmenter le don gratuit du roi ; {a} et d’autres estiment qu’elle ira à La Rochelle dont le lieutenant général, qui est ennemi du comte du Dognon, étant venu assurer Leurs Majestés qu’elles y seraient bien reçues, M. d’Estissac a envoyé un gentilhomme dans l’île de Ré de la part du roi, qui l’a fait déclarer pour Sa Majesté ; et ensuite, ceux de La Rochelle ont envoyé dire au comte du Dognon qu’ils étaient d’avis d’envoyer des députés à la cour ; à quoi il a consenti, voyant qu’il ne le pouvait empêcher, et l’on croit qu’il sera contraint par là de s’accommoder avec la cour. »


  1. V. note [12], lettre 658.

4.

Dubuisson-Aubenay (Journal des guerres civiles, tome ii, page 127, 29 octobre 1651) :

« Bruit que l’évêque de Rodez, {a} précepteur du roi, a eu congé de s’en aller de la cour pour avoir dit au roi que le bruit étant à Paris que le cardinal Mazarin était revenu à Dinant, seize lieues de Sedan, se rapprochant par ce moyen de la France, tellement que cela donnait sujet à beaucoup de gens de croire et même de publier qu’il venait à Sedan, cela nuisait extrêmement aux affaires de Sa Majesté et donnait avantage à M. le Prince. On veut croire que ce discours fait au roi par M. de Rodez a été concerté par lui avec les maréchal de Villeroy et marquis de Châteauneuf. Le roi ne veut pas que son précepteur, évêque de Rodez, le quitte et lui a dit qu’il voulait étudier avec lui plus que jamais. »


  1. Hardouin de Beaumont de Péréfixe, v. note [38], lettre 106.

5.

V. note [3], lettre 270.

6.

V. note [27], lettre 248, pour le traité historico-géographique de José Antonio González de Salas « sur la double terre des êtres vivants ».

7.

Nathaniel Highmore, Nathanael Highmorus (1613-1685), anatomiste anglais, était un chaud partisan de la circulation du sang et fut le descripteur de la partie des testicules qu’on nomme corps de Highmore. Guy Patin fournissait ici le titre presque entier de son principal ouvrage :

« Exploration anatomique du corps humain où Nathaniel Highmore, docteur ès arts et médecine, depuis peu membre de la Société de la Sainte-Trinité à Oxford, {a} s’est attaché à décrire la circulation du sang dans toutes les moindres parcelles du corps ; illustré par plusieurs planches nouvelles et par un bref éclaircissement des énigmes médicales. S’y ajoute un double index, etc., {b} 1651 » {c}


  1. Affiliée au Trinity College d’Oxford (fondé en 1555), où Highmore avait mené une partie de ses études.

  2. …alter capitum, alter rerum et verborum locupletissimus […l’un des chapitres, l’autre très riche, des matières et des mots].

  3. La Haye, Samuel Broun, Bibliopola Anglicus [Libraire anglais], 1651, in‑4o, tout de même long de 262 pages, ce qui fait plus de cinq mains de papier ; dédié, en date de Sherbonia Durotigum (Sherborne, Dorset), le 4 décembre 1650 (vieux style) à :

    Excellentissimo et Ornatissimo Viro, Do. Doctori Harveo, Collegii Medicorum Londinensium Socio dignissimo, Anatomiæ Professori Oculatissimo, Regiæ Majestatis nuperrime Medico Serenissimo, et Amico suo singulari.

    [au très éminent et honoré M. Harvey, très digne membre du Collège des médecins de Londres, très illustre professeur d’anatomie, tout récemment sérénissime {i} médecin de Sa Majesté royale, et son ami particulier].

    1. L’épithète « sérénissime » est appliquée au médecin plutôt qu’au souverain qu’il servait : Charles ii ne régnait pas sur la République britannique (Commonwealth) qui l’avait banni après avoir décapité son père, Charles ier, en 1649.

Ce livre est orné d’un splendide frontispice gravé, agrémenté d’une légende détaillée Frontis physionomica descriptio [Description physionomique du frontispice]. La seconde partie du deuxième livre est consacrée à l’appareil cardiovasculaire et à la circulation du sang, décrites en neuf chapitres (pages 131‑168).

V. note [11], lettre 43, pour La Haye-le-Comte, vieux nom de La Haye en Hollande.

8.

« contre Pierre Gassendi » (qui, sans être médecin, s’était mêlé de la circulation du sang en y opposant des arguments malhabiles, v. note [28], lettre 152) ; le « pour Harvæus » qui suit est à prendre pour un lapsus calami, voulant dire « contre Harvey ». V. note [30], lettre 282, pour la deuxième série des Opuscula anatomica que Jean ii Riolan préparait alors.

9.

Un millier pesait mille livres (environ une demi-tonne métrique). Aubeterre (aujourd’hui Aubeterre-sur-Dronne en Charente), à mi-chemin entre Libourne et Angoulême, avait été la première destination de Condé après qu’il eut quitté Bordeaux le 2 novembre.

10.

Charles de Sainte-Maure, marquis puis duc de Montausier (1610-1690), était fils de Léon de Sainte-Maure, baron de Montausier, et de Marguerite de Chateaubriant. Simple cadet, il était entré au service sous le nom de marquis de Salles, s’était distingué en Italie, surtout à la prise de Casal, puis en Lorraine où il avait obtenu le grade de maréchal de camp au siège de Brisach (1636).

Son frère aîné, Hector de Montausier, ayant été tué en 1635 à Bormio (Lombardie), le cadet avait hérité de son nom, de sa fortune et qui plus est, de sa fiancée, la belle Julie d’Angennes. Pour pouvoir se marier, il avait dû soupirer longtemps et abjurer le protestantisme. Il venait d’être nommé gouverneur de la Saintonge et de l’Angoumois lorsque survint la Fronde. Il suivit le parti de la cour, quoique tous ses amis fussent des frondeurs et qu’il eût lui-même à se plaindre de Mazarin. Montausier paralysa la sédition dans son gouvernement et ayant rejoint le comte d’Harcourt, coopéra avec lui à la pacification du Midi. Il reprit Saintes, délogea les Espagnols de Talmont, fut blessé grièvement au combat de Montançais (1652) et revenu à Paris à la fin de la guerre civile, se dédommagea des fatigues et des périls de la lutte par le commerce des beaux esprits.

Fort assidu à la cour, il fut nommé chevalier des Ordres du roi (1662), gouverneur de Normandie après la mort du duc de Longueville ; il fit aux côtés de Louis xiv, qui le créa duc et pair, la campagne de Franche-Comté et eut le courage de rentrer dans son gouvernement quoique la peste y fît de cruels ravages. En 1668, le roi résolut de lui confier l’éducation du dauphin alors âgé de sept ans (v. note [3], lettre 945).

Montausier passa ses dernières années à la cour, chargé d’honneurs et toujours entouré de la plus grande considération, malgré ses allures de misanthrope et d’homme bourru. La mort de sa femme et celle de ses meilleurs amis, Chapelain et Conrart, l’enfoncèrent davantage encore dans cette humeur morose qui fut le trait distinctif de son caractère. On lui dit que Molière, dans son Misanthrope (v. note [2], lettre 861), l’avait peint dans Alceste ; il alla voir la comédie, quoiqu’il goûtât peu la jeune génération, et fut enchanté ; il s’écria : « Plût à Dieu que je fusse Alceste ! » (G.D.U. xixe s.).

11.

Dès le début de sa carrière militaire, Louis Ardier, sieur de Vineuil (ou Vinœil) s’était attaché au duc d’Enghien, futur prince de Condé, et lui restait fidèle durant sa rébellion. Bussy-Rabutin a dépeint Vineuil dans son Histoire amoureuse des Gaules (v. note [9], lettre 822) :

« Esprit fin et satirique, quoiqu’il craignît tout, ce qui lui attira de méchantes affaires ; bien fait de sa personne, entreprenant avec les femmes, et cela le fit réussir. »

Journal de la Fronde (volume i, fo 509 ro et vo, de Paris, le 8 novembre 1651) :

« M. de Vineuil, envoyé par M. le Prince à M. le duc d’Orléans pour lui apporter la réponse de la proposition de paix, arriva enfin ici le 8 au soir, ayant été retardé trois jours en chemin sur ce qu’en passant à Poitiers il demanda un passeport à M. de Brienne, qui en parla deux fois au Conseil sans qu’on résolût si on lui devait donner ou refuser ; ce qui l’obligea de partir de nuit sans attendre le passeport ; dont le Conseil étant averti, envoya ordre au gouverneur de Loches d’arrêter Vineuil mort ou vif lorsqu’il passerait ; ce que ce gouverneur ayant exécuté, envoya les lettres dont il était chargé à la cour où elles furent toutes ouvertes, à la réserve de celle que M. le Prince écrivait à Son Altesse Royale ; et aussitôt après, la cour le renvoya avec ordre à ce gouverneur de le laisser passer. Cette lettre que M. le Prince écrit n’est qu’une justification de son procédé avec des invectives contre le nouveau Conseil et protestations de souhaiter la paix, dont il supplie Son Altesse Royale de vouloir être caution envers tout le monde et de donner créance à M. de Vineuil sur ce qu’il lui dira de la sincérité de ses intentions, sans particulariser davantage ni sur le temps, ni sur le lieu du traité. Cette lettre, laquelle est fort longue, a été envoyée aujourd’hui à la cour par Son Altesse Royale qui y a envoyé exprès M. de Souvery. »

Vineuil mourut en 1681. En 1675, Mme de Sévigné (tome ii, page 103) écrivait à Mme de Grignan : « Vineuil est bien vieilli, bien toussant, bien crachant, et dévot, mais toujours de l’esprit. »

12.

Tout en soutenant militairement et financièrement le prince de Condé, les Espagnols négociaient avec Mazarin l’autorisation, qu’il obtint le 4 novembre, de quitter Huy pour se rendre à Dinant.

13.

Charles de l’Aubespine, sieur de Verderonne et de Stors, maître des requêtes, ambassadeur en Suisse, était chancelier du duc d’Orléans. Il avait quitté Paris le 28 juin pour aller en Espagne négocier la libération du duc de Guise qui y était détenu depuis avril 1648, à la suite de son alliance avec Maniello durant la révolte de Naples (v. note [40], lettre 155).

Dubuisson-Aubenay (Journal des guerres civiles, tome ii, page 124, 14 octobre 1651) :

« Retour de M. de Verderonne de Madrid et Espagne, où il a eu permission de voir un jour entier M. de Guise et l’entretenir ; mais n’a pu obtenir sa délivrance ni par échange, ni même pour rançon. »

14.

Des bruits alarmants avaient en effet couru sur la mauvaise santé, et même la mort de Philippe iv, dont Guy Patin s’était fait l’écho dans ses lettres (v. note [53], lettre 242).

15.

V. notes [30], lettre 236, pour l’affaire de Frankenthal, et [2], lettre 270, pour la mort de l’électeur de Bavière, Maximilien ier.

16.

V. note [19], lettre 264, pour la réplique de John Milton à Claude i Saumaise.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 10 novembre 1651

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(Consulté le 20/04/2024)

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